Du déjà vu pour Martin Brodeur
New Jersey Devils lundi, 27 avr. 2009. 20:20 dimanche, 15 déc. 2024. 10:27
Dans le vestiaire des Devils du New Jersey, on a l'habitude des parties sans lendemain.
À la veille d'affronter les Hurricanes de la Caroline pour le septième et ultime match de leur série de première ronde, les joueurs des Devils ont obtenu congé d'entraînement. Il faut dire que les vétérans de cette équipe connaissent bien le tabac, à commencer par Martin Brodeur.
Mardi soir, le cerbère de St-Léonard disputera un match numéro sept pour la neuvième fois de sa carrière.
"Quand tu es jeune et que tu te prépares à aller jouer au hockey dehors, tu simules toujours une situation de septième partie. C'est normal, tout le monde veut vivre ces moments-là, raconte Brodeur avec un grand sourire. C'est ça que j'essaie de dire aux plus jeunes. Ces moments resteront toujours avec toi, alors il faut les prendre au sérieux."
"Il faut relaxer, faire de son mieux et en profiter, croit Patrik Elias. C'est très serré, les Hurricanes jouent très bien mais il est difficile de nous battre à la maison."
Malgré son impressionnant bagage, Brodeur prendra part à un septième match pour la première fois en six ans. Sa dernière expérience du genre remonte à 2003, alors qu'il avait blanchi les Ducks d'Anaheim en finale de la coupe Stanley.
"Quand c'est pour la coupe Stanley, c'est quelque chose de spécial, affirme Brodeur. J'avais vécu l'expérience d'en perdre une avant, alors contre Anaheim, on était vraiment prêt et ce match est mémorable pour moi."
Avec 13 participations, seul Patrick Roy a été impliqué plus souvent que Brodeur dans un septième match. Le gardien des Devils a été très efficace jusqu'à présent dans de telles circonstances et il n'est pas le seul au sein de son équipe.
Dans un affrontement ultime, les statistiques démontrent que le noyau des Devils est extrêmement fiable.
"On est habitué de jouer du hockey serré et on n'est prêt à le faire s'il le faut. S'il faut aller en prolongation, ce n'est pas la fin du monde. On se sent confiant de jouer dans n'importe quelle situation", explique Brodeur.
Brodeur se retrouvera donc une fois de plus sous les feux de la rampe, mais son jeune vis-à-vis Cam Ward présente de son côté un parcours parfait lors de la présentation d'une septième et ultime partie. En 2006, Ward avait battu les Sabres de Buffalo 4-2 lors de la demi-finale et, quelques jours plus tard, il répétait l'exploit contre les Oilers d'Edmonton.
*D'après un reportage de Luc Gélinas.
À la veille d'affronter les Hurricanes de la Caroline pour le septième et ultime match de leur série de première ronde, les joueurs des Devils ont obtenu congé d'entraînement. Il faut dire que les vétérans de cette équipe connaissent bien le tabac, à commencer par Martin Brodeur.
Mardi soir, le cerbère de St-Léonard disputera un match numéro sept pour la neuvième fois de sa carrière.
"Quand tu es jeune et que tu te prépares à aller jouer au hockey dehors, tu simules toujours une situation de septième partie. C'est normal, tout le monde veut vivre ces moments-là, raconte Brodeur avec un grand sourire. C'est ça que j'essaie de dire aux plus jeunes. Ces moments resteront toujours avec toi, alors il faut les prendre au sérieux."
"Il faut relaxer, faire de son mieux et en profiter, croit Patrik Elias. C'est très serré, les Hurricanes jouent très bien mais il est difficile de nous battre à la maison."
Malgré son impressionnant bagage, Brodeur prendra part à un septième match pour la première fois en six ans. Sa dernière expérience du genre remonte à 2003, alors qu'il avait blanchi les Ducks d'Anaheim en finale de la coupe Stanley.
"Quand c'est pour la coupe Stanley, c'est quelque chose de spécial, affirme Brodeur. J'avais vécu l'expérience d'en perdre une avant, alors contre Anaheim, on était vraiment prêt et ce match est mémorable pour moi."
Avec 13 participations, seul Patrick Roy a été impliqué plus souvent que Brodeur dans un septième match. Le gardien des Devils a été très efficace jusqu'à présent dans de telles circonstances et il n'est pas le seul au sein de son équipe.
Dans un affrontement ultime, les statistiques démontrent que le noyau des Devils est extrêmement fiable.
"On est habitué de jouer du hockey serré et on n'est prêt à le faire s'il le faut. S'il faut aller en prolongation, ce n'est pas la fin du monde. On se sent confiant de jouer dans n'importe quelle situation", explique Brodeur.
Brodeur se retrouvera donc une fois de plus sous les feux de la rampe, mais son jeune vis-à-vis Cam Ward présente de son côté un parcours parfait lors de la présentation d'une septième et ultime partie. En 2006, Ward avait battu les Sabres de Buffalo 4-2 lors de la demi-finale et, quelques jours plus tard, il répétait l'exploit contre les Oilers d'Edmonton.
*D'après un reportage de Luc Gélinas.