Jaromir Jagr tentera de rejoindre Jean Béliveau pour les buts en éliminatoires

Il a rejoint Brett Hull avec 190 points en carrière en séries

L’attaquant Jaromir Jagr, des Bruins de Boston, poursuit malgré ses 41 ans, son chemin dans le hockey de la Ligue nationale et il récolte encore sa part de points dans les éliminatoires.





En effet, après avoir récolté une assistance dans le gain de 5 à 2, face aux Maple Leafs de Toronto, lundi soir, Jagr a ainsi rejoint Brett Hull au 6e rang de l’histoire des marqueurs des séries éliminatoires, affichant un dossier de 78–112-190 en 183 matchs comparativement à 103–87-190 en 202 matchs pour Hull.

Auteur d’un dossier de 0–1-1 en trois matchs, Jagr tentera de rejoindre Jean Béliveau au chapitre des buts marqués, ce dernier ayant présenté un dossier de 79–97-176 en 162 matchs à vie en éliminatoires et dont le total de 79 buts se retrouve au 10e rang de l’histoire des buteurs de la LNH.

Il y a aussi Claude Lemieux (80 buts) au 9e rang, Maurice Richard (82 buts) au 8e rang, Joe Sakic (84 buts) au 7e rang et Mike Bossy (85 buts), au 6e rang, qui sont des joueurs que pourrait rejoindre Jagr si jamais les Bruins disputaient plusieurs séries en 2012–2013.

Soulignons que le défenseur Paul Coffey est au 5e rang de l’histoire des séries éliminatoires au chapitre des points récoltés, lui dont la fiche fut de 59–137-196 en 194 rencontres en séries de fin de saison et Jagr pourra possiblement le rejoindre lors des présentes éliminatoires.

Il y a des joueurs qui ont toujours fait le délice des amateurs et on peut affirmer que Jagr, même s’il n’est plus aussi flamboyant et productif que lors de ses belles années, demeure un joueur intéressant à voir évoluer sur une patinoire.

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Le jeune Nazem Kadri des Maple Leafs connaît une séquence horrible

Il n’est plus le même joueur depuis le meilleur match de sa carrière !

Après avoir été superbe durant les 10 premières semaines du calendrier régulier, le jeune attaquant Nazem Kadri, des Maple Leafs de Toronto, ne produit plus depuis plus d’un mois.



En effet, le premier choix de l’équipe, le 7e au repêchage de 2009, qui affichait en date du 31 mars, un excellent dossier de 17–22-39 avec un différentiel de plus 20 lors de ses 36 premiers matchs, n’a pu faire mieux qu’un rendement de 1–4-5 avec un différentiel de moins cinq lors de ses 12 dernières rencontres régulières disputées du 1er au 27 avril et il est 0–1-1 avec un différentiel de moins un dans les trois premiers matchs de la présente série face aux Bruins de Boston.

Cela lui fait un rendement combiné de 1–5-6 avec un différentiel de moins six lors de ses 15 dernières rencontres.

Cette léthargie est venue suite au meilleur de sa jeune carrière !

Soulignons que cette baisse de rendement est survenue après qu’il eut connu le meilleur match de sa jeune carrière, car le 30 mars dernier, il avait récolté un sommet personnel de quatre points, dont un tour du chapeau (3–1-4), dans un gain de 4 à 0, face aux Sénateurs d’Ottawa, à la Place Banque Scotia.

Avant la présente saison, Kadri, qui aura 23 ans le 6 octobre prochain, ne semblait pas dans les bonnes grâces de l’ex-entraîneur Ron Wilson, n’avait pu faire mieux qu’un rendement de 8–11-19 avec un différentiel de moins deux en 51 rencontres, ayant joué un match en 2009–2010, 29 matchs (3–9-12) en 2010–2011 et 21 rencontres (5–2-7) en 2011–2012.

Sa production de la présente saison ressemble étrangement à celles des deux dernières saisons qui furent passées avec le club-école des Marlies de Toronto, dans la Ligue américaine de hockey, car en 2010–2011, il avait présenté un rendement de 17–24-41 en 44 matchs alors qu’en 2011–2012, il avait eu une fiche de 18–22-40 en 48 matchs.

Si les Maple Leafs, qui participent aux éliminatoires pour la première fois depuis 2003–2004, veulent accéder au deuxième tour, ils devront obtenir plus de buts de la part de leurs meilleurs attaquants, dont le jeune Kadri.

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Brad Richards connaît une longue léthargie dans les éliminatoires

Il n’a pas marqué lors de ses neuf derniers matchs en séries de fin de saison

Suite à une saison régulière difficile, l’attaquant Brad Richards, des Rangers de New York semble encore en léthargie dans la présente série contre les Capitals de Washington, lui qui ne marque plus dans les éliminatoires.



En effet, après avoir bien fait lors des deux premières séries éliminatoires disputées l’an dernier, on dirait que l’ex-joueur du Lightning de Tampa Bay et des Stars de Dallas, est tombé en panne sèche lors de la troisième série disputée l’an dernier, face aux Devils du New Jersey, car affichant un dossier de 6–5-11 lors des 14 premiers matchs disputés lors des deux séries qui ont atteint la limite de sept rencontres, il fut 0–4-4 en six rencontres, dans la série finale de l’Association de l’Est, face aux Devils, lui qui fut rayé de la feuille de pointage dans les trois premiers matchs de la présente série contre les Capitals de Washington.

Richards, qui fut le 3e choix du Lightning, le 64e au total lors du repêchage de 1998, a toujours été un joueur productif en séries éliminatoires, lui dont la fiche est de 27–50-77 en 86 matchs à vie et qui lors de la saison 2003–2004, avait eu un superbe rendement de 12–14-26 en 23 matchs (dont sept buts victorieux, un record de la LNH), aidant le Lightning à remporter la seule Coupe Stanley de son histoire, ce qui lui avait valu le Trophée Conn Smythe, remis au joueur par excellence des éliminatoires.

En saison régulière, Richards a un rendement de 256–560-816 en 900 matchs à vie, lui qui lors de sa première saison avec les Rangers l’an dernier, a eu un dossier de 25–41-66 en 82 matchs et qui fut une déception avec une fiche de 11–23-34 en 46 matchs cette année.

Il avait été superbe lors des derniers matchs réguliers de la saison …

On pensait que Richards était sorti de sa torpeur, lui qui avait retrouvé un peu de son lustre à la toute fin du calendrier régulier, ayant récolté au moins un point dans chacun de ses six derniers matchs, affichant un superbe dossier de 5–6-11 avec un excellent différentiel de plus huit, du 18 au 27 avril et le plus ironique est que son temps d’utilisation avait été de 16:46 minutes lors de cette superbe séquence, comparativement à une moyenne de 20:29 lors des trois premiers matchs de la présente série.

Avant cette remontée, Richards était la cible des amateurs des Rangers, car il présentait en date du 17 avril, un atroce rendement de 6–17-23 lors de ses 40 premières rencontres.

Pas très reluisant pour un joueur qui a signé un pacte de près de 59 millions de dollars pour une période de neuf saisons, le 2 juillet 2011.

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Que de matchs d’un but dans la série entre les Blues et les Kings

Seule série où tous les matchs ont pris fin par un mince écart d’un filet

On peut dire que la série entre les Blues de St. Louis et les Kings de Los Angeles, donne lieu à du vrai jeu des séries éliminatoires, très serré et corsé du début à la fin de chaque rencontre !



En effet, les quatre premiers matchs de cette série ont pris fin par un seul but d’écart et c’est la seule série où toutes les rencontres se sont soldées par ce mince écart d’un filet dans les présentes éliminatoires.

Au total 15 des 30 premières rencontres ont pris fin par un seul but d’écart dans les présentes séries.

Dans l’Association de l’Est, deux des trois matchs entre les Islanders de New York et les Penguins de Pittsburgh, deux des trois matchs entre les Rangers de New York et les Capitals de Washington, un dans la séries entrele Canadien de Montréal et les Sénateurs d’Ottawa et aucun entre les Maple Leafs de Toronto et les Bruins de Boston.

Dans l’Association de l’Ouest, deux des quatre matchs entre le Wild du Minnesota et les Blackhawks de Chicago, deux des quatre rencontres entre les Red Wings de Detroit et les Ducks d’Anaheim et deux des quatre parties entre les Sharks de San Jose et les Canucks de Vancouver.

Soulignons que l’an dernier, alors que les Kings avaient balayé les Blues en quatre matchs, lors de la série demi-finale de l’Association de l’Ouest, aucune rencontre n’avait pris fin par un seul but d’écart, trois matchs ayant été décidés par deux buts (dont deux avaient vu un filet désert) et une autre rencontre par un écart de trois buts.

LA SÉRIE ENTRE LES KINGS ET LES BLUES EN 2012-2013

(QUARTS-FINALE ASSOCIATION OUEST)

30 avril 2013-Los Angeles 1 à St. Louis 2 (prol.) (Alex Steen, DN, 13 :26, prol.)

2 mai 2013-Los Angeles 1 à St. Louis 2 (Barret Jackman, 19 :09, 3e période)

4 mai 2013-St. Louis 0 à Los Angeles 1 (Slava Voynov, 4:56, 2e période)

6 mai 2013-St. Louis 3 à Los Angeles 4 (Justin Williams, 8:30, 3e période)

(N.B. : le données entre parenthèses indiquent le marqueur et le temps du but victorieux.)

LA SÉRIE ENTRE LES KINGS ET LES BLUES EN 2011-2012

(DEMI-FINALE ASSOCIATION OUEST)

28 avril 2012-Los Angeles 3 à St. Louis 1 (filet désert)

30 avril 2012-Los Angeles 5 à St. Louis 2

3 mai 2012-St. Louis 2 à Los Angeles 4

6 mai 2012-St. Louis 1 à Los Angeles 3 (filet désert)

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