Brian donne le crédit à Bryan
Anaheim Ducks jeudi, 7 juin 2007. 17:32 mercredi, 11 déc. 2024. 22:48
ANAHEIM - Le directeur général des Ducks d'Anaheim donne crédit à l'entraîneur des Sénateurs d'Ottawa pour la conquête de la coupe Stanley...
Brian Burke a en effet expliqué après le dernier match de la saison à quel point des décisions prises par Murray, qui a été son prédécesseur au poste de directeur général des Ducks, ont servi sa cause par la suite.
Un des premiers gestes posé par Burke quand il a remplacé Murray parti pour Ottawa a été d'engager Scott Niedermayer, qui vient d'être élu le joueur par excellence des séries de la coupe Stanley. Puis il a ajouté Chris Pronger avant le début de la dernière saison
"Nous avions l'impression qu'en ajoutant un autre défenseur d'élite nous pouvions viser aux plus grands honneurs, a expliqué Burke. Et grâce à Bryan Murray, nous avions la profondeur voulue pour y arriver."
Murray a notamment repêché Ryan Getzlaf et Corey Perry pour les Ducks.
"Si nous n'avions pas eu Corey Perry, nous n'aurions pas échangé Joffrey Lupul, c'est aussi simple que ça", a indiqué Burke en faisant référence au jeune attaquant que les Ducks ont dû céder aux Oilers pour faire l'acquisition de Pronger, qui voulait revenir dans une ville américaine.
"Bryan nous a procuré la profondeur qui a permis un tel échange. Je ne pense pas qu'aucune autre équipe aurait pu conclure cet échange pour Chris Pronger et nous pouvons en remercier Bryan Murray", a insisté Burke.
Burke a aussi vanté le nouveau système mis en place après le lock-out, parce que le plafond salarial donne une chance égale à tout le monde.
"A Vancouver dans l'ancien système, nous devions affronter des équipes qui avaient le double de notre masse salariale", a-t-il rappelé.
Burke se souvient spécialement d'une série éliminatoire dontre l'Avalanche du Colorado.
"Nous avions une valeur de 22 millions $ (US) en uniforme et leur première unité de jeu de puissance en valait le double..."
Burke, qui n'a pas la langue dans sa poche, a aussi déclaré que c'était une honte que son entraîneur Randy Carlyle ne soit pas au nombre des trois finalistes pour l'obtention du trophée Jack Adams.
"Ce n'est rien contre les trois gars en nomination (Michel Therrien, Alain Vigneault et Barry Trotz), a déclaré Burke. Ce sont des entraîneurs de qualité. Mais le fait que Randy Carlyle ne soit pas candidat est très décevant. Il a fait un travail remarquable."
Brian Burke a en effet expliqué après le dernier match de la saison à quel point des décisions prises par Murray, qui a été son prédécesseur au poste de directeur général des Ducks, ont servi sa cause par la suite.
Un des premiers gestes posé par Burke quand il a remplacé Murray parti pour Ottawa a été d'engager Scott Niedermayer, qui vient d'être élu le joueur par excellence des séries de la coupe Stanley. Puis il a ajouté Chris Pronger avant le début de la dernière saison
"Nous avions l'impression qu'en ajoutant un autre défenseur d'élite nous pouvions viser aux plus grands honneurs, a expliqué Burke. Et grâce à Bryan Murray, nous avions la profondeur voulue pour y arriver."
Murray a notamment repêché Ryan Getzlaf et Corey Perry pour les Ducks.
"Si nous n'avions pas eu Corey Perry, nous n'aurions pas échangé Joffrey Lupul, c'est aussi simple que ça", a indiqué Burke en faisant référence au jeune attaquant que les Ducks ont dû céder aux Oilers pour faire l'acquisition de Pronger, qui voulait revenir dans une ville américaine.
"Bryan nous a procuré la profondeur qui a permis un tel échange. Je ne pense pas qu'aucune autre équipe aurait pu conclure cet échange pour Chris Pronger et nous pouvons en remercier Bryan Murray", a insisté Burke.
Burke a aussi vanté le nouveau système mis en place après le lock-out, parce que le plafond salarial donne une chance égale à tout le monde.
"A Vancouver dans l'ancien système, nous devions affronter des équipes qui avaient le double de notre masse salariale", a-t-il rappelé.
Burke se souvient spécialement d'une série éliminatoire dontre l'Avalanche du Colorado.
"Nous avions une valeur de 22 millions $ (US) en uniforme et leur première unité de jeu de puissance en valait le double..."
Burke, qui n'a pas la langue dans sa poche, a aussi déclaré que c'était une honte que son entraîneur Randy Carlyle ne soit pas au nombre des trois finalistes pour l'obtention du trophée Jack Adams.
"Ce n'est rien contre les trois gars en nomination (Michel Therrien, Alain Vigneault et Barry Trotz), a déclaré Burke. Ce sont des entraîneurs de qualité. Mais le fait que Randy Carlyle ne soit pas candidat est très décevant. Il a fait un travail remarquable."