Boyle est très apprécié en Suède
Hockey vendredi, 11 févr. 2005. 19:10 dimanche, 15 déc. 2024. 05:33
(RDS) - Si la grande majorité des joueurs en lock-out se sont tournés vers l'Europe un peu avant Noël, ce n'est pas le cas de Dan Boyle qui fut l'un des premiers à s'exiler. Le défenseur originaire d'Ottawa venait de gagner la coupe Stanley et il aurait pu prendre quelques semaines de plus pour bien se reposer, mais il a choisi de quitter la maison dès la mi-novembre. Et, s'il avait pu, il aurait quitté avant ça.
"Je suis parti le jour après avoir reçu ma bague de la coupe Stanley. Au début, on ne devait même pas recevoir notre bague car la LNH ne voulait pas. J'étais incapable de demeurer à la maison et de ne rien faire. Chaque jour, je lisais les journaux, j'écoutais la radio et je naviguais sur internet. Je n'étais plus capable! Il fallait que je parte pour jouer au hockey. Alors, je suis venu ici. Ce n'était pas une question d'argent. Juste de trouver une bonne place."
Boyle s'est donc tourné vers l'équipe suédoise de Djurgarden, un quartier de Stockholm, la capitale. En Scandinavie, Djurgarden est aussi réputée que le Canadien en raison des nombreux championnats remportés au fil des ans. Même si le hockey de la Ligue nationale lui manque, Boyle avoue qu'il ne s'ennuie pas du tout de John Tortorella. D'autant plus que personne ne pique de crise en Suède et qu'il peut librement exprimer son talent.
"Dan Joue comme un Européen. Il manie bien la rondelle, patine bien et a une bonne vision du jeu. Ici, il a une fraction de seconde de plus pour faire ses jeux. Il est le meilleur de la ligue", a indiqué l'entraîneur de Djugarden, Niklas Wideman.
Quand j'étais plus jeune, les gens disaient que j'étais trop petit pour jouer dans la LNH et je m'étais donc dis que j'irais jouer en Europe. Je suis heureux d'avoir la chance de vivre ça. Offensivement, je trouve que ça m'aide."
Même s'il a remporté la coupe Stanley avec le Lightning en juin dernier, Dan Boyle était pratiquement inconnu des amateurs de hockey suédois il y a quelques mois. Aujourd'hui, les partisans de l'organisation de Djurgarden ont l'impression que les dirigeants de la formation ont réussi à mettre la main sur l'un des secrets les mieux gardés de la Ligue nationale.
"Je suis parti le jour après avoir reçu ma bague de la coupe Stanley. Au début, on ne devait même pas recevoir notre bague car la LNH ne voulait pas. J'étais incapable de demeurer à la maison et de ne rien faire. Chaque jour, je lisais les journaux, j'écoutais la radio et je naviguais sur internet. Je n'étais plus capable! Il fallait que je parte pour jouer au hockey. Alors, je suis venu ici. Ce n'était pas une question d'argent. Juste de trouver une bonne place."
Boyle s'est donc tourné vers l'équipe suédoise de Djurgarden, un quartier de Stockholm, la capitale. En Scandinavie, Djurgarden est aussi réputée que le Canadien en raison des nombreux championnats remportés au fil des ans. Même si le hockey de la Ligue nationale lui manque, Boyle avoue qu'il ne s'ennuie pas du tout de John Tortorella. D'autant plus que personne ne pique de crise en Suède et qu'il peut librement exprimer son talent.
"Dan Joue comme un Européen. Il manie bien la rondelle, patine bien et a une bonne vision du jeu. Ici, il a une fraction de seconde de plus pour faire ses jeux. Il est le meilleur de la ligue", a indiqué l'entraîneur de Djugarden, Niklas Wideman.
Quand j'étais plus jeune, les gens disaient que j'étais trop petit pour jouer dans la LNH et je m'étais donc dis que j'irais jouer en Europe. Je suis heureux d'avoir la chance de vivre ça. Offensivement, je trouve que ça m'aide."
Même s'il a remporté la coupe Stanley avec le Lightning en juin dernier, Dan Boyle était pratiquement inconnu des amateurs de hockey suédois il y a quelques mois. Aujourd'hui, les partisans de l'organisation de Djurgarden ont l'impression que les dirigeants de la formation ont réussi à mettre la main sur l'un des secrets les mieux gardés de la Ligue nationale.