Crosby et Malkin sous les projecteurs
Hockey mardi, 12 avr. 2011. 17:22 dimanche, 15 déc. 2024. 16:07
PITTSBURGH - Mario Lemieux et Ron Francis. Jaromir Jagr. Sidney Crosby et Evgeni Malkin.
Chaque édition des Penguins de Pittsburgh qui a atteint les séries éliminatoires de la Coupe Stanley depuis les années 1980 était dotée du meilleur joueur de la LNH, de son meilleur marqueur, ou les deux.
Quand vient le temps d'aligner les étoiles, les Penguins sont plutôt bien nantis en avril, mai et juin, alors qu'un c.v. vous ouvrant les portes du Temple de la renommée est parfois nécessaire pour faire partie du premier trio.
Sauf pour ces séries-ci, et c'est la principale raison pour laquelle l'issue de cette série contre le Lightning de Tampa Bay est si difficile à prédire. C'est aussi pourquoi ce duel, qui se mettra en branle mercredi, au Consol Energy Center, est si différent qu'il ne l'aurait été il y a quelques mois, surtout en raison des absences de marque chez les Penguins.
Le Lightning, dans les séries pour la première fois depuis 2007, compte quatre patineurs avec plus de points que tout joueur en santé des Penguins, dont Martin St-Louis (45 buts, 99 points) et Steven Stamkos (91 points). Le Lightning possède plus de profondeur en offensive, plus de marqueurs et plus de vedettes que les Penguins, qui ne savent toujours pas si Crosby effectuera une présence avant octobre prochain.
Le capitaine des Penguins, à l'écart du jeu depuis le 6 janvier en raison d'une commotion cérébrale, s'entraîne sans contact avec ses coéquipiers, mais n'a toujours pas reçu le feu vert des médecins pour prendre part à un entraînement régulier. Et les Penguins ne semblent pas croire qu'il soit près d'un retour.
« Il n'y a pas de changement au sujet de Sidney Crosby, a indiqué l'entraîneur-chef, Dan Bylsma, mardi. Le fait qu'il s'entraîne avec l'équipe n'a pas modifié sa progression. Il n'a pas été en mesure de passer au niveau suivant. »
Malkin, joueur le plus utile des séries il y a deux ans, a subi une opération au genou il y a plus de deux mois et sa saison est terminée.
Bien qu'il soit difficile d'imaginer les Penguins des années 1990 remporter la coupe Stanley sans Lemieux ou Francis, cette équipe est convaincue qu'elle peut remporter cette série - et davantage - sans Crosby et Malkin.
Jouant la moitié de la saison sans leurs gros canons, les Penguins de Bylsma se sont transformés en une équipe responsable en défensive, qui a remporté 49 matchs et terminé avec 106 points, à la grande surprise d'un peu tout le monde. Ils ont aussi dominé le circuit en désavantage numérique pour la première fois et Marc-André Fleury a rebondi après un mois d'octobre médiocre pour terminer la campagne avec une moyenne de 2,32, sa meilleure en carrière.
Guy Boucher, l'entraîneur-chef du Lightning, n'est quant à lui pas convaincu qu'on ne verra pas Crosby dans cette série.
« On ne peut pas dire que s'il n'est pas là, ils n'ont pas une très bonne équipe, a-t-il dit. C'est une très grande équipe. Avec lui, ils sont une équipe incroyable. Nous jouerons donc contre un très grand club ou un club incroyable, alors nous devons être à notre mieux. »
Ce que le Lightning n'a pas été en mesure de faire à Pittsburgh cette saison, s'inclinant deux fois, par des marques de 5-1 et 8-1.
Malgré tout, c'est probablement Fleury et la brigade défensive des Penguins qui détiennent la clé de cette série. S'ils peuvent stopper les prolifiques marqueurs du Lightning, ils pourront espérer passer au tour suivant.
Chaque édition des Penguins de Pittsburgh qui a atteint les séries éliminatoires de la Coupe Stanley depuis les années 1980 était dotée du meilleur joueur de la LNH, de son meilleur marqueur, ou les deux.
Quand vient le temps d'aligner les étoiles, les Penguins sont plutôt bien nantis en avril, mai et juin, alors qu'un c.v. vous ouvrant les portes du Temple de la renommée est parfois nécessaire pour faire partie du premier trio.
Sauf pour ces séries-ci, et c'est la principale raison pour laquelle l'issue de cette série contre le Lightning de Tampa Bay est si difficile à prédire. C'est aussi pourquoi ce duel, qui se mettra en branle mercredi, au Consol Energy Center, est si différent qu'il ne l'aurait été il y a quelques mois, surtout en raison des absences de marque chez les Penguins.
Le Lightning, dans les séries pour la première fois depuis 2007, compte quatre patineurs avec plus de points que tout joueur en santé des Penguins, dont Martin St-Louis (45 buts, 99 points) et Steven Stamkos (91 points). Le Lightning possède plus de profondeur en offensive, plus de marqueurs et plus de vedettes que les Penguins, qui ne savent toujours pas si Crosby effectuera une présence avant octobre prochain.
Le capitaine des Penguins, à l'écart du jeu depuis le 6 janvier en raison d'une commotion cérébrale, s'entraîne sans contact avec ses coéquipiers, mais n'a toujours pas reçu le feu vert des médecins pour prendre part à un entraînement régulier. Et les Penguins ne semblent pas croire qu'il soit près d'un retour.
« Il n'y a pas de changement au sujet de Sidney Crosby, a indiqué l'entraîneur-chef, Dan Bylsma, mardi. Le fait qu'il s'entraîne avec l'équipe n'a pas modifié sa progression. Il n'a pas été en mesure de passer au niveau suivant. »
Malkin, joueur le plus utile des séries il y a deux ans, a subi une opération au genou il y a plus de deux mois et sa saison est terminée.
Bien qu'il soit difficile d'imaginer les Penguins des années 1990 remporter la coupe Stanley sans Lemieux ou Francis, cette équipe est convaincue qu'elle peut remporter cette série - et davantage - sans Crosby et Malkin.
Jouant la moitié de la saison sans leurs gros canons, les Penguins de Bylsma se sont transformés en une équipe responsable en défensive, qui a remporté 49 matchs et terminé avec 106 points, à la grande surprise d'un peu tout le monde. Ils ont aussi dominé le circuit en désavantage numérique pour la première fois et Marc-André Fleury a rebondi après un mois d'octobre médiocre pour terminer la campagne avec une moyenne de 2,32, sa meilleure en carrière.
Guy Boucher, l'entraîneur-chef du Lightning, n'est quant à lui pas convaincu qu'on ne verra pas Crosby dans cette série.
« On ne peut pas dire que s'il n'est pas là, ils n'ont pas une très bonne équipe, a-t-il dit. C'est une très grande équipe. Avec lui, ils sont une équipe incroyable. Nous jouerons donc contre un très grand club ou un club incroyable, alors nous devons être à notre mieux. »
Ce que le Lightning n'a pas été en mesure de faire à Pittsburgh cette saison, s'inclinant deux fois, par des marques de 5-1 et 8-1.
Malgré tout, c'est probablement Fleury et la brigade défensive des Penguins qui détiennent la clé de cette série. S'ils peuvent stopper les prolifiques marqueurs du Lightning, ils pourront espérer passer au tour suivant.