Daniel Paille est devenu monsieur but victorieux et les équipes ayant gagné le 3e match d'une finale ...
$content.firstChildCategorie mercredi, 9 juil. 2014. 21:16 mercredi, 19 juin 2013. 06:18Daniel Paille des Bruins, opportuniste comme jamais depuis 10 matchs !
Après avoir été 0 en 55, il est 3 en 10 depuis le 21 mai dernier
On peut dire que l’attaquant Daniel Paille, des Bruins de Boston s’est déguisé en marqueur opportuniste depuis un mois et d’une manière spectaculaire peu ordinaire !
En effet, l’ex-joueur des Sabres de Buffalo, qui a eu 29 ans le 15 avril dernier, n’a jamais été reconnu comme étant un marqueur prolifique, ayant plus fait sa réputation comme joueur combatif discipliné qui visitait rarement le banc des pénalités.
On peut dire que Paille s’avère vraiment un joueur qui vaut son pesant d’or dans les présentes séries et qu’il s’est découvert un talent de marqueur de buts importants.
Après avoir présenté une fiche de 5–6-11 lors de ses 55 premiers matchs en séries éliminatoires, ne marquant aucun but victorieux, il vient de passer à l’attaque à ce chapitre, car lors de ses 10 dernières rencontres dans les séries, il a une fiche de 3–3-6 et ses trois buts furent victorieux !
Trois buts d’une importance capitale pour les Bruins !
L’attaquant a réussi trois buts vainqueurs qui ont été très utiles aux Bruins de Boston, lui qui le 21 mai dernier, avait brisé une égalité de 1–1, en marquant le filet gagnant à 16:29 de la troisième période, dans une victoire de 2–1 face aux Rangers de New York, au Madison Square Garden, donnant une avance de 3–0 à son équipe dans la série qui fut gagnée en cinq parties (4–1).
Après avoir été incapable de marquer dans la série de quatre matchs contre les Penguins de Pittsburgh, il vient de réussir deux buts vainqueurs lors des deux derniers matchs, marquant à 13:48 de la première prolongation, lors du gain de son équipe samedi soir, au United Center et il a réussi le premier but de la rencontre à 2:13 de la deuxième période du gain de 2–0 de lundi soir, au TD Garden.
Cela lui fait trois buts victorieux dans les trois matchs où les Bruins n’ont réussi que six filets, ce qui est un rendement exceptionnel pour un joueur de cette trempe.
Après avoir atteint des sommets personnels de 19 buts, 16 assistances et 35 points en 77 matchs, lors de sa première saison complète en 2007–2008, il n’a jamais réussi à s’imposer sur le plan offensif et il fut relégué sur les trios avec des missions défensives, lui dont le rendement fut de 10–7-17 en 46 matchs réguliers cette saison.
En 427 matchs réguliers, il a un dossier ordinaire de 70–71-141 avec un différentiel de plus 17, ce qui équivaut à un rendement de 13–14-27 pour un calendrier de 82 matchs, ce qui n’est pas si mal pour un joueur de 3e ou de 4e trio.
Il a un rendement de 4–4-8 en 19 matchs éliminatoires, lui qui en 2010–2011 avait présenté un dossier de 3–3-6 en 25 matchs dans les séries de fin de saison, aidant les Bruins à remporter la Coupe Stanley.
Paille, qui fut le deuxième choix des Sabres de Buffalo, le 20e au total lors du repêchage de 2002, avait été obtenu en retour d’un choix de troisième ronde des Bruins de Boston (Kevin Sundher), le 20 octobre 2009, un joueur qui a présenté une fiche de 4–9-13 en 38 matchs avec les Americans de Rochester (Ligue américaine) en 2012–2013.
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En gagnant le 3e match après avoir divisé les deux premières rencontres
Les équipes ont une fiche de 21 gains en 25 occasions dans la finale
Dans l’histoire de la finale de la Coupe Stanley, il y a eu quelques remontées effectuées, mais on peut regarder de plus près le rendement des équipes lorsqu’elles remportent le troisième match, après avoir divisé les deux premières parties (1–1).
Les formations qui sortaient victorieuses dans le 3e match et qui prenaient une avance de 2–1 dans les séries quatre-de-sept, ont présenté un rendement de 84,00%, gagnant 21 des 25 séries avec un tel dénouement.
La dernière fois où l’équipe qui a perdu le 3e match à ce chapitre et qui a réussi à remporter la Coupe Stanley remonte à la saison 2003–2004, alors que le Lightning de Tampa Bay avait réussi à vaincre les Flames de Calgary dans la limite de sept matchs.
Auparavant, en 1990–1991, les Penguins de Pittsburgh, qui avaient perdu le troisième match, avaient remporté les trois matchs suivants et gagné leur série en six matchs (4–2), contre les North Stars du Minnesota.
En 1988–1989, les Flames de Calgary, qui avaient perdu le troisième duel face au Canadien de Montréal, avaient réussi à remporter la série en six rencontres (4–2), alors qu’en 1963–1964, les Maple Leafs de Toronto, qui avaient subi un revers lors du troisième match face aux Red Wings de Detroit, avaient réussi une remontée et gagné la série dans la limite de sept rencontres.
Que feront les Blackhawks de Chicago contre les Bruins de Boston dans la présente finale ?
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