Il en faudra plus pour ébranler Luongo
Hockey mardi, 7 juin 2011. 20:19 mercredi, 11 déc. 2024. 21:36
BOSTON - Roberto Luongo reste confiant après la dégelée de 8-1 contre les Bruins, lundi, lors du troisième match de la finale de la coupe Stanley. Il a subi des revers de 7-2 et 5-0 contre Chicago, au premier tour, mais est allé au-delà de ces défaites et compte bien le faire encore.
«J'ai attendu toute ma vie pour être en finale de la coupe Stanley, a dit le gardien des Canucks mardi. Je ne vais pas marcher la tête basse. Il faut retourner au travail. C'est sûr que le résultat a été décevant pour toute l'équipe. On a la chance d'être en finale... il va y avoir des moments plus difficiles, mais il faut rester concentrés.»
C'est là un sentiment partagé par plusieurs membres des Canucks à l'approche du quatrième match à Boston, mercredi, dans une série qu'ils mènent encore 2-1. La capacité de garder la tête froide a été importante jusqu'ici, dans cette finale.
«Victoire ou défaite, notre mentalité reste la même, a dit l'attaquant Manny Malhotra. Nous avons fait du bon travail là-dessus depuis le début des séries. Nous n'avons jamais été trop excités, mais jamais trop dépités non plus.»
Luongo n'avait pas accordé huit buts dans un match depuis le 1er avril 2010, contre Los Angeles.
Plusieurs pouvaient se partager le blâme du revers écrasant de lundi. Le bâton brisé d'Alex Edler a mené au premier filet du match, Ryan Kesler a accidentellement poussé le disque dans son but, puis toute l'équipe a connu une baisse de régime après le but de Brad Marchand qui faisait 3-0, en désavantage numérique.
La performance des Canucks en supériorité fait sourciller depuis le début de la finale. Ils convertissaient 28 pour cent de leurs occasions en séries, avant cette série ultime, mais n'ont marqué qu'une seule fois en 17 avantages face aux Bruins.
«C'est quelque chose que nous avons regardé ce matin, a mentionné l'entraîneur Alain Vigneault. Il ne nous manque pas grand-chose. Il y a des choses qui sont bien exécutées. Parfois on tire quand ce serait mieux de passer ou l'inverse, mais il ne nous manque pas grand-chose.»
«J'ai attendu toute ma vie pour être en finale de la coupe Stanley, a dit le gardien des Canucks mardi. Je ne vais pas marcher la tête basse. Il faut retourner au travail. C'est sûr que le résultat a été décevant pour toute l'équipe. On a la chance d'être en finale... il va y avoir des moments plus difficiles, mais il faut rester concentrés.»
C'est là un sentiment partagé par plusieurs membres des Canucks à l'approche du quatrième match à Boston, mercredi, dans une série qu'ils mènent encore 2-1. La capacité de garder la tête froide a été importante jusqu'ici, dans cette finale.
«Victoire ou défaite, notre mentalité reste la même, a dit l'attaquant Manny Malhotra. Nous avons fait du bon travail là-dessus depuis le début des séries. Nous n'avons jamais été trop excités, mais jamais trop dépités non plus.»
Luongo n'avait pas accordé huit buts dans un match depuis le 1er avril 2010, contre Los Angeles.
Plusieurs pouvaient se partager le blâme du revers écrasant de lundi. Le bâton brisé d'Alex Edler a mené au premier filet du match, Ryan Kesler a accidentellement poussé le disque dans son but, puis toute l'équipe a connu une baisse de régime après le but de Brad Marchand qui faisait 3-0, en désavantage numérique.
La performance des Canucks en supériorité fait sourciller depuis le début de la finale. Ils convertissaient 28 pour cent de leurs occasions en séries, avant cette série ultime, mais n'ont marqué qu'une seule fois en 17 avantages face aux Bruins.
«C'est quelque chose que nous avons regardé ce matin, a mentionné l'entraîneur Alain Vigneault. Il ne nous manque pas grand-chose. Il y a des choses qui sont bien exécutées. Parfois on tire quand ce serait mieux de passer ou l'inverse, mais il ne nous manque pas grand-chose.»