Erik Cole, du Canadien de Montréal s’avère le meilleur marqueur des joueurs autonomes !
$content.firstChildCategorie mercredi, 9 juil. 2014. 23:02 mercredi, 11 janv. 2012. 06:28Avec 17 buts en 41 matchs, il se dirige vers la meilleure saison de sa carrière
On sait que les joueurs autonomes n’offrent pas toujours les résultats souhaités, mais on peut dire que l’attaquant Erik Cole, du Canadien de Montréal, a vraiment livré la marchandise en cette première moitié de la saison 2011–2012.
En effet, en tenant compte des statistiques des joueurs qui ont changé d’équipe en signant un contrat de joueur autonome, depuis la fin de la dernière saison, Cole se retrouve au sommet de la LNH avec un total de 17 buts en 41 matchs, à égalité avec Michael Ryder, des Stars de Dallas, dont la fiche est de 17 buts en 40 rencontres, lui qui après avoir gagné la coupe Stanley dans l’uniforme des Bruins de Boston, avait signé avec les Stars, le 1er juillet dernier.
Il y a Tomas Fleischmann, des Panthers de la Floride (15 buts en 41 matchs) et Brad Richards, des Rangers de New York (15 buts en 39 matchs), qui ont bien fait à ce chapitre également.
Pour illustrer le rendement exceptionnel de Cole, soulignons qu’il se dirige vers la meilleure saison de sa carrière au chapitre des buts marqués, car en 2005–2006, alors qu’il avait réussi un sommet personnel de 30 buts en seulement 60 matchs, il ne totalisait que 13 filets après 41 matchs, alors qu’en 2006–2007, saison où il avait fait mouche en 29 occasions en 71 rencontres, il affichait un rendement de 16 buts, après ses 41 premières parties.
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Malchanceux, le gardien Jonathan Quick est quasi-parfait depuis cinq matchs !
Il est difficile d’exiger un meilleur rendement du gardien Jonathan Quick, des Kings de Los Angeles, car il a été presque parfait lors de ses cinq dernières rencontres.
En effet, Quick, qui aura 26 ans le 21 janvier, n’a concédé que trois buts lors de ses cinq derniers matchs (deux blanchissages et trois matchs d’un but), affichant une moyenne de 0,59 avec une efficacité de ,976, arrêtant pas moins de 124 des 127 tirs dirigés vers lui.
Malgré ce brio hors de l’ordinaire, Quick n’a pu faire mieux qu’un dossier de 3–1-1 lors de cette séquence, car il a perdu une rencontre 2 à 1, en tirs de barrage, face à l’Avalanche du Colorado, le 2 janvier et aussi un frustrant revers de 1 à 0, face aux misérables Blue Jackets de Columbus, samedi, au Staples Center.
Il affiche des statistiques qui lui permettent d’espérer mettre la main sur le Trophée Vézina, lui dont le rendement global est de 18–11-6 avec une moyenne de 1,93, une efficacité de ,934, un total de six blanchissages, un sommet dans le circuit, lui qui a été plus que fiable, concédant deux buts ou moins en 21 occasions lors de ses 35 départs.
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Une forte déception, une première moitié identique pour les Sabres de Buffalo
Après un bon début de saison, les Sabres de Buffalo ont éprouvé des difficultés, eux dont la première moitié fut quasi-identique à celle de l’an dernier.
En effet, la formation dirigée par Lindy Ruff, qui a été frappée par les blessures, a terminé la première tranche du calendrier avec un rendement de 18–18-5 pour 41 points en 41 matchs, ce qui est identique à celui de l’an dernier, alors qu’elle avait également terminé la première moitié avec un dossier de 18–18-5 en 41 parties.
Les Sabres avaient cependant rebondi dans la seconde moitié, affichant un dossier de 25–11-5 (55 points), lors des 41 dernières rencontres, pour s’assurer d’une place dans les éliminatoires.
Depuis le 10 décembre dernier, ils n’ont pu faire mieux qu’une fiche de 3–7-3 lors de leurs 13 dernières rencontres et ils n’auront pas la tâche facile, car ils disputeront 24 de leurs 41 derniers matchs à l’étranger.
Ils débuteront la 2e moitié avec huit matchs sur neuf sur les patinoires adverses, où ils viennent de subir pas moins de six défaites de suite (0–6-0), leur dernier gain remontant au 3 décembre, 3 à 2, face aux Predators de Nashville.
Cette deuxième moitié débutera avec une série aller-retour contre les Maple Leafs de Toronto, mardi, dans la ville reine et vendredi, à Buffalo.
Pensez-vous que les Sabres, dont la première moitié a beaucoup ressemblé à celle du Canadien de Montréal, vont connaître une bonne deuxième moitié et participer aux éliminatoires ?
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