NFL : deux équipes invaincues à RIS
Football lundi, 27 sept. 2010. 09:10 jeudi, 12 déc. 2024. 02:44
LAKE FOREST, États-Unis - De la façon dont Jay Cutler voit les choses, c'est un blitz qu'il n'a pas à éviter. Si on veut le comparer à Aaron Rodgers, il comprend ça et n'y voit pas de problème.
«Nous sommes dans la même section, nous jouons l'un contre l'autre deux fois et nous avons à peu près le même âge, a dit Cutler. Nous avons tous deux connu certains succès, et nous allons tous les deux être dans le portrait pendant longtemps encore.»
Le match Packer-Bears au Soldier Field, lundi soir (20h à RIS), opposera deux clubs invaincus cette saison, ce qui créé l'impasse au sommet de la section Nord de la Nationale.
Les Bears viennent de signer un gain impressionnant à Dallas, et ils connaissent leur meilleur début de campagne depuis la saison 2006 - cette année-là, le club a gagné ses sept premiers matches en route vers le match du Super Bowl. Cette année, une bonne partie du crédit va à Cutler, qui répond aux attentes placées en lui quand on l'a acquis des Broncos, l'an dernier.
«C'est bien de voir qu'il a eu du succès jusqu'ici cette saison, a dit Rodgers. Il a pris de la maturité sur le terrain, et il comprend mieux le système offensif des Bears. De toute évidence, ça fonctionne bien, et je suis content pour lui.»
Cutler domine la ligue avec une moyenne de 10,1 verges par passe complétée, et son total de 649 verges aériennes est le troisième de la ligue. Il a réussi cinq passes de touché et n'a subi qu'une seule interception, lui qui s'est fait jouer le tour 26 fois en 2009. Les joueurs censés le protéger n'ont pas toujours été les plus efficaces, mais il joue avec conviction, et on le voit moins souvent tenter des passes risquées.
Rodgers revendique moins de verges que Cutler (443), une passe de touché de moins et une interception de plus. Les deux quarts sont toutefois tenus en haute estime, et on voit la possibilité d'une rivalité à long terme entre les deux athlètes.
«Il est très bon, a dit Cutler au sujet de Rodgers. Ses performances sont de haut calibre, comme l'an passé. Il a beaucoup d'armes, et leur attaque permet à plusieurs joueurs de contribuer. Il se déplace bien. C'est certain qu'il fait partie de l'élite des quarts.»
Les deux quarts sont sortis de l'ombre d'une légende - John Elway à Denver, dans le cas de Cutler, et Favre avec les Packers, dans le cas de Rodgers. Il y aussi un respect et une amitié entre les deux.
C'est Cutler qui a aidé le petit frère de Rodgers à s'acclimater à Vanderbilt, où il a lui-même brillé. Jordan Rodgers, un quart lui aussi, évolue pour les Commodores après deux ans au Butte Junior College.
«C'est super ce qu'il a fait pour mon petit frère, a dit Rodgers. Comme grand frère, c'est vraiment très apprécié qu'il ait fait en sorte que mon frère soit confortable à Vanderbilt, qu'il lui ait montré quelques repères à Nashville et tout ça. Ça a solidifié notre amitié. Je lui souhaite du succès 14 semaines sur 16, pendant la saison. Les deux autres semaines, je souhaite que peut-être il fasse une mauvaise passe ici et là de notre côté.»
«Nous sommes dans la même section, nous jouons l'un contre l'autre deux fois et nous avons à peu près le même âge, a dit Cutler. Nous avons tous deux connu certains succès, et nous allons tous les deux être dans le portrait pendant longtemps encore.»
Le match Packer-Bears au Soldier Field, lundi soir (20h à RIS), opposera deux clubs invaincus cette saison, ce qui créé l'impasse au sommet de la section Nord de la Nationale.
Les Bears viennent de signer un gain impressionnant à Dallas, et ils connaissent leur meilleur début de campagne depuis la saison 2006 - cette année-là, le club a gagné ses sept premiers matches en route vers le match du Super Bowl. Cette année, une bonne partie du crédit va à Cutler, qui répond aux attentes placées en lui quand on l'a acquis des Broncos, l'an dernier.
«C'est bien de voir qu'il a eu du succès jusqu'ici cette saison, a dit Rodgers. Il a pris de la maturité sur le terrain, et il comprend mieux le système offensif des Bears. De toute évidence, ça fonctionne bien, et je suis content pour lui.»
Cutler domine la ligue avec une moyenne de 10,1 verges par passe complétée, et son total de 649 verges aériennes est le troisième de la ligue. Il a réussi cinq passes de touché et n'a subi qu'une seule interception, lui qui s'est fait jouer le tour 26 fois en 2009. Les joueurs censés le protéger n'ont pas toujours été les plus efficaces, mais il joue avec conviction, et on le voit moins souvent tenter des passes risquées.
Rodgers revendique moins de verges que Cutler (443), une passe de touché de moins et une interception de plus. Les deux quarts sont toutefois tenus en haute estime, et on voit la possibilité d'une rivalité à long terme entre les deux athlètes.
«Il est très bon, a dit Cutler au sujet de Rodgers. Ses performances sont de haut calibre, comme l'an passé. Il a beaucoup d'armes, et leur attaque permet à plusieurs joueurs de contribuer. Il se déplace bien. C'est certain qu'il fait partie de l'élite des quarts.»
Les deux quarts sont sortis de l'ombre d'une légende - John Elway à Denver, dans le cas de Cutler, et Favre avec les Packers, dans le cas de Rodgers. Il y aussi un respect et une amitié entre les deux.
C'est Cutler qui a aidé le petit frère de Rodgers à s'acclimater à Vanderbilt, où il a lui-même brillé. Jordan Rodgers, un quart lui aussi, évolue pour les Commodores après deux ans au Butte Junior College.
«C'est super ce qu'il a fait pour mon petit frère, a dit Rodgers. Comme grand frère, c'est vraiment très apprécié qu'il ait fait en sorte que mon frère soit confortable à Vanderbilt, qu'il lui ait montré quelques repères à Nashville et tout ça. Ça a solidifié notre amitié. Je lui souhaite du succès 14 semaines sur 16, pendant la saison. Les deux autres semaines, je souhaite que peut-être il fasse une mauvaise passe ici et là de notre côté.»