À un match de l'exploit
Edmonton Oilers vendredi, 16 juin 2006. 16:54 vendredi, 13 déc. 2024. 22:28
(RDS.ca) - Il y aura un septième match de la finale de la coupe Stanley et la façon dont le match de samedi s'est déroulé, placer deux dollars sur les Oilers d'Edmonton serait certes un bon investissement. Les Oilers ont refusé de mourir dans le sixième de la finale, jouant avec détermination pour l'emporter au compte de 4-0 sur les Hurricanes de la Caroline, qui ont été complètement lessivés.
Le match ultime sera présenté lundi en Caroline.
Il est difficile de décrire à quel point les Oilers ont dominé cette rencontre et après une telle performance, il y a lieu de se demander comment les Hurricanes vont se remettre de cette défaite, eux qui avaient un dossier de 6-0 après avoir subi une défaite dans ces séries depuis les deux revers encaissés face au Canadien de Montréal en première ronde. Et dire que les Canes n'étaient qu'à un but de remporter la coupe chez eux jeudi.
Les Oilers ont joué avec passion, exerçant un échec-avant constant et efficace. De plus, ils ont appliqué une telle robustesse que les Hurricanes ont eu du mal à suivre le rythme. Edmonton était toujours la première équipe sur la rondelle en plus d'empêcher les Hurricanes d'avoir accès au filet de Jussi Markkanen.
Les Oilers vont tenter de devenir la première équipe depuis les Maple Leafs de Toronto de 1942 à remporter la coupe Stanley après avoir tiré de l'arrière 1-3 dans la série.
Les Hurricanes n'étaient nettement pas dans la même classe que les Oilers samedi. Ces derniers ont tourbillonné toute la soirée dans le territoire adverse embouteillant la Caroline qui n'a lancé que 16 fois. Les hommes de Peter Laviolette n'ont lancé que trois fois en première période et quatre fois en deuxième période. Il s'est d'ailleurs écoulé plus de 14 minutes avant de voir les Hurricanes obtenir leur premier tir de l'engagement.
À court d'énergie, les Hurricanes pouvaient même compter sur l'excellent Erik Cole, qui n'avait pas joué depuis le match du 4 mars dernier contre les Penguins de Pittsburgh. Victime d'une fracture à une vertèbre du cou, on ne s'attendait pas à revoir Cole en uniforme durant cette série. Sa présence n'a rien changé au match et n'a apporté rien de significatif.
Les Oilers ont étourdi leurs adversaires durant les 60 minutes de la partie. Les deux premiers buts du match ont été comptés en deuxième période grâce notamment au brio de Fernando Pisani, qui a participé aux deux premiers buts des siens.
Pisani, qui a marqué le but de la victoire en prolongation lors du match précédent, a compté en avantage numérique à l'aide d'un tir du revers qui a dévié sur le bâton du défenseur Glen Wesley. Puis avant la fin de la période médiane, Raffi Torres a trouvé le fond du filet après avoir été alimenté par Pisani. Les Oilers ont profité du travail acharné de Michael Peca pour se donner deux buts d'avance.
Après un arrêt extraordinaire du gardien des Canes Cam Ward lors d'une descente à trois contre un, les Oilers ont réussi à mettre le match hors de la portée des champions de l'Est alors que Ryan Smyth a compté avec un tir du revers en avantage numérique après avoir coupé dans l'enclave.
À 13:05 de la troisième période Shawn Horcoff a marqué le quatrième but alors que l'issue de la partie était déjà scellée.
Le match ultime sera présenté lundi en Caroline.
Il est difficile de décrire à quel point les Oilers ont dominé cette rencontre et après une telle performance, il y a lieu de se demander comment les Hurricanes vont se remettre de cette défaite, eux qui avaient un dossier de 6-0 après avoir subi une défaite dans ces séries depuis les deux revers encaissés face au Canadien de Montréal en première ronde. Et dire que les Canes n'étaient qu'à un but de remporter la coupe chez eux jeudi.
Les Oilers ont joué avec passion, exerçant un échec-avant constant et efficace. De plus, ils ont appliqué une telle robustesse que les Hurricanes ont eu du mal à suivre le rythme. Edmonton était toujours la première équipe sur la rondelle en plus d'empêcher les Hurricanes d'avoir accès au filet de Jussi Markkanen.
Les Oilers vont tenter de devenir la première équipe depuis les Maple Leafs de Toronto de 1942 à remporter la coupe Stanley après avoir tiré de l'arrière 1-3 dans la série.
Les Hurricanes n'étaient nettement pas dans la même classe que les Oilers samedi. Ces derniers ont tourbillonné toute la soirée dans le territoire adverse embouteillant la Caroline qui n'a lancé que 16 fois. Les hommes de Peter Laviolette n'ont lancé que trois fois en première période et quatre fois en deuxième période. Il s'est d'ailleurs écoulé plus de 14 minutes avant de voir les Hurricanes obtenir leur premier tir de l'engagement.
À court d'énergie, les Hurricanes pouvaient même compter sur l'excellent Erik Cole, qui n'avait pas joué depuis le match du 4 mars dernier contre les Penguins de Pittsburgh. Victime d'une fracture à une vertèbre du cou, on ne s'attendait pas à revoir Cole en uniforme durant cette série. Sa présence n'a rien changé au match et n'a apporté rien de significatif.
Les Oilers ont étourdi leurs adversaires durant les 60 minutes de la partie. Les deux premiers buts du match ont été comptés en deuxième période grâce notamment au brio de Fernando Pisani, qui a participé aux deux premiers buts des siens.
Pisani, qui a marqué le but de la victoire en prolongation lors du match précédent, a compté en avantage numérique à l'aide d'un tir du revers qui a dévié sur le bâton du défenseur Glen Wesley. Puis avant la fin de la période médiane, Raffi Torres a trouvé le fond du filet après avoir été alimenté par Pisani. Les Oilers ont profité du travail acharné de Michael Peca pour se donner deux buts d'avance.
Après un arrêt extraordinaire du gardien des Canes Cam Ward lors d'une descente à trois contre un, les Oilers ont réussi à mettre le match hors de la portée des champions de l'Est alors que Ryan Smyth a compté avec un tir du revers en avantage numérique après avoir coupé dans l'enclave.
À 13:05 de la troisième période Shawn Horcoff a marqué le quatrième but alors que l'issue de la partie était déjà scellée.