Arnott et Devils : une amitié renouée
New Jersey Devils jeudi, 21 oct. 2010. 23:33 jeudi, 12 déc. 2024. 05:34
Par Maxime Morin - Certaines amitiés demeurent solides avec le temps tandis que d'autres s'estompent. Celle entre Jason Arnott et les Devils du New Jersey a repris vie le 18 juin dernier lorsqu'il a été acquis des Predators de Nashville.
Même s'il fait partie des « nouvelles acquisitions » des Devils cette saison, le vétéran attaquant est loin d'être un étranger au sein de l'organisation. Arnott a porté les couleurs du diable de 1998 à 2002, soulevant au passage la coupe Stanley au printemps de l'an 2000.
De cette conquête, il ne reste que Patrik Elias, Martin Brodeur, Colin White et nous pouvons maintenant y ajouter le nom de Arnott.
« J'était content de revenir avec les Devils. J'ai de bons souvenirs de mon passage avec l'équipe », a indiqué Arnott lorsque rencontré avant la partie de jeudi.
« J'ai gardé un bon contact avec Martin (Brodeur) et Patrik (Elias) depuis mon départ. Lorsque tu gagnes une coupe Stanley avec certains joueurs, ça aide à bâtir une amitié très forte et mon retour avec les Devils n'a fait que raviver la flamme entre nous. C'était comme dans le bon vieux temps! »
En juin dernier, Arnott est passé aux Devils en retour de Matt Halischuk et d'un choix de deuxième tour au repêchage. Le vétéran de 36 ans venait de compléter sa quatrième saison à Nashville, sa troisième comme capitaine.
« Ce fut une décision difficile à prendre. Je voulais une prolongation de contrat avec les Predators sauf que nous nous sommes pas entendus sur les termes. Ils préféraient accorder des contrats à de jeunes joueurs prometteurs. J'ai décidé d'un commun accord avec ma famille que l'on serait mieux ailleurs. »
Les problèmes d'argent et de plafond salarial ont suivi Arnott au New Jersey. Les Devils ont encore beaucoup moins de marge de manoeuvre que les Preds, ce qui a même forcé les hommes de John MacLean à jouer à 15 patineurs à un certain moment en raison des blessures et du cap salarial.
Les avis dans le vestiaire des Devils sont partagés quant au fait de jouer avec des effectifs réduits; certains ont aimé, d'autres ont détesté. Arnott a répondu avec le sourire.
« Ce fut plaisant! Ce n'était pas si dur que ça physiquement, mais je ne le ferais pas pendant toute la saison. Nous sommes une meilleure équipe avec tous nos joueurs, sinon la fatigue va commencer à se faire sentir. »
Excluant sa première année où il est arrivé en plein mois de janvier, Arnott a amassé au moins 20 buts lors de ses quatre saisons au New Jersey. Jeudi soir, Arnott a inscrit l'un des trois buts des Devils, il s'agitssait du 100e de sa carrière dans cet uniforme.
Même s'il fait partie des « nouvelles acquisitions » des Devils cette saison, le vétéran attaquant est loin d'être un étranger au sein de l'organisation. Arnott a porté les couleurs du diable de 1998 à 2002, soulevant au passage la coupe Stanley au printemps de l'an 2000.
De cette conquête, il ne reste que Patrik Elias, Martin Brodeur, Colin White et nous pouvons maintenant y ajouter le nom de Arnott.
« J'était content de revenir avec les Devils. J'ai de bons souvenirs de mon passage avec l'équipe », a indiqué Arnott lorsque rencontré avant la partie de jeudi.
« J'ai gardé un bon contact avec Martin (Brodeur) et Patrik (Elias) depuis mon départ. Lorsque tu gagnes une coupe Stanley avec certains joueurs, ça aide à bâtir une amitié très forte et mon retour avec les Devils n'a fait que raviver la flamme entre nous. C'était comme dans le bon vieux temps! »
En juin dernier, Arnott est passé aux Devils en retour de Matt Halischuk et d'un choix de deuxième tour au repêchage. Le vétéran de 36 ans venait de compléter sa quatrième saison à Nashville, sa troisième comme capitaine.
« Ce fut une décision difficile à prendre. Je voulais une prolongation de contrat avec les Predators sauf que nous nous sommes pas entendus sur les termes. Ils préféraient accorder des contrats à de jeunes joueurs prometteurs. J'ai décidé d'un commun accord avec ma famille que l'on serait mieux ailleurs. »
Les problèmes d'argent et de plafond salarial ont suivi Arnott au New Jersey. Les Devils ont encore beaucoup moins de marge de manoeuvre que les Preds, ce qui a même forcé les hommes de John MacLean à jouer à 15 patineurs à un certain moment en raison des blessures et du cap salarial.
Les avis dans le vestiaire des Devils sont partagés quant au fait de jouer avec des effectifs réduits; certains ont aimé, d'autres ont détesté. Arnott a répondu avec le sourire.
« Ce fut plaisant! Ce n'était pas si dur que ça physiquement, mais je ne le ferais pas pendant toute la saison. Nous sommes une meilleure équipe avec tous nos joueurs, sinon la fatigue va commencer à se faire sentir. »
Excluant sa première année où il est arrivé en plein mois de janvier, Arnott a amassé au moins 20 buts lors de ses quatre saisons au New Jersey. Jeudi soir, Arnott a inscrit l'un des trois buts des Devils, il s'agitssait du 100e de sa carrière dans cet uniforme.