"C'était digne du film Slap Shot"
Detroit Red Wings dimanche, 11 mai 2008. 12:40 jeudi, 12 déc. 2024. 03:40
Les Red Wings de Detroit venaient de prendre une avance de 2-0 dans leur série contre les Stars de Dallas, mais certains joueurs n'avaient pas le cœur à la fête.
C'est qu'ils avaient encore frais en mémoire le coup de hache qu'a asséné Mike Ribeiro à la poitrine Chris Osgood alors que les secondes s'égrenaient au tableau en fin de troisième période.
"C'était digne du film Slap Shot, a décrit Kris Draper. Il a littéralement tenté de blesser notre meilleur joueur. Je ne pouvais le croire quand je l'ai vu. C'est une série très intense et l'enjeu est grand, mais Ribeiro a dépassé les limites."
Osgood, en bon comédien, s'est effondré au sol et les soigneurs ont immédiatement accouru à son secours, mais il a été capable de se relever et de rejoindre ses coéquipiers au vestiaire de son propre chef.
Colin Campbell, le préfet de discipline de la LNH, était dans les gradins, aux premières loges pour voir le coup de Ribeiro.
"Si Osgood n'avait pas été si bien protégé, il aurait pu le frapper à la gorge, dans le visage, peu importe. C'est à se demander à quoi a-t-il bien pu penser. Mais la Ligue a fait du bon travail pendant toute l'année pour régler ce genre de dossier et elle devra maintenant faire ce qu'elle a à faire", poursuit Draper.
C'est qu'ils avaient encore frais en mémoire le coup de hache qu'a asséné Mike Ribeiro à la poitrine Chris Osgood alors que les secondes s'égrenaient au tableau en fin de troisième période.
"C'était digne du film Slap Shot, a décrit Kris Draper. Il a littéralement tenté de blesser notre meilleur joueur. Je ne pouvais le croire quand je l'ai vu. C'est une série très intense et l'enjeu est grand, mais Ribeiro a dépassé les limites."
Osgood, en bon comédien, s'est effondré au sol et les soigneurs ont immédiatement accouru à son secours, mais il a été capable de se relever et de rejoindre ses coéquipiers au vestiaire de son propre chef.
Colin Campbell, le préfet de discipline de la LNH, était dans les gradins, aux premières loges pour voir le coup de Ribeiro.
"Si Osgood n'avait pas été si bien protégé, il aurait pu le frapper à la gorge, dans le visage, peu importe. C'est à se demander à quoi a-t-il bien pu penser. Mais la Ligue a fait du bon travail pendant toute l'année pour régler ce genre de dossier et elle devra maintenant faire ce qu'elle a à faire", poursuit Draper.