Ils ont un dossier combiné de 0-3-3 en huit matchs dans la présente série

Nul doute, si les Rangers de New York espèrent remporter la présente série contre les Devils du New Jersey, ils devront obtenir un meilleur support offensif de leurs deux vedettes en attaque, Brad Richards et Marian Gaborik.



Ces deux joueurs n’ont pas encore marqué dans l’actuel duel face aux Devils, Richards affichant un dossier de 0–3-3 avec un différentiel de moins un en quatre matchs, alors que Gaborik a été rayé de la feuille de pointage, 0–0-0 avec un différentiel de moins deux en quatre rencontres.

Cela fait un dossier global de 0–3-3 avec un différentiel de moins trois en huit matchs, le dernier but de Richards remontant au 12 mai, dans le 7e et décisif match, un gain de 2 à 1, face aux Capitals de Washington, au Madison Square Garden, alors que le dernier filet de Gaborik remonte au 9 mai, dans un revers de 2 à 1, face aux Capitals, au Verizon Center.

Durant le calendrier régulier, Richards (dont la fiche en série est de 6–8-14 en 18 matchs) avait présenté un rendement de 25–41-66 en 82 matchs, alors que Gaborik, qui a un dossier de 4–6-10 en 18 matchs, avait affiché un dossier de 41–35-76 en 82 rencontres.

Pour ajouter aux statistiques de Richards: il n‘a pas marqué lors de ses 10 derniers matchs contre les Devils, lui qui a eu un dossier de 0–2-2 lors des six matchs du calendrier régulier.

Le gardien gardien Henrik Lundqvist a sauvé les meubles avec deux blanchissages de 3 à 0 dans cette série et l’attaque timide des Rangers n’a pas produit les résultats souhaités.

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En retard après 2 périodes, aucun retour victorieux depuis le 1er mai



Plus les séries avancent, plus on constate que les équipes parviennent à protéger leurs avances lorsqu’elles mènent après deux périodes.

En effet, après avoir eu pas moins de six retours victorieux dans ces circonstances lors de la première ronde, il n’y a eu qu’un seul retour gagnant depuis le début de la deuxième ronde.

Les équipes, qui affichaient un dossier de 6–27 en 33 tentatives, lors des 48 premiers matchs du premier tour, ont un rendement de 1–17 en 18 occasions, lors des 30 dernières rencontres.

Les Devils du New Jersey ont réussi le dernier retour victorieux, eux qui tirant de l’arrière 1 à 0, après le deuxième vingt, face aux Flyers de Philadelphie, le 1er mai, avaient marqué quatre fois lors de la troisième période, dans un gain de 4 à 1, lors du 2e match de la demi-finale de l’Association de l’Est.

Pis, depuis ce retour victorieux, les équipes ont une fiche de 0–12 dans les 12 derniers matchs où elles se retrouvaient en déficit après la période médiane.

Aucune équipe de l’Association de l’Est n’a réussi un retour victorieux à domicile à ce chapitre, les huit formations affichant un rendement de 0–9 en neuf tentatives.

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En ce début de 2012, quel rendement pour David Wright des Mets de New York !



Après avoir vécu la pire saison de sa carrière en 2011, c’est un début tout simplement extraordinaire que connaît le troisième-but David Wright, des Mets de New York.

En effet, après avoir présenté une moyenne de seulement ,255 avec 14 circuits et 61 points produits en 102 matchs, l’an dernier, le spectaculaire joueur affiche la meilleure moyenne des majeures (,403) avec quatre circuits et 25 points produits en 39 matchs.

Cela représente une augmentation de plus de 100 points sur sa moyenne à vie, qui était de ,2999 en 1106 matchs avant la présente saison.

Pour illustrer son excellence et sa régularité, soulignons qu’il a récolté au moins un coup sûr dans 33 de ses 39 matchs et deux coups sûrs ou plus dans 17 rencontres.

Wright, dont la moyenne est de ,447 en 21 matchs à l’étranger (comparativement à une moyenne de ,333 en 18 matchs au Citi Field), présente une moyenne de ,418 en 19 rencontres lors de l’actuel mois de mai, lui qui avait eu une moyenne de ,389 en 20 matchs, lors du mois d’avril.

Une petite ombre au tableau : il a une moyenne de ,071 dans les quatre matchs disputés contre les Giants de San Francisto, ayant été limité à seulement un coup sûr, un maigre simple, en 14 présences au bâton.

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Aucun grand chelem pour la section Centrale de la Ligue américaine !

On a disputé le premier quart de la présente saison dans le baseball majeur et certaines statistiques frappent un peu plus que d’autres.

On peut parler des circuits du voltigeur Josh Hamilton, des Rangers du Texas, de la présente remontée des Red Sox de Boston, du pénible début du premier-but Albert Pujols, des Angels de Los Angeles-Anaheim, mais on peut aussi constater que les cinq formations de la section Centrale de la Ligue américaine n’ont pas encore réussi un seul grand chelem !

En effet, sur les 31 grands chelems frappés jusqu’ici en 2012, les White Sox de Chicago (0 en 34), les Indians de Cleveland (0 en 42), les Tigers de Detroit (0 en 27), les Royals de Kansas City (0 en 25) et les Twins du Minnesota (0 en 49), ont un rendement global de 0 en 177, au chapitre des circuits dans cette situation depuis le début de la campagne.

Il y a six autres équipes qui n’ont pas réussi un grand chelem, les Angels de Los Angeles-Anaheim, dans l’Américaine et les Dodgers de Los Angeles, les Mets de New York, les Pirates de Pittsburgh, les Giants de San Francisco et les Nationals de Washington, dans la Nationale.

Soulignons que les Rays de Tampa Bay, dans l’Américaine et les Rockies du Colorado, dans la Nationale, sont les deux seules équipes ayant réussi trois chelems cette année.

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