Columbus ne veut pas que passer
Hockey mardi, 14 avr. 2009. 18:12 mercredi, 11 déc. 2024. 21:50
COLUMBUS - Les Blue Jackets de Columbus se retrouvent en territoire inconnu. Et ça paraît tout autour de Nationwide Arena, alors qu'ils se préparent à leur toute première aventure dans les séries éliminatoires de la LNH.
Les logos des séries de la coupe Stanley ont déjà été peints sur la patinoire. Leur formation a été augmentée de façon à y intégrer plusieurs joueurs du Crunch de Syracuse, dont certains doivent mettre leur équipement sur des chaises placées au milieu d'un vestiaire fort achalandé. Il y a tellement de joueurs qu'on a l'impression de se retrouver au début du camp d'entraînement.
Et alors que l'équipe se prépare à affronter les champions en titre, les Red Wings de Detroit, on constate qu'il y a de petites différences à l'entraînement. L'entraîneur-chef Ken Hitchcock, qui se fait toujours entendre sur la glace, crie encore plus fort que d'habitude.
"Plus fort, plus vite!", lance Hitchcock alors que ses joueurs suivent ses consignes.
Même si cette présence en séries est une première pour Columbus, la formation des Jackets, qui est composée de joueurs d'expérience et de jeunes vedettes montantes, semble prête à relever le défi qui l'attend jeudi soir au Joe Louis Arena à Detroit.
"C'est une jeune concession, mais ce n'est pas une jeune équipe qui va entreprendre les séries", a noté Hitchcock, laissant entendre que son équipe a mérité sa place en séries et n'a pas de raison d'avoir peur de se mesurer dès le départ aux meilleurs du circuit.
Le directeur général a assemblé une équipe qui a pas mal d'expérience des séries, y compris des gagnants de la Coupe Stanley comme le défenseur Mike Commodore, ainsi que les attaquants Jason Williams et Fredrik Modin. Michael Peca, Raffi Torres et Antoine Vermette - ce dernier ayant été acquis des Sénateurs d'Ottawa à la date limite des échanges - ont aussi vécu la pression des séries.
Ce noyau de joueurs se greffera à de jeunes talents comme Jakub Voracek, le gardien Steve Mason - un candidat au trophée Calder - le défenseur Kris Russell et la superstar de 24 ans de l'équipe, Rick Nash.
La bonne nouvelle pour les Jackets, aussi, c'est qu'ils ont eu un certain succès récemment contre les Red Wings, ayant remporté six des 14 plus récents affrontements entre les deux équipes, ces deux dernières saisons.
"Nous avons eu un peu de succès, mais c'est une nouvelle saison, a rappelé Nash après la séance d'entraînement de mardi. Ce qui est arrivé dans le passé ne veut plus rien dire."
"Nous avons fait beaucoup de chemin en ce qui a trait à la façon d'aborder (Detroit) et de jouer contre eux, a noté Manny Malholtra. Mais maintenant, c'est un tout nouveau contexte. Les séries sont arrivées. C'est du hockey différent, le niveau d'intensité n'est pas le même. Il faut oublier les statistiques et les fiches de la saison régulière."
Les logos des séries de la coupe Stanley ont déjà été peints sur la patinoire. Leur formation a été augmentée de façon à y intégrer plusieurs joueurs du Crunch de Syracuse, dont certains doivent mettre leur équipement sur des chaises placées au milieu d'un vestiaire fort achalandé. Il y a tellement de joueurs qu'on a l'impression de se retrouver au début du camp d'entraînement.
Et alors que l'équipe se prépare à affronter les champions en titre, les Red Wings de Detroit, on constate qu'il y a de petites différences à l'entraînement. L'entraîneur-chef Ken Hitchcock, qui se fait toujours entendre sur la glace, crie encore plus fort que d'habitude.
"Plus fort, plus vite!", lance Hitchcock alors que ses joueurs suivent ses consignes.
Même si cette présence en séries est une première pour Columbus, la formation des Jackets, qui est composée de joueurs d'expérience et de jeunes vedettes montantes, semble prête à relever le défi qui l'attend jeudi soir au Joe Louis Arena à Detroit.
"C'est une jeune concession, mais ce n'est pas une jeune équipe qui va entreprendre les séries", a noté Hitchcock, laissant entendre que son équipe a mérité sa place en séries et n'a pas de raison d'avoir peur de se mesurer dès le départ aux meilleurs du circuit.
Le directeur général a assemblé une équipe qui a pas mal d'expérience des séries, y compris des gagnants de la Coupe Stanley comme le défenseur Mike Commodore, ainsi que les attaquants Jason Williams et Fredrik Modin. Michael Peca, Raffi Torres et Antoine Vermette - ce dernier ayant été acquis des Sénateurs d'Ottawa à la date limite des échanges - ont aussi vécu la pression des séries.
Ce noyau de joueurs se greffera à de jeunes talents comme Jakub Voracek, le gardien Steve Mason - un candidat au trophée Calder - le défenseur Kris Russell et la superstar de 24 ans de l'équipe, Rick Nash.
La bonne nouvelle pour les Jackets, aussi, c'est qu'ils ont eu un certain succès récemment contre les Red Wings, ayant remporté six des 14 plus récents affrontements entre les deux équipes, ces deux dernières saisons.
"Nous avons eu un peu de succès, mais c'est une nouvelle saison, a rappelé Nash après la séance d'entraînement de mardi. Ce qui est arrivé dans le passé ne veut plus rien dire."
"Nous avons fait beaucoup de chemin en ce qui a trait à la façon d'aborder (Detroit) et de jouer contre eux, a noté Manny Malholtra. Mais maintenant, c'est un tout nouveau contexte. Les séries sont arrivées. C'est du hockey différent, le niveau d'intensité n'est pas le même. Il faut oublier les statistiques et les fiches de la saison régulière."