Un test pour les Dolphins à Cincinnati
Football samedi, 30 oct. 2010. 15:55 jeudi, 12 déc. 2024. 10:42
CINCINNATI, Ohio - La Nouvelle-Orléans, Miami et Toronto: voilà les villes des équipes pour qui le demi offensif Ricky Williams a joué en 12 ans chez les pros. Au fil des saisons, il a visité la majorité des villes de football professionnel en Amérique du Nord, mais il y a des exceptions.
"À chaque année avant le début d'une saison, je regarde les équipes et je me dis qu'il n'y a pas beaucoup de stades ou de villes que je n'ai pas visitées, a dit Williams. Et Cincinnati est l'une d'entre elles."
Cela va changer dimanche alors que les Dolphins, intransigeants à l'étranger, rendront visite à des Bengals qui veulent gagner à nouveau.
Les Dolphins (3-3) connaissent une saison particulière. Ils montrent un dossier de 3-0 dans les stades adverses, mais de 0-3 à Miami - c'est la première fois depuis 1982 (Cardinals de St. Louis) qu'une équipe de la NFL commence une saison ainsi. Il y a trois autres équipes invaincues en trois matches à l'étranger, cette saison, et elles sont toutes dans l'Américaine: les Jets, les Steelers et les Titans.
"Nous sommes confiants à l'étranger, a dit le quart des Dolphins Chad Henne, qui a réussi trois passes de touché et n'a commis qu'une interception
à l'étranger, cette saison. C'est un très gros match pour nous. Il nous faut développer de la constance."
Les Bengals (2-4) ont perdu leurs trois derniers matches - par des marges limitées de trois, trois et sept points, toutefois. Champions en titre de la section Nord dans l'Américaine, ils n'ont que très peu modifié leur formation par rapport à l'an dernier. On a engagé l'ailier espacé Terrell Owens pour donner du tonus à l'attaque aérienne; on pensait, avec ce geste, que l'équipe serait en bonne posture pour remporter le titre de section deux ans de suite (ce que l'équipe n'a jamais réussi), mais le scénario commence plutôt à ressembler à des saisons que les Bengals voudraient oublier.
"Vous ne pouvez pas avoir comme façon de penser que ce qui fonctionnait la saison dernière va fonctionner cette année, a dit le plaqueur Tank Johnson. Si ça se passait comme ça, on prendrait pour acquis que les Saints vont encore une fois remporter le Super Bowl. Chaque saison est différente, et à chaque année il vous faut trouver la bonne formule dans le cas présent."
"À chaque année avant le début d'une saison, je regarde les équipes et je me dis qu'il n'y a pas beaucoup de stades ou de villes que je n'ai pas visitées, a dit Williams. Et Cincinnati est l'une d'entre elles."
Cela va changer dimanche alors que les Dolphins, intransigeants à l'étranger, rendront visite à des Bengals qui veulent gagner à nouveau.
Les Dolphins (3-3) connaissent une saison particulière. Ils montrent un dossier de 3-0 dans les stades adverses, mais de 0-3 à Miami - c'est la première fois depuis 1982 (Cardinals de St. Louis) qu'une équipe de la NFL commence une saison ainsi. Il y a trois autres équipes invaincues en trois matches à l'étranger, cette saison, et elles sont toutes dans l'Américaine: les Jets, les Steelers et les Titans.
"Nous sommes confiants à l'étranger, a dit le quart des Dolphins Chad Henne, qui a réussi trois passes de touché et n'a commis qu'une interception
à l'étranger, cette saison. C'est un très gros match pour nous. Il nous faut développer de la constance."
Les Bengals (2-4) ont perdu leurs trois derniers matches - par des marges limitées de trois, trois et sept points, toutefois. Champions en titre de la section Nord dans l'Américaine, ils n'ont que très peu modifié leur formation par rapport à l'an dernier. On a engagé l'ailier espacé Terrell Owens pour donner du tonus à l'attaque aérienne; on pensait, avec ce geste, que l'équipe serait en bonne posture pour remporter le titre de section deux ans de suite (ce que l'équipe n'a jamais réussi), mais le scénario commence plutôt à ressembler à des saisons que les Bengals voudraient oublier.
"Vous ne pouvez pas avoir comme façon de penser que ce qui fonctionnait la saison dernière va fonctionner cette année, a dit le plaqueur Tank Johnson. Si ça se passait comme ça, on prendrait pour acquis que les Saints vont encore une fois remporter le Super Bowl. Chaque saison est différente, et à chaque année il vous faut trouver la bonne formule dans le cas présent."
