Il connaît une séquence d’un seul but en 17 rencontres

L’attaquant Benoit Pouliot, des Bruins de Boston, semble vivre la même irrégularité que durant son séjour avec le Wild du Minnesota et le Canadien de Montréal.



En effet, après avoir marqué un but dans trois matchs d’affilée, lors des rencontres du 17, 19 et 23 décembre, il n’a pas réussi à trouver le fond du filet lors de ses 11 derniers matchs (0–2-2), son dernier but remontant au 10 janvier, dans un gain de 5 à 3, face aux Jets de Winnipeg, lui qui n’a fait mouche qu’une seule fois lors de ses 17 dernières rencontres (1–7-8), depuis le 28 décembre dernier.

Rayé de la feuille de pointage dans ses quatre derniers matchs (0–0-0), il présente une fiche globale de 8–9-17 avec un différentiel de plus 17 en 45 matchs, comparativement à une fiche de 10–11-21 après 45 matchs l’an dernier, alors qu’il portait l’uniforme du Canadien de Montréal.

On sait qu’il avait connu une fin de saison atroce, car après avoir réussi un but dans trois matchs de suite (les 10, 12 et 15 février 2011), il n’avait pas marqué lors des 24 dernières rencontres régulières (0–6-6) et lors de ses trois matchs éliminatoires (0–0-0).

Réussira-t-il à mettre fin à sa disette, en affrontant les coriaces Capitals de Washington, en ce dimanche du Super Bowl ?

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Les Jets de Winnipeg ont une période difficile en attaque



Depuis le début de leur présent voyage de six rencontres, les Jets de Winnipeg semblent avoir perdu leur attaque quelque part !

En effet, la formation dirigée par Claude Noel, qui complète son périple de six rencontres, en visitant le Canadien de Montréal, au Centre Bell, a une fiche de 2–3-0 lors des cinq premiers matchs, n’ayant réussi que six buts lors de cette période.

Les Jets ont remporté deux gains de 2 à 1, en bris d’égalité, subi une défaite de 3 à 0 et deux autres de 2 à 1, en temps régulier, leur jeu de puissance ayant présenté un rendement de 0 en 10 lors des cinq rencontres.

Pis, lors de leurs 10 derniers matchs à l’étranger, les Jets ont une fiche de 4–6-0 et ont été limités à seulement 14 buts, une faible moyenne de 1,40 filet par rencontre.

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Les Rangers de New York sont superbes contre leur section

La raison pour laquelle les Rangers de New York occupent le premier rang de leur section est vraiment leur rendement contre cette division.

Contrairement à l’an dernier, la formation dirigée par John Tortorella semble vraiment à l’aise contre les quatre autres équipes de la section Atlantique, affichant un dossier de 9–2-1 en 12 matchs (moyenne de ,792) comparativement à un rendement de 23–10-4 (moyenne de ,676) en 37 matchs contre les autres sections du circuit.

Les Rangers ont un dossier parfait de 3–0-0 en trois matchs contre les Flyers de Phiiladelphie, leurs adversaires d’aujourd’hui, de 2–1-0 en trois matchs contre les Penguins de Pittsburgh, de 3–1-0 en quatre rencontres face aux Islanders de New York et de 1–0-1 en deux matchs contre les Devils du New Jersey.

L’an dernier, les Rangers avaient présenté une fiche de 14–9-1 (moyenne de ,604) dans les 24 matchs contre leur section.

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