Dan Craig s'est chargé de tout
Hockey dimanche, 30 déc. 2007. 22:51 vendredi, 13 déc. 2024. 11:56
BUFFALO, New York - La glace semblait irréprochable et tout se déroulait selon l'horaire prévu, mais Dan Craig n'était pas d'humeur à relaxer.
Craig, le spécialiste de la glace à la LNH, ne s'accordera de détente qu'une fois le match terminé, mardi, alors que le stade des Bills de Buffalo sera le théâtre de l'affrontement extérieur entre les Sabres et les Penguins de Pittsburgh.
Plusieurs mettaient en doute l'idée de construire une patinoire de hockey au stade Ralph Wilson deux fois plus rapidement qu'à Edmonton, il y a quatre ans. Mais Craig a réparti ses effectifs sur des quarts de 12 heures, ce qui a résulté en du travail quasi continuel depuis dimanche soir dernier. Si bien qu'à 48 heures du match, le niveau de préparation était à peu près le même que dans la capitale albertaine en 2003.
C'est en 1997 que la LNH a embauché Craig, dont le titre officiel est gérant des opérations des amphithéâtres. Il venait de passer plus de 10 ans à faire en sorte que les Oilers puissent se targuer d'avoir la meilleure glace de la Ligue nationale.
Craig se dévoue à ce genre de travail depuis ses débuts à Jasper en Alberta, il y a 30 ans.
"Il n'y a personne qui peut faire tout ce qu'il fait, a dit le commissaire de la LNH, Gary Bettman. Il est tout simplement le meilleur."
Plus tôt cette année, Craig a relevé un autre défi: le match inaugural de la saison entre Anaheim et Los Angeles, à l'aréna 02 de Londres. Sept jours avant le match, il n'y avait pas de glace là-bas.
"Nous avions assez de temps, mais l'équipement était tout nouveau, s'est rappelé Craig. On ne l'avait jamais utilisé et il n'y avait jamais eu de glace à cet endroit."
Au niveau de la météo, on prévoit un maximum d'un degré Celsius, mardi à Buffalo, avec 70 pour cent de chances qu'il neige. La pluie serait problématique mais pas la neige, a dit Craig.
S'il neige trop, par contre, la visibilité pourrait être fortement réduite, ce qui pourrait être un risque au niveau de la sécurité. Bettman peut retarder le match ou l'interrompre à n'importe quel moment.
Craig n'a pas beaucoup dormi depuis dimanche dernier, allant même jusqu'à se rendre au stade la nuit pour vérifier les choses. Il reprendra un rythme normal de sommeil plus tard: pour l'instant, la pression est forte.
"Pour moi c'est aussi important qu'un septième match de la finale de la coupe Stanley, a mentionné Craig. C'est comme ça que je vois les choses."
Craig, le spécialiste de la glace à la LNH, ne s'accordera de détente qu'une fois le match terminé, mardi, alors que le stade des Bills de Buffalo sera le théâtre de l'affrontement extérieur entre les Sabres et les Penguins de Pittsburgh.
Plusieurs mettaient en doute l'idée de construire une patinoire de hockey au stade Ralph Wilson deux fois plus rapidement qu'à Edmonton, il y a quatre ans. Mais Craig a réparti ses effectifs sur des quarts de 12 heures, ce qui a résulté en du travail quasi continuel depuis dimanche soir dernier. Si bien qu'à 48 heures du match, le niveau de préparation était à peu près le même que dans la capitale albertaine en 2003.
C'est en 1997 que la LNH a embauché Craig, dont le titre officiel est gérant des opérations des amphithéâtres. Il venait de passer plus de 10 ans à faire en sorte que les Oilers puissent se targuer d'avoir la meilleure glace de la Ligue nationale.
Craig se dévoue à ce genre de travail depuis ses débuts à Jasper en Alberta, il y a 30 ans.
"Il n'y a personne qui peut faire tout ce qu'il fait, a dit le commissaire de la LNH, Gary Bettman. Il est tout simplement le meilleur."
Plus tôt cette année, Craig a relevé un autre défi: le match inaugural de la saison entre Anaheim et Los Angeles, à l'aréna 02 de Londres. Sept jours avant le match, il n'y avait pas de glace là-bas.
"Nous avions assez de temps, mais l'équipement était tout nouveau, s'est rappelé Craig. On ne l'avait jamais utilisé et il n'y avait jamais eu de glace à cet endroit."
Au niveau de la météo, on prévoit un maximum d'un degré Celsius, mardi à Buffalo, avec 70 pour cent de chances qu'il neige. La pluie serait problématique mais pas la neige, a dit Craig.
S'il neige trop, par contre, la visibilité pourrait être fortement réduite, ce qui pourrait être un risque au niveau de la sécurité. Bettman peut retarder le match ou l'interrompre à n'importe quel moment.
Craig n'a pas beaucoup dormi depuis dimanche dernier, allant même jusqu'à se rendre au stade la nuit pour vérifier les choses. Il reprendra un rythme normal de sommeil plus tard: pour l'instant, la pression est forte.
"Pour moi c'est aussi important qu'un septième match de la finale de la coupe Stanley, a mentionné Craig. C'est comme ça que je vois les choses."