Frustré, T. Brouwer répond à Hamrlik
Hockey vendredi, 23 nov. 2012. 10:39 jeudi, 12 déc. 2024. 11:35
Troy Brouwer, attaquant des Capitals de Washington, se dit frustré des commentaires émis par ses coéquipiers Roman Hamrlik et Michael Neuvirth, qui remettent en doute la compétence de la direction de l'AJLNH pendant les négociations de la convention collective.
Brouwer, représentant des Caps aux côtés de Jason Chimera chez l'Association des joueurs, a donné son point de vue au Washington Post : « Il s'agit de deux gars qui n'ont participé à aucune conférence téléphonique, n'ont jamais pris part à une rencontre et ne se sont jamais impliqués. Chacun a droit à son opinion, mais quand vous vous battez pour quelque chose avec 700 autres gars, tout ce que ça fait c'est de rendre la tâche encore plus difficile afin d'en venir à une entente. »
« Personnellement, je trouve qu'ils nous trahissent en étant aussi égoïstes et en affirmant de telles choses. Je fais partie de leur équipe, comment pourrai-je leur faire confiance par la suite? Ils ne supportent pas les joueurs dans tout ce processus, ce sera difficile pour moi d'être capable de les épauler au sein de l'équipe. »
« Hamr vieillit. Il sait qu'il lui reste peu de temps à jouer et je comprends qu'il désire qu'une entente soit signée le plus rapidement possible. Mais si les circonstances ne sont pas idéales, elles ne le sont pas. »
Il y a deux jours, dans une entrevue accordée à un média tchèque, Hamrlik a déclaré qu'il était « dégoûté » et que « les joueurs devaient pousser Fehr au pied du mur pour avoir une entente ». Il avait aussi précisé le fond de sa pensée à l'émission Hockey 360 :
« Je reste avec ce que j'ai affirmé mardi. Je crois que j'ai le droit de dire ce que je pense. Ça fait assez longtemps que je suis dans la ligue ».
« Ce n'est rien contre M. Fehr ou contre l'Association. Je suis à 100 % derrière les joueurs, mais je crois qu'on doit pousser un peu plus pour qu'il [Fehr] en vienne à une entente avec la LNH. »
De son côté, le jeune gardien Neuvirth a admis être en accord avec les propos du vétéran défenseur tout en soulignant que le lock-out est une affaire de « plusieurs supervedettes avec de gros contrats ».
Brouwer, représentant des Caps aux côtés de Jason Chimera chez l'Association des joueurs, a donné son point de vue au Washington Post : « Il s'agit de deux gars qui n'ont participé à aucune conférence téléphonique, n'ont jamais pris part à une rencontre et ne se sont jamais impliqués. Chacun a droit à son opinion, mais quand vous vous battez pour quelque chose avec 700 autres gars, tout ce que ça fait c'est de rendre la tâche encore plus difficile afin d'en venir à une entente. »
« Personnellement, je trouve qu'ils nous trahissent en étant aussi égoïstes et en affirmant de telles choses. Je fais partie de leur équipe, comment pourrai-je leur faire confiance par la suite? Ils ne supportent pas les joueurs dans tout ce processus, ce sera difficile pour moi d'être capable de les épauler au sein de l'équipe. »
« Hamr vieillit. Il sait qu'il lui reste peu de temps à jouer et je comprends qu'il désire qu'une entente soit signée le plus rapidement possible. Mais si les circonstances ne sont pas idéales, elles ne le sont pas. »
Il y a deux jours, dans une entrevue accordée à un média tchèque, Hamrlik a déclaré qu'il était « dégoûté » et que « les joueurs devaient pousser Fehr au pied du mur pour avoir une entente ». Il avait aussi précisé le fond de sa pensée à l'émission Hockey 360 :
« Je reste avec ce que j'ai affirmé mardi. Je crois que j'ai le droit de dire ce que je pense. Ça fait assez longtemps que je suis dans la ligue ».
« Ce n'est rien contre M. Fehr ou contre l'Association. Je suis à 100 % derrière les joueurs, mais je crois qu'on doit pousser un peu plus pour qu'il [Fehr] en vienne à une entente avec la LNH. »
De son côté, le jeune gardien Neuvirth a admis être en accord avec les propos du vétéran défenseur tout en soulignant que le lock-out est une affaire de « plusieurs supervedettes avec de gros contrats ».