Fleury a le sens de l'humour aiguisé
Pittsburgh Penguins jeudi, 7 mai 2009. 00:32 dimanche, 15 déc. 2024. 16:50
PITTSBURGH - Il y a deux ou trois ans, Marc-André Fleury aurait perdu sa concentration après avoir concédé un mauvais but en début de match. Mais face aux Capitals, le jeune gardien natif de Sorel est demeuré bien concentré après le but qu'Alexander Ovechkin a réussi à l'aide d'un rebond de la rondelle sur la clôture.
"J'ai perdu mon bâton et la rondelle a rebondi sur la clôture pour revenir devant le filet. Je ne sais même pas si elle a effleuré ma jambière. Tout s'est passé tellement vite, a expliqué Fleury. J'étais pas content. Je me suis dit une couple de mauvais mots.
"Mais j'ai plus d'expérience aujourd'hui. Je suis plus solide entre les deux oreilles. J'ai plus d'expérience. Je suis maintenant capable d'oublier un mauvais but."
Après ce but, Fleury a permis aux Penguins de demeurer dans le match. Les Penguins ont ensuite pris l'initiative de la rencontre à partir de la deuxième période. A la fin, les Penguins avaient dirigé 43 lancers contre 23 pour les Capitals.
Fleury a reçu le soutien de ses coéquipiers après le premier vingt.
"On a fait des blagues dans la chambre, a dit Kristopher Letang. On l'a remercié d'avoir laissé les Capitals prendre les devants. Dans les deux premiers matchs, on a marqué les premiers pour ensuite subir la défaite."
Fleury se devait d'être solide car son vis-à-vis a été extraordinaire. Sans Simeon Varlamov, il n'y aurait jamais eu de prolongation.
"Il a été fantastique, a déclaré l'entraîneur des Caps, Bruce Boudreau. Lorsqu'un gardien vous offre une performance pareille, il faut gagner car ça ne revient pas à tous les jours."
Boudreau a loué le jeu des Penguins, qui ont largement dominé après le premier vingt.
"Ils (Penguins) ont vraiment bien joué, a-t-il dit. Ils ont patiné durant toute la soirée et on s'est contenté de les regarder.
"Ils ont été en possession de la rondelle durant tout le match, a-t-il ajouté. Ils ont été dans notre territoire presque tout le temps. Après la deuxième période, j'ai dit à mes joueurs qu'ils jouaient pour ne pas perdre au lieu de jouer pour gagner."
Les Penguins ont visité le banc des pénalités à deux reprises seulement. Les Caps ont été punis sept fois. Boudreau n'a pas apprécié.
"J'espère qu'ils ne vont jamais plus se plaindre des pénalités, de l'obstruction et quoi encore, a-t-il lancé. On méritait certainement la majorité de ces pénalités. Mais je peux vous dire qu'ils en méritaient tout autant."
"J'ai perdu mon bâton et la rondelle a rebondi sur la clôture pour revenir devant le filet. Je ne sais même pas si elle a effleuré ma jambière. Tout s'est passé tellement vite, a expliqué Fleury. J'étais pas content. Je me suis dit une couple de mauvais mots.
"Mais j'ai plus d'expérience aujourd'hui. Je suis plus solide entre les deux oreilles. J'ai plus d'expérience. Je suis maintenant capable d'oublier un mauvais but."
Après ce but, Fleury a permis aux Penguins de demeurer dans le match. Les Penguins ont ensuite pris l'initiative de la rencontre à partir de la deuxième période. A la fin, les Penguins avaient dirigé 43 lancers contre 23 pour les Capitals.
Fleury a reçu le soutien de ses coéquipiers après le premier vingt.
"On a fait des blagues dans la chambre, a dit Kristopher Letang. On l'a remercié d'avoir laissé les Capitals prendre les devants. Dans les deux premiers matchs, on a marqué les premiers pour ensuite subir la défaite."
Fleury se devait d'être solide car son vis-à-vis a été extraordinaire. Sans Simeon Varlamov, il n'y aurait jamais eu de prolongation.
"Il a été fantastique, a déclaré l'entraîneur des Caps, Bruce Boudreau. Lorsqu'un gardien vous offre une performance pareille, il faut gagner car ça ne revient pas à tous les jours."
Boudreau a loué le jeu des Penguins, qui ont largement dominé après le premier vingt.
"Ils (Penguins) ont vraiment bien joué, a-t-il dit. Ils ont patiné durant toute la soirée et on s'est contenté de les regarder.
"Ils ont été en possession de la rondelle durant tout le match, a-t-il ajouté. Ils ont été dans notre territoire presque tout le temps. Après la deuxième période, j'ai dit à mes joueurs qu'ils jouaient pour ne pas perdre au lieu de jouer pour gagner."
Les Penguins ont visité le banc des pénalités à deux reprises seulement. Les Caps ont été punis sept fois. Boudreau n'a pas apprécié.
"J'espère qu'ils ne vont jamais plus se plaindre des pénalités, de l'obstruction et quoi encore, a-t-il lancé. On méritait certainement la majorité de ces pénalités. Mais je peux vous dire qu'ils en méritaient tout autant."