Burke confirmé dans ses fonctions
Toronto Maple Leafs samedi, 29 nov. 2008. 14:47 samedi, 14 déc. 2024. 01:40
TORONTO - Brian Burke a été confirmé samedi dans ses doubles fonctions de président et directeur général des Maple Leafs de Toronto et il veut prendre le temps de connaître son environnement avant de tracer un plan d'attaque pour redresser cette concession.
Il s'est fixé la date butoir personnelle du 9 décembre pour conclure des échanges, ce qui laisse entendre qu'il ne passera pas à l'action avant un bon bout de temps.
"Je ne pense pas qu'on doit échanger des joueurs dans le temps de Noël à moins qu'ils le demandent eux-mêmes", a-t-il dit samedi en conférence de presse.
"C'est dire que dans mon cas, évaluer l'équipe, porter des jugements et agir avant le 9 décembre sera une tâche difficile. Parce que je pense que les joueurs méritent de passer le temps des fêtes en famille."
Cela pourra calmer quelques joueurs plus nerveux mais les membres d'une équipe réputée pour ne pas être assez dure à la tâche devraient prendre note de la philosophie du nouveau patron.
La ténacité et la force de caractère seront parmi les premiers critères retenus.
"Nous voulons une équipe combative et agressive, des joueurs prêts à aller à la guerre, a résumé Burke. C'est de cette façon que nos équipes jouent."
Burke ne s'est pas fixé d'horaire pour transformer une équipe qui n'a pas participé aux séries de la coupe Stanley depuis 2004 et n'a pas gagné cette coupe depuis 1967.
Il a toutefois fait connaître ses trois piliers pour mener à bien une équipe.
"Premièrement, il faut offrir un bon spectacle, il faut justifier le prix des billets chaque soir, que l'équipe soit fructueuse ou non. Nous croyons à la poursuite de la rondelle dans les trois zones ou, encore mieux, se l'approprier. Nous croyons à la nécessité de répondre aux défis physiques en pratiquant un style de jeu qui permet aux plus jeunes de se développer dans un environnement où ils n'auront pas à craindre.
"Deuxièmement, nous prônons la prudence financière et fiscale. Nous essayons de dépenser intelligemment l'argent des partisans et des commanditaires.
"Et troisièmement, il y a les services à la communauté. Ce n'est pas optionnel. Si vous voulez jouer dans une grande ville comme Toronto, il faut redonner à la communauté, sinon on vous enverra ailleurs."
Les équipes de Burke auront une hiérarchie clairement établie.
"Nous croyons à une formule avec six attaquants avec de forts niveaux d'habiletés et un groupe de six autres qui font un travail de plombier, qui bloquent les rondelles, jouent en désavantage numérique, se battent...
"Même chose en défense. Nous cherchons un groupe de quatre défenseurs habiles et deux autres pour faire le travail de plombier, qui est très important."
Burke aura le temps et l'argent pour développer sa vision d'une équipe fructueuse puisque son contrat couvre cette saison et les cinq prochaines, à un salaire estimé à trois millions $ par année.
Burke remplace Cliff Fletcher, qui était directeur général par intérim depuis le congédiement de John Ferguson en janvier dernier. Il a fait savoir que Fletcher était invité à demeurer dans l'organisation.
Burke a démissionné le 13 novembre de son poste de vice-président et directeur général des Ducks d'Anaheim, qu'il a mené à la conquête de la coupe Stanley en 2007, entres pour se rapprocher de ses enfants dans l'est du continent.
Il s'est fixé la date butoir personnelle du 9 décembre pour conclure des échanges, ce qui laisse entendre qu'il ne passera pas à l'action avant un bon bout de temps.
"Je ne pense pas qu'on doit échanger des joueurs dans le temps de Noël à moins qu'ils le demandent eux-mêmes", a-t-il dit samedi en conférence de presse.
"C'est dire que dans mon cas, évaluer l'équipe, porter des jugements et agir avant le 9 décembre sera une tâche difficile. Parce que je pense que les joueurs méritent de passer le temps des fêtes en famille."
Cela pourra calmer quelques joueurs plus nerveux mais les membres d'une équipe réputée pour ne pas être assez dure à la tâche devraient prendre note de la philosophie du nouveau patron.
La ténacité et la force de caractère seront parmi les premiers critères retenus.
"Nous voulons une équipe combative et agressive, des joueurs prêts à aller à la guerre, a résumé Burke. C'est de cette façon que nos équipes jouent."
Burke ne s'est pas fixé d'horaire pour transformer une équipe qui n'a pas participé aux séries de la coupe Stanley depuis 2004 et n'a pas gagné cette coupe depuis 1967.
Il a toutefois fait connaître ses trois piliers pour mener à bien une équipe.
"Premièrement, il faut offrir un bon spectacle, il faut justifier le prix des billets chaque soir, que l'équipe soit fructueuse ou non. Nous croyons à la poursuite de la rondelle dans les trois zones ou, encore mieux, se l'approprier. Nous croyons à la nécessité de répondre aux défis physiques en pratiquant un style de jeu qui permet aux plus jeunes de se développer dans un environnement où ils n'auront pas à craindre.
"Deuxièmement, nous prônons la prudence financière et fiscale. Nous essayons de dépenser intelligemment l'argent des partisans et des commanditaires.
"Et troisièmement, il y a les services à la communauté. Ce n'est pas optionnel. Si vous voulez jouer dans une grande ville comme Toronto, il faut redonner à la communauté, sinon on vous enverra ailleurs."
Les équipes de Burke auront une hiérarchie clairement établie.
"Nous croyons à une formule avec six attaquants avec de forts niveaux d'habiletés et un groupe de six autres qui font un travail de plombier, qui bloquent les rondelles, jouent en désavantage numérique, se battent...
"Même chose en défense. Nous cherchons un groupe de quatre défenseurs habiles et deux autres pour faire le travail de plombier, qui est très important."
Burke aura le temps et l'argent pour développer sa vision d'une équipe fructueuse puisque son contrat couvre cette saison et les cinq prochaines, à un salaire estimé à trois millions $ par année.
Burke remplace Cliff Fletcher, qui était directeur général par intérim depuis le congédiement de John Ferguson en janvier dernier. Il a fait savoir que Fletcher était invité à demeurer dans l'organisation.
Burke a démissionné le 13 novembre de son poste de vice-président et directeur général des Ducks d'Anaheim, qu'il a mené à la conquête de la coupe Stanley en 2007, entres pour se rapprocher de ses enfants dans l'est du continent.