Le Buffalo News rapporte dimanche que les autorités n'ont pas trouvé de traces d'ADN de l'attaquant des Blackhawks de Chicago Patrick Kane dans les parties génitales ou dans les sous-vêtements d'une présumée victime d'une agression sexuelle.

Kane, qui fait toujours l'objet d'une enquête, n'a pas été accusé en lien avec un incident qui aurait eu lieu le 2 août dernier à Hamburg dans l'état de New York. Un grand jury a été récemment reporté à plus tard dans le mois. La police n'a pas révélé d'autres détails.

Kane a déclaré jeudi qu'il n'avait rien fait de mal et qu'il espérait être absous.

Le quotidien de Buffalo soutient que l'ADN de Kane a été retrouvé sur les épaules et les ongles de la dame, mais des sources indiquent que cette preuve d'ADN a pu se produire par un simple contact.

Il faut savoir que l'analyse des éléments de preuve dans une enquête sur une agression sexuelle va souvent au-delà de l'ADN, et l'absence de preuve d'ADN ne suggère pas que l'agression sexuelle n'a pas eu lieu.

L'affaire est une distraction chez les Blackhawks depuis plusieurs semaines. L'équipe prépare sa saison qui s'amorcera le 7 octobre.

Des pourparlers seraient en cours entre les deux parties, ce que l'avocat de Kane, Paul Cambria avait précédemment nié.