Aération nécessaire
Hockey samedi, 17 déc. 2011. 13:54 mercredi, 11 déc. 2024. 23:37
Cela me rappelle tellement ce qui s'est passé le 14 janvier 2006. Bob Gainey avait congédié Claude Julien ce jour-là. Pas pour incompétence, loin de là. Mais après un bon début de saison, l'équipe avait connu certaines difficultés et une lourdeur de plus en plus étouffante s'était installée autour d'elle. Devant l'incapacité du leader en place à changer les choses, Gainey avait pris la décision de le remercier. Il s'était installé lui-même derrière le banc, en compagnie de Guy Carbonneau qui allait devenir entraîneur-chef, la saison suivante.
Cinq ans plus tard, on se retrouve devant une situation semblable. Pierre Gauthier a été suffisamment clair aujourd'hui pour qu'on puisse tirer le parallèle. Oui, la fiche de l'équipe est décevante, surtout à domicile. Mais au-delà de la fiche, il y a autre chose, comme l'ambiance. Le DG du Canadien a lui-même utilisé le mot « positivisme » quand il a parlé de l'arrivée de Larry Carrière derrière le banc.
En Randy Cunneyworth, les joueurs ne retrouveront pas nécessairement un bout-en-train. Mais ils seront dirigés par un ancien joueur qui sera forcément plus près d'eux, dès le départ. C'est un homme qui est de conversation fort agréable, très attachant. C'est aussi un homme qui mérite sa chance de diriger une équipe de la LNH. Il a excellé à toutes les étapes de sa vie professionnelle. Il a admirablement bien développé les jeunes joueurs des Sabres à Rochester, pendant le lock-out et il a accompli un excellent travail l'an dernier à Hamilton.
Coïncidence intéressante pour le nouvel entraîneur : la séquence de six matchs à l'étranger qui attend l'équipe à compter de lundi. Rien de tel qu'une longue période loin de la maison pour établir de toutes nouvelles bases au niveau de l'esprit d'équipe.
Cinq ans plus tard, on se retrouve devant une situation semblable. Pierre Gauthier a été suffisamment clair aujourd'hui pour qu'on puisse tirer le parallèle. Oui, la fiche de l'équipe est décevante, surtout à domicile. Mais au-delà de la fiche, il y a autre chose, comme l'ambiance. Le DG du Canadien a lui-même utilisé le mot « positivisme » quand il a parlé de l'arrivée de Larry Carrière derrière le banc.
En Randy Cunneyworth, les joueurs ne retrouveront pas nécessairement un bout-en-train. Mais ils seront dirigés par un ancien joueur qui sera forcément plus près d'eux, dès le départ. C'est un homme qui est de conversation fort agréable, très attachant. C'est aussi un homme qui mérite sa chance de diriger une équipe de la LNH. Il a excellé à toutes les étapes de sa vie professionnelle. Il a admirablement bien développé les jeunes joueurs des Sabres à Rochester, pendant le lock-out et il a accompli un excellent travail l'an dernier à Hamilton.
Coïncidence intéressante pour le nouvel entraîneur : la séquence de six matchs à l'étranger qui attend l'équipe à compter de lundi. Rien de tel qu'une longue période loin de la maison pour établir de toutes nouvelles bases au niveau de l'esprit d'équipe.