Denis Savard, le passionné
Hockey mercredi, 18 oct. 2006. 21:24 jeudi, 12 déc. 2024. 23:36
(PC) - Denis Savard n'a rien perdu de son enthousiasme depuis qu'il a pris sa retraite en 1997. Qu'il parle de sa fille Tanya (18 ans) qui fréquente Columbia College pour devenir scénariste, de son cheval Max qui a remporté cinq de ses six départs, ou de ses chers Blackhawks qui ont un bon départ, Savard semble toujours animé de la même passion.
"Ma fille étudie pour écrire des scénarios de film. Elle est intelligente comme...sa mère (Mona), dit-il dans un grand éclat de rire. Elle est tellement sérieuse. Elle ne boit pas, ne fume pas, ne se drogue pas. Des fois je me dis qu'elle est trop droite. En plus, elle est plus grande que moi."
Savard a toujours aimé les chevaux, ayant déjà été propriétaire de quelques bêtes. Récemment, il s'est porté acquéreur d'un pur-sang lors d'un voyage en Floride.
"Je l'ai acheté d'un type qui vendait son écurie, explique-t-il. Je l'ai payé 32 000 $ US et il m'a déjà rapporté 70 000 $. Mais faut pas penser que c'est toujours comme ça", prévient-il.
"C'est un très bon cheval de 4 ans. Son père a déjà gagné la Breeder's Cup. Il court seulement sur du gazon pour éviter les blessures."
Et les Blackhawks?
"On a une bonne équipe qui patine. Je pense qu'on a tourné le coin.", dit Savard, qui entreprend sa neuvième saison à titre d'entraîneur-adjoint. "On devrait se battre pour une place en séries. Je nous vois entre la septième et la 10e place."
Martin Havlat
Cet été, les Hawks ont réalisé un coup d'éclat en faisant l'acquisition de Martin Havlat dans un échange tripartite avec Ottawa et San Jose.
"Havlat fait une différence, note Savard. Il y a aussi (Michal) Handzus. Moi, je ne le connaissais pas beaucoup. Il jouait à Philadelphie et je ne le voyais pas souvent. Mais il est bon, il est gros et il est intelligent. Il est un des meilleurs joueurs de la ligue dans les deux sens de la patinoire.
"Le jeune Jeff Hamilton est venu au camp comme invité, de poursuivre Savard. Eh bien, il a mérité un poste. Nos jeunes défenseurs _ Duncan Keith, Lasse Kukkonen, Brent Seabrook _ ont également pris de l'assurance. Ils en ont arraché l'an dernier. Sauf qu'ils ont pris de l'expérience. Aujourd'hui, ils sont plus solides.
"On a d'autres jeunes qui poussent. Je pense à Jonathan Toews, Jack Skille, Dave Bolland et Cam Barker. Je dis qu'on va être bons dans trois ans, peut-être même deux. Et on va être solides pour longtemps. Nos jeunes sont bons, ils sont passionnés et ils ont du chien."
Cette saison, Savard (45 ans) s'est vu confier la responsabilité de l'attaque à cinq. Avant d'affronter le Canadien, les Hawks occupaient le sixième rang (24,1 pour cent) de la ligue. En 2005-2006, ils ont terminé au dernier rang (12,2 pour cent).
L'ancien p'tit gars de Verdun rêve toujours de devenir entraîneur-chef.
"J'aimerais être coach mais j'en fais pas une maladie, dit-il. Il y a quatre ou cinq ans, j'étais pas prêt pour le poste. Aujourd'hui, je le suis. J'ai été adjoint sous quatre entraîneurs et j'ai appris ce qu'il faut faire et ce qu'il faut éviter."
"Ma fille étudie pour écrire des scénarios de film. Elle est intelligente comme...sa mère (Mona), dit-il dans un grand éclat de rire. Elle est tellement sérieuse. Elle ne boit pas, ne fume pas, ne se drogue pas. Des fois je me dis qu'elle est trop droite. En plus, elle est plus grande que moi."
Savard a toujours aimé les chevaux, ayant déjà été propriétaire de quelques bêtes. Récemment, il s'est porté acquéreur d'un pur-sang lors d'un voyage en Floride.
"Je l'ai acheté d'un type qui vendait son écurie, explique-t-il. Je l'ai payé 32 000 $ US et il m'a déjà rapporté 70 000 $. Mais faut pas penser que c'est toujours comme ça", prévient-il.
"C'est un très bon cheval de 4 ans. Son père a déjà gagné la Breeder's Cup. Il court seulement sur du gazon pour éviter les blessures."
Et les Blackhawks?
"On a une bonne équipe qui patine. Je pense qu'on a tourné le coin.", dit Savard, qui entreprend sa neuvième saison à titre d'entraîneur-adjoint. "On devrait se battre pour une place en séries. Je nous vois entre la septième et la 10e place."
Martin Havlat
Cet été, les Hawks ont réalisé un coup d'éclat en faisant l'acquisition de Martin Havlat dans un échange tripartite avec Ottawa et San Jose.
"Havlat fait une différence, note Savard. Il y a aussi (Michal) Handzus. Moi, je ne le connaissais pas beaucoup. Il jouait à Philadelphie et je ne le voyais pas souvent. Mais il est bon, il est gros et il est intelligent. Il est un des meilleurs joueurs de la ligue dans les deux sens de la patinoire.
"Le jeune Jeff Hamilton est venu au camp comme invité, de poursuivre Savard. Eh bien, il a mérité un poste. Nos jeunes défenseurs _ Duncan Keith, Lasse Kukkonen, Brent Seabrook _ ont également pris de l'assurance. Ils en ont arraché l'an dernier. Sauf qu'ils ont pris de l'expérience. Aujourd'hui, ils sont plus solides.
"On a d'autres jeunes qui poussent. Je pense à Jonathan Toews, Jack Skille, Dave Bolland et Cam Barker. Je dis qu'on va être bons dans trois ans, peut-être même deux. Et on va être solides pour longtemps. Nos jeunes sont bons, ils sont passionnés et ils ont du chien."
Cette saison, Savard (45 ans) s'est vu confier la responsabilité de l'attaque à cinq. Avant d'affronter le Canadien, les Hawks occupaient le sixième rang (24,1 pour cent) de la ligue. En 2005-2006, ils ont terminé au dernier rang (12,2 pour cent).
L'ancien p'tit gars de Verdun rêve toujours de devenir entraîneur-chef.
"J'aimerais être coach mais j'en fais pas une maladie, dit-il. Il y a quatre ou cinq ans, j'étais pas prêt pour le poste. Aujourd'hui, je le suis. J'ai été adjoint sous quatre entraîneurs et j'ai appris ce qu'il faut faire et ce qu'il faut éviter."