Comme la bataille de l'Alberta
Edmonton Oilers jeudi, 8 mai 2008. 19:28 dimanche, 15 déc. 2024. 06:54
PITTSBURGH - La rivalité entre les équipes de la Pennsylvanie rappelle à Georges Laraque les grandes batailles de l'Alberta entre les Oilers d'Edmonton et les Flames de Calgary, à l'époque où il portait les couleurs des Oilers.
"C'est semblable, a dit Laraque. Je m'attends à ce que la rivalité soit plus propre en séries qu'en saison régulière, en raison de l'importance de l'enjeu.
"Il y a eu quelque chose comme 18 bagarres en huit matchs durant la saison, a souligné le dur à cuire. Il n'y en aura pas autant en séries parce qu'on ne peut pas se permettre le moindre geste d'indiscipline. Un but en supériorité numérique peut faire la différence. Et un match perdu peut coûter la série."
L'entraîneur des Penguins, Michel Therrien, a tôt fait de constater l'animosité qui existe entre les deux organisations.
"Ce n'est pas gros comme l'était la rivalité Canadien-Nordiques, a-t-il précisé. On dépassait parfois les limites dans les médias. Ici, disons que c'est différent."
...
Les jeunes Penguins ne sont qu'à mi-parcours d'une éventuelle première conquête de la coupe Stanley qu'on dit déjà qu'ils font grandement penser à la dynastie des Oilers d'Edmonton des années 1980.
"Les comparaisons sont boîteuses parce qu'on a encore rien gagné, a fait remarquer Michel Therrien. L'unique lien qu'on puisse faire, c'est qu'on a un bon groupe de jeunes qui a du plaisir à évoluer ensemble, qui a de bonnes habitudes de travail et qui compétitionne fort."
...
Les séries éliminatoires se suivent et ne se ressemblent pas pour Georges Laraque. Laissé de côté dans trois des cinq matchs que les Penguins ont disputés, l'an dernier, le robuste attaquant a pris part aux neuf rencontres de l'équipe cette année.
"Je suis en bien meilleure forme que l'an dernier, a-t-il avoué. Je pesais quelque chose comme 270 livres à mon arrivée à Pittsburgh, en février, des Coyotes de Phoenix. A Phoenix, l'équipe n'allait nulle part et allait rater les séries.
"Cette année, je suis en meilleure condition physique. Mon poids est d'environ 250 livres."
Laraque a un but et une passe à son dossier. Sa présence dans la formation, au deuxième tour, a refroidi les ardeurs de la peste des Rangers de New York, Sean Avery, avant qu'il ne soit hospitalisé pour des problèmes de rate.
...
Maxime Talbot, des Penguins, va rater le premier match de la finale de l'Est. Récupérant d'une blessure à une cheville, l'attaquant n'a pas patiné avec ses coéquipiers, jeudi. Il l'a fait en solitaire et on ignore à quel moment il pourrait rejouer. Talbot a raté les deux derniers matchs de la série contre les Rangers de New York.
...
Pascal Dupuis rayonne dans le vestiaire des Penguins. Acquis des Thrashers d'Atlanta, dans l'échange de Marian Hossa, à la date limite des transactions, Dupuis a d'excellentes raisons d'être heureux. Il forme un trio efficace en compagnie de Hossa et Sidney Crosby.
"Dès mon arrivée ici, j'ai su qu'on avait l'équipe pour faire un bon bout de chemin en séries éliminatoires. Regardez tous les joueurs talentueux qu'on a. On n'a pas beaucoup de lacunes. On peut jouer n'importe quel style de jeu."
...
Les Penguins se sont entraînés pendant une grosse heure sur la glace du Mellon Arena, jeudi. Quant aux Flyers, ils sont arrivés à Pittsburgh en fin d'après-midi, après s'être entraînés à Philadelphie.
"C'est semblable, a dit Laraque. Je m'attends à ce que la rivalité soit plus propre en séries qu'en saison régulière, en raison de l'importance de l'enjeu.
"Il y a eu quelque chose comme 18 bagarres en huit matchs durant la saison, a souligné le dur à cuire. Il n'y en aura pas autant en séries parce qu'on ne peut pas se permettre le moindre geste d'indiscipline. Un but en supériorité numérique peut faire la différence. Et un match perdu peut coûter la série."
L'entraîneur des Penguins, Michel Therrien, a tôt fait de constater l'animosité qui existe entre les deux organisations.
"Ce n'est pas gros comme l'était la rivalité Canadien-Nordiques, a-t-il précisé. On dépassait parfois les limites dans les médias. Ici, disons que c'est différent."
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Les jeunes Penguins ne sont qu'à mi-parcours d'une éventuelle première conquête de la coupe Stanley qu'on dit déjà qu'ils font grandement penser à la dynastie des Oilers d'Edmonton des années 1980.
"Les comparaisons sont boîteuses parce qu'on a encore rien gagné, a fait remarquer Michel Therrien. L'unique lien qu'on puisse faire, c'est qu'on a un bon groupe de jeunes qui a du plaisir à évoluer ensemble, qui a de bonnes habitudes de travail et qui compétitionne fort."
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Les séries éliminatoires se suivent et ne se ressemblent pas pour Georges Laraque. Laissé de côté dans trois des cinq matchs que les Penguins ont disputés, l'an dernier, le robuste attaquant a pris part aux neuf rencontres de l'équipe cette année.
"Je suis en bien meilleure forme que l'an dernier, a-t-il avoué. Je pesais quelque chose comme 270 livres à mon arrivée à Pittsburgh, en février, des Coyotes de Phoenix. A Phoenix, l'équipe n'allait nulle part et allait rater les séries.
"Cette année, je suis en meilleure condition physique. Mon poids est d'environ 250 livres."
Laraque a un but et une passe à son dossier. Sa présence dans la formation, au deuxième tour, a refroidi les ardeurs de la peste des Rangers de New York, Sean Avery, avant qu'il ne soit hospitalisé pour des problèmes de rate.
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Maxime Talbot, des Penguins, va rater le premier match de la finale de l'Est. Récupérant d'une blessure à une cheville, l'attaquant n'a pas patiné avec ses coéquipiers, jeudi. Il l'a fait en solitaire et on ignore à quel moment il pourrait rejouer. Talbot a raté les deux derniers matchs de la série contre les Rangers de New York.
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Pascal Dupuis rayonne dans le vestiaire des Penguins. Acquis des Thrashers d'Atlanta, dans l'échange de Marian Hossa, à la date limite des transactions, Dupuis a d'excellentes raisons d'être heureux. Il forme un trio efficace en compagnie de Hossa et Sidney Crosby.
"Dès mon arrivée ici, j'ai su qu'on avait l'équipe pour faire un bon bout de chemin en séries éliminatoires. Regardez tous les joueurs talentueux qu'on a. On n'a pas beaucoup de lacunes. On peut jouer n'importe quel style de jeu."
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Les Penguins se sont entraînés pendant une grosse heure sur la glace du Mellon Arena, jeudi. Quant aux Flyers, ils sont arrivés à Pittsburgh en fin d'après-midi, après s'être entraînés à Philadelphie.