Un gros défi attend les Cards
Football dimanche, 15 oct. 2006. 17:43 samedi, 14 déc. 2024. 01:29
GLENDALE, Arizona (AP) - Ils étaient jadis des rivaux se trouvant dans la même ville, deux équipes luttant pour l'allégeance des amateurs de football professionnel de Chicago. Les racines de l'histoire des Bears et des Cardinals remontent jusqu'aux débuts de la NFL.
Les Bears jouaient à Wrigley Field et les Cardinals, à Comiskey Park. De 1920 à 1952, ils s'affrontaient deux fois par saison.
Maintenant, les affrontements du genre sont rares.
Les Cardinals ont quitté Chicago en 1960, d'abord en direction de St. Louis, puis de l'Arizona, sans jamais cesser d'entretenir une tradition de perdants. Les Bears sont restés à la maison, ont reçu le monopole de la ville comme héritage et maintenant ils se présenteront en Arizona avec une fiche sans faille en vue de leur rencontre de lundi soir contre les Cards.
Les Bears (5-0), qui connaissent leur meilleur début de campagne en deux décennies, veulent se servir de cette tribune pour prouver qu'ils méritent d'être considérés comme de sérieux aspirants au Super Bowl.
"C'est une belle occasion de bien jouer sur le terrain alors que tout le monde regarde, a noté le quart des Bears Rex Grossman. Je pense que ce sera important pour toute l'équipe de lancer un autre message et de montrer où nous en sommes en ce moment."
Les Cardinals (1-4), eux, montreront leur stade flambant neuf au reste de l'Amérique du Nord et espéreront créer la surprise.
La saison 2006 devait être celle de la relance pour la formation de l'Arizona. Quatre de leurs six premiers matchs avaient lieu dans leur nouveau stade, un palais à la fine pointe de la technologie se trouvant dans la banlieue ouest de Phoenix. Après avoir évolué dans un stade collégial devant des gradins en majorité vides à Tempe pendant 18 ans, les Cardinals jouent à guichets fermés virtuellement à chaque match à domicile.
L'ajout d'Edgerrin James devait leur permettre de se doter d'une attaque au sol potable, mais celle-ci n'a pu se faire valoir derrière une ligne à l'attaque décevante. Si bien que l'Arizona se retrouve avec un dossier de 1-4 pour la troisième année de suite sous l'égide de l'entraîneur Dennis Green.
Matt Leinart obtiendra son deuxième départ dans la NFL à titre de quart, et il devra faire face à la ligne défensive combative et intimidante des Bears. Un défi formidable attend donc la recrue.
"Il faut avoir un bon plan de match, a dit Leinart. Il faut s'ajuster aux joueurs qui foncent à l'extérieur et essayer de mettre le ballon en mouvement rapidement, et ainsi laisser nos gars faire ce qu'ils savent faire.
"Je pense que nous pouvons rivaliser."
"Nous allons avoir besoin d'une attaque beaucoup mieux équilibrée, a dit Green. Nous affronterons une défensive qui provoque plusieurs revirements si l'adversaire cherche trop à lancer le ballon."
Ce sera la 88e fois que ces deux équipes s'affronteront, mais seulement la sixième depuis que les Cardinals ont déménagé en Arizona, en 1988. Les Bears ont remporté quatre des cinq plus récentes rencontres. Dans une série qui a commencé avec des casques en cuir et sans le bénéfice de la passe avant, les Bears mènent 55-26-6.
Les Bears jouaient à Wrigley Field et les Cardinals, à Comiskey Park. De 1920 à 1952, ils s'affrontaient deux fois par saison.
Maintenant, les affrontements du genre sont rares.
Les Cardinals ont quitté Chicago en 1960, d'abord en direction de St. Louis, puis de l'Arizona, sans jamais cesser d'entretenir une tradition de perdants. Les Bears sont restés à la maison, ont reçu le monopole de la ville comme héritage et maintenant ils se présenteront en Arizona avec une fiche sans faille en vue de leur rencontre de lundi soir contre les Cards.
Les Bears (5-0), qui connaissent leur meilleur début de campagne en deux décennies, veulent se servir de cette tribune pour prouver qu'ils méritent d'être considérés comme de sérieux aspirants au Super Bowl.
"C'est une belle occasion de bien jouer sur le terrain alors que tout le monde regarde, a noté le quart des Bears Rex Grossman. Je pense que ce sera important pour toute l'équipe de lancer un autre message et de montrer où nous en sommes en ce moment."
Les Cardinals (1-4), eux, montreront leur stade flambant neuf au reste de l'Amérique du Nord et espéreront créer la surprise.
La saison 2006 devait être celle de la relance pour la formation de l'Arizona. Quatre de leurs six premiers matchs avaient lieu dans leur nouveau stade, un palais à la fine pointe de la technologie se trouvant dans la banlieue ouest de Phoenix. Après avoir évolué dans un stade collégial devant des gradins en majorité vides à Tempe pendant 18 ans, les Cardinals jouent à guichets fermés virtuellement à chaque match à domicile.
L'ajout d'Edgerrin James devait leur permettre de se doter d'une attaque au sol potable, mais celle-ci n'a pu se faire valoir derrière une ligne à l'attaque décevante. Si bien que l'Arizona se retrouve avec un dossier de 1-4 pour la troisième année de suite sous l'égide de l'entraîneur Dennis Green.
Matt Leinart obtiendra son deuxième départ dans la NFL à titre de quart, et il devra faire face à la ligne défensive combative et intimidante des Bears. Un défi formidable attend donc la recrue.
"Il faut avoir un bon plan de match, a dit Leinart. Il faut s'ajuster aux joueurs qui foncent à l'extérieur et essayer de mettre le ballon en mouvement rapidement, et ainsi laisser nos gars faire ce qu'ils savent faire.
"Je pense que nous pouvons rivaliser."
"Nous allons avoir besoin d'une attaque beaucoup mieux équilibrée, a dit Green. Nous affronterons une défensive qui provoque plusieurs revirements si l'adversaire cherche trop à lancer le ballon."
Ce sera la 88e fois que ces deux équipes s'affronteront, mais seulement la sixième depuis que les Cardinals ont déménagé en Arizona, en 1988. Les Bears ont remporté quatre des cinq plus récentes rencontres. Dans une série qui a commencé avec des casques en cuir et sans le bénéfice de la passe avant, les Bears mènent 55-26-6.