C'est loin d'être la fièvre à Washington
Washington Capitals samedi, 9 mai 2009. 19:44 jeudi, 12 déc. 2024. 15:02
WASHINGTON - La capitale américaine est loin de vibrer au rythme des Capitals. On a pu le constater, vendredi, dans le restaurant-bar où on s'est rendu afin de suivre à la télévision le déroulement du quatrième match de la série contre les Penguins. L'endroit était bondé, mais le match présenté sur une dizaine d'écrans ne suscitait que très peu d'intérêt. Quand les Capitals ont porté le score 3-2 en deuxième période, il n'y a aucune réaction.
Pire, au bar de l'hôtel où on logeait, on présentait, en reprise, l'affrontement Canada-Suède des Championnats du monde. Pour la fièvre du hockey, on repassera.
Mercredi, à la suite de la deuxième victoire des Capitals, Alexander Ovechkin avait dit craindre se rendre chez lui en raison de l'engouement des partisans. La frénésie, c'est dans les environs du Verizon Center à quelques heures des matchs qu'elle est palpable.
...
Brooks est un prénom peu commun. Les Penguins et les Capitals ont chacun un joueur prénommé Brooks. Celui des Penguins, le défenseur Brooks Orpik, un Américain, l'a été en l'honneur de Herb Brooks, le défunt entraîneur de l'équipe américaine de hockey médaillée d'or olympique des Jeux de Lake Placid en 1980. Le Brooks des Capitals, Brooks Laich, un Canadien natif de la Saskatchewan, a confié, samedi, avoir reçu le prénom de ses parents parce que son père appréciait Brooks Robinson, le joueur de troisième-but étoile des Orioles de Baltimore, dans les années 1960 et 1970.
"J'étais un bon joueur de baseball dans mon enfance. J'aurais peut-être dû persévérer parce que je gagnerais un bien meilleur salaire dans le baseball majeur", a lancé à la blague Laich.
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Les Capitals ont été contraints de livrer deux matchs en autant de jours pour la troisième fois de suite en séries éliminatoires (2003, 2008 et cette année).
"On fait un plat de ça, mais il n'y a rien là, a affirmé l'entraîneur des Capitals, Bruce Boudreau. C'est bien pire dans la Ligue américaine quand on doit jouer cinq matchs en sept jours. Et les longs déplacements en autobus sont plus exigeants. Dans la Ligue nationale, on fait des envolées de 30 minutes en avion. À minuit le soir d'un match à l'étranger, on est de retour dans son lit. Il n'y a aucune excuse qui tienne, on a à faire à des jeunes qui sont en pleine forme, pas à des vieux comme moi."
Pire, au bar de l'hôtel où on logeait, on présentait, en reprise, l'affrontement Canada-Suède des Championnats du monde. Pour la fièvre du hockey, on repassera.
Mercredi, à la suite de la deuxième victoire des Capitals, Alexander Ovechkin avait dit craindre se rendre chez lui en raison de l'engouement des partisans. La frénésie, c'est dans les environs du Verizon Center à quelques heures des matchs qu'elle est palpable.
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Brooks est un prénom peu commun. Les Penguins et les Capitals ont chacun un joueur prénommé Brooks. Celui des Penguins, le défenseur Brooks Orpik, un Américain, l'a été en l'honneur de Herb Brooks, le défunt entraîneur de l'équipe américaine de hockey médaillée d'or olympique des Jeux de Lake Placid en 1980. Le Brooks des Capitals, Brooks Laich, un Canadien natif de la Saskatchewan, a confié, samedi, avoir reçu le prénom de ses parents parce que son père appréciait Brooks Robinson, le joueur de troisième-but étoile des Orioles de Baltimore, dans les années 1960 et 1970.
"J'étais un bon joueur de baseball dans mon enfance. J'aurais peut-être dû persévérer parce que je gagnerais un bien meilleur salaire dans le baseball majeur", a lancé à la blague Laich.
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Les Capitals ont été contraints de livrer deux matchs en autant de jours pour la troisième fois de suite en séries éliminatoires (2003, 2008 et cette année).
"On fait un plat de ça, mais il n'y a rien là, a affirmé l'entraîneur des Capitals, Bruce Boudreau. C'est bien pire dans la Ligue américaine quand on doit jouer cinq matchs en sept jours. Et les longs déplacements en autobus sont plus exigeants. Dans la Ligue nationale, on fait des envolées de 30 minutes en avion. À minuit le soir d'un match à l'étranger, on est de retour dans son lit. Il n'y a aucune excuse qui tienne, on a à faire à des jeunes qui sont en pleine forme, pas à des vieux comme moi."