"C'est peut-être la dernière chance"
Hockey dimanche, 4 juin 2006. 22:34 jeudi, 12 déc. 2024. 12:43
(PC) - Mark Recchi a eu la chance de gagner la coupe Stanley dans l'uniforme des Penguins de Pittsburgh à sa deuxième saison dans la LNH en 1990-91, à l'âge de 23 ans seulement. Il ne croyait pas de devoir patienter pendant 14 saisons avant d'obtenir une autre occasion de la remporter une deuxième fois.
"L'attente a été longue, mais elle en a valu la peine. A 38 ans, je peux apprécier beaucoup plus la chance que j'ai. Je réalise, en tout cas, tout le travail nécessaire afin d'accéder à la finale", a affirmé Recchi, dimanche.
L'ailier droit n'avait qu'à regarder autour de lui, dans la salle d'hôtel où les joueurs des Hurricanes de la Caroline ont rencontré la presse, afin de se rendre compte effectivement qu'il n'est pas à plaindre. Des vétérans comme le défenseur Glen Wesley, 18 saisons dans la LNH, le capitaine Rod Brind'Amour, Doug Weight et Bret Hedican brûlent de désir de savourer la conquête de la coupe.
"On sait tous que c'est peut-être la dernière chance qui s'offre à nous, a indiqué Recchi, qui a porté les couleurs du Canadien entre les saisons 1994-95 et 1998-99. C'est l'objectif ultime de tous les joueurs, et on va se défoncer pour gagner. On ne veut pas avoir aucun regret à la fin de la série. Chez les Oilers, je suis sûr que ce n'est pas différent."
Les Hurricanes possèdent un avantage aux dépens des Oilers au chapitre de l'expérience, même si l'âge moyen de chacune des équipes se situe à 29 ans. Mais les Canes ont plus de vétérans en fin de parcours. Un peu comme les Rangers de New York, champions en 1994 face aux Canucks de Vancouver.
L'analogie a été portée à l'attention du directeur général des Oilers, Kevin Lowe, qui faisait partie des Rangers en compagnie de l'entraîneur Craig MacTavish.
"Les Canucks n'avaient pas de vétérans comme nous, a répondu Lowe. Et les vétérans des deux équipes ne veulent sûrement pas rater cette occasion", a répondu Lowe.
Une chose est sûre, le personnel d'entraîneurs des Oilers ainsi que Lowe ne peuvent être mieux outillés pour faire face à la situation. MacTavish (4), Craig Simpson (2), Charlie Huddy (5) et Lowe (6) totalisent 17 bagues de la coupe Stanley.
"C'est un facteur important, a résumé Georges Laraque. Ils savent ce qu'il faut faire pour gagner en séries, et ils nous transmettent leur bagage. La façon dont se comporte notre entraîneur se réflète sur les joueurs. C'est comme si on avait nous-mêmes déjà pris part à une finale de la coupe Stanley."
"L'attente a été longue, mais elle en a valu la peine. A 38 ans, je peux apprécier beaucoup plus la chance que j'ai. Je réalise, en tout cas, tout le travail nécessaire afin d'accéder à la finale", a affirmé Recchi, dimanche.
L'ailier droit n'avait qu'à regarder autour de lui, dans la salle d'hôtel où les joueurs des Hurricanes de la Caroline ont rencontré la presse, afin de se rendre compte effectivement qu'il n'est pas à plaindre. Des vétérans comme le défenseur Glen Wesley, 18 saisons dans la LNH, le capitaine Rod Brind'Amour, Doug Weight et Bret Hedican brûlent de désir de savourer la conquête de la coupe.
"On sait tous que c'est peut-être la dernière chance qui s'offre à nous, a indiqué Recchi, qui a porté les couleurs du Canadien entre les saisons 1994-95 et 1998-99. C'est l'objectif ultime de tous les joueurs, et on va se défoncer pour gagner. On ne veut pas avoir aucun regret à la fin de la série. Chez les Oilers, je suis sûr que ce n'est pas différent."
Les Hurricanes possèdent un avantage aux dépens des Oilers au chapitre de l'expérience, même si l'âge moyen de chacune des équipes se situe à 29 ans. Mais les Canes ont plus de vétérans en fin de parcours. Un peu comme les Rangers de New York, champions en 1994 face aux Canucks de Vancouver.
L'analogie a été portée à l'attention du directeur général des Oilers, Kevin Lowe, qui faisait partie des Rangers en compagnie de l'entraîneur Craig MacTavish.
"Les Canucks n'avaient pas de vétérans comme nous, a répondu Lowe. Et les vétérans des deux équipes ne veulent sûrement pas rater cette occasion", a répondu Lowe.
Une chose est sûre, le personnel d'entraîneurs des Oilers ainsi que Lowe ne peuvent être mieux outillés pour faire face à la situation. MacTavish (4), Craig Simpson (2), Charlie Huddy (5) et Lowe (6) totalisent 17 bagues de la coupe Stanley.
"C'est un facteur important, a résumé Georges Laraque. Ils savent ce qu'il faut faire pour gagner en séries, et ils nous transmettent leur bagage. La façon dont se comporte notre entraîneur se réflète sur les joueurs. C'est comme si on avait nous-mêmes déjà pris part à une finale de la coupe Stanley."