Bélanger s'amuse en Caroline
Hockey jeudi, 2 nov. 2006. 15:58 dimanche, 15 déc. 2024. 06:25
(PC) - Eric Bélanger commence à apprécier les avantages de son transfert en Caroline. Echangé aux Hurricanes par les Kings de Los Angeles le 29 septembre, Bélanger dit se plaire dans son nouvel environnement.
"La transaction m'a surpris. Je m'y attendais pas, racontait Bélanger avant le match contre le Canadien. Dean Lombardi (le directeur général des Kings) me disait que j'étais toujours dans les plans de l'équipe. On avait même discuté d'un contrat de trois ans. D'un autre côté, je serai joueur autonome sans compensation à la fin de la saison et les Kings risquaient de me perdre pour rien."
Bélanger a été échangé en même temps que le défenseur Tim Gleason en retour des défenseurs Oleg Tverdovsky et Jack Johnson.
Avec le recul, le Sherbrookois se rend compte qu'il a quitté les Kings au bon moment.
"Je rejoins les champions de la coupe Stanley alors que les Kings pourraient rater les séries pour une quatrième saison de suite. J'entends aussi plein de choses négatives sur les Kings. J'ai encore des amis là-bas et les gars ne s'amusent pas.
"C'est tout le contraire ici. L'organisation est incroyable. Toute la famille s'est sentie la bienvenue.
"C'est évidemment plus tranquille que Los Angeles où j'ai joué pendant sept ans. J'avais une maison proche de l'océan et je m'y plaisais beaucoup. Mais nous avons aussi une belle qualité de vie en Caroline. Ma nouvelle maison me coûte trois fois moins cher qu'à Los Angeles et il n'y a presque pas de circulation. Il y a aussi les déplacements qui sont moins longs. C'est moins dur sur le corps."
Une meilleure visibilité
Bélanger, qui aura 29 ans le 16 décembre, croit que son transfert dans l'est lui permettra de mieux se faire connaître des équipes s'il doit se prévaloir de son autonomie.
"A Los Angeles, nos matchs commencent au moment où la majorité des gens vont se coucher. On n'a pas l'occasion d'être vus souvent."
Un troisième trio
Chez les Canes, Bélanger pivote le troisième trio. Il souhaiterait jouer davantage même si l'équipe mise déjà sur Eric Staal et Rod Brind'Amour.
"Je joue seulement 14 minutes. C'est normal tellement il y a de bons joueurs ici. Le retour de Cory Stillman (en janvier?) devrait équilibrer les trios", pense-t-il.
Bélanger apprécie malgré tout son nouvel entraîneur.
"J'adore sa façon de diriger, dit-il au sujet de Peter Laviolette. Il respecte les joueurs. Il communique aussi très bien."
Laviolette se dit très satisfait de la nouvelle acquisition des Canes.
"Nous avions besoin d'un véritable joueur de centre, dit-il. Bélanger est ce type de joueur. Il est rapide et possède de belles habiletés. Il est aussi solide défensivement. Il a assurément sa place dans cette équipe."
Les Hurricanes pourraient lui offrir un contrat durant la saison. Dans le cas contraire, il attendra les offres.
Du Canadien?
"J'aimerais jouer à Montréal. Mais il est trop tôt pour parler de ça. Pour l'instant, je joue en Caroline."
"La transaction m'a surpris. Je m'y attendais pas, racontait Bélanger avant le match contre le Canadien. Dean Lombardi (le directeur général des Kings) me disait que j'étais toujours dans les plans de l'équipe. On avait même discuté d'un contrat de trois ans. D'un autre côté, je serai joueur autonome sans compensation à la fin de la saison et les Kings risquaient de me perdre pour rien."
Bélanger a été échangé en même temps que le défenseur Tim Gleason en retour des défenseurs Oleg Tverdovsky et Jack Johnson.
Avec le recul, le Sherbrookois se rend compte qu'il a quitté les Kings au bon moment.
"Je rejoins les champions de la coupe Stanley alors que les Kings pourraient rater les séries pour une quatrième saison de suite. J'entends aussi plein de choses négatives sur les Kings. J'ai encore des amis là-bas et les gars ne s'amusent pas.
"C'est tout le contraire ici. L'organisation est incroyable. Toute la famille s'est sentie la bienvenue.
"C'est évidemment plus tranquille que Los Angeles où j'ai joué pendant sept ans. J'avais une maison proche de l'océan et je m'y plaisais beaucoup. Mais nous avons aussi une belle qualité de vie en Caroline. Ma nouvelle maison me coûte trois fois moins cher qu'à Los Angeles et il n'y a presque pas de circulation. Il y a aussi les déplacements qui sont moins longs. C'est moins dur sur le corps."
Une meilleure visibilité
Bélanger, qui aura 29 ans le 16 décembre, croit que son transfert dans l'est lui permettra de mieux se faire connaître des équipes s'il doit se prévaloir de son autonomie.
"A Los Angeles, nos matchs commencent au moment où la majorité des gens vont se coucher. On n'a pas l'occasion d'être vus souvent."
Un troisième trio
Chez les Canes, Bélanger pivote le troisième trio. Il souhaiterait jouer davantage même si l'équipe mise déjà sur Eric Staal et Rod Brind'Amour.
"Je joue seulement 14 minutes. C'est normal tellement il y a de bons joueurs ici. Le retour de Cory Stillman (en janvier?) devrait équilibrer les trios", pense-t-il.
Bélanger apprécie malgré tout son nouvel entraîneur.
"J'adore sa façon de diriger, dit-il au sujet de Peter Laviolette. Il respecte les joueurs. Il communique aussi très bien."
Laviolette se dit très satisfait de la nouvelle acquisition des Canes.
"Nous avions besoin d'un véritable joueur de centre, dit-il. Bélanger est ce type de joueur. Il est rapide et possède de belles habiletés. Il est aussi solide défensivement. Il a assurément sa place dans cette équipe."
Les Hurricanes pourraient lui offrir un contrat durant la saison. Dans le cas contraire, il attendra les offres.
Du Canadien?
"J'aimerais jouer à Montréal. Mais il est trop tôt pour parler de ça. Pour l'instant, je joue en Caroline."