José Théodore affiche de meilleures statistiques que Carey Price
$content.firstChildCategorie mercredi, 9 juil. 2014. 23:37 lundi, 14 nov. 2011. 09:48Un excellent début de saison pour l’ex-gardien du Tricolore
La saison de la LNH est encore jeune, mais qui aurait cru qu’après cinq semaines d’activités, le gardien José Théodore, des Panthers de la Floride, afficherait de meilleures statistiques que Carey Price, du Canadien de Montréal ?
C’est pourtant la réalité, car l’ex-gardien du Tricolore, qui a eu 35 ans le 13 septembre dernier et qui fut signé comme joueur autonome par les Panthers, le 1er juillet dernier, affiche un rendement de 6–2-2 avec une excellente moyenne de 2,39 et une très bonne efficacité de ,922 en 11 rencontres.
Dans le cas de Price, il présente une fiche de 6–6-2 avec une moyenne de 2,49 et une efficacité de ,905 en 14 rencontres.
L’an dernier, Théodore avait présenté une fiche de 15–11-3 avec une moyenne de 2,71 et une efficacité de 916 en 32 matchs, dans l’uniforme du Wild du Minnesota, comparativement à une fiche de 38–28-6 avec une moyenne de 2,35 et une efficacité de ,923 en 72 matchs, dans le cas de Price.
Soulignons que Théodore est l’un des artisans de la poussée des Panthers de la Floride, lui dont le rendement depuis le 22 octobre dernier, est de 3–0-2 avec une moyenne de 2,23 et une efficacité de ,924, lors de ses six derniers matchs, son dernier revers en temps régulier remontant au 20 octobre, 3 à 0, face aux Sabres de Buffalo et dont la seule autre défaite en temps régulier fut encaissée contre les Penguins de Pittsburgh (4 à 2), les meneurs du classement général, le 11 octobre.
Il affronte en ce dimanche, les Flyers de Philadelphie, une formation contre laquelle, il a toujours connu du succès, affichant un rendement à vie de 14–8-0 (1) avec une moyenne de 2,76 et une efficacité de ,913 en 24 rencontres.
Les Panthers tenteront de mettre fin à leur disette à domicile, eux qui ont perdu leurs trois derniers matchs locaux, tous en tirs de barrage, leur dernier gain au Bank Atlantic Center remontant au 22 octobre, 4 à 2, face aux Islanders de New York.
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À quand un gain à l’étranger pour les Islanders de New York ?
Dans une séquence difficile, les Islanders de New York, terminent en ce dimanche, un séjour de trois rencontres à l’étranger, eux qui n’ont pas triomphé sur les patinoires adverses depuis très longtemps !
En effet, la formation dirigée par Jack Capuano, qui est l’une des deux formations à ne pas avoir triomphé à l’extérieur cette saison (l’autre étant les Blue Jackets de Columbus), affichant un dossier de 0–3-2 en cinq rencontres, se retrouve avec un rendement de 0–6-2 lors de ses huit derniers matchs sur la route, elle qui avait aussi perdu ses trois derniers matchs de l’an dernier à ce chapitre, ayant triomphé pour la dernière fois le 22 mars 2011, 5 à 2, face au Lightning, à Tampa Bay.
Lors de leur dernier match, les Islanders ont gaspillé une avance de trois buts (3 à 0), dans un revers de 4 à 3, en prolongation, face à l’Avalanche du Colorado, au Pepsi Center, jeudi dernier.
Soulignons que cette équipe qui en arrache, affichant un dossier global de 1–5-3 lors de ses neuf derniers matchs, tentera de mettre fin à cette disette à l’étranger en visitant lors de ce dimanche, 13 novembre, les Canucks de Vancouver, qui reviennent d’un séjour de six matchs de suite à l’étranger (3–3-0), et qui présentent un rendement ordinaire de 3–2-1 en six matchs au Rogers Arena.
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Dans les matchs de samedi, un jour sombre pour le jeu de puissance des équipes locales
Il se passe beaucoup de choses durant une saison et on a pu le constater lors des 11 matchs disputés samedi, alors que le jeu de puissance n’a pas été très productif, tout spécialement pour les équipes locales.
En effet, lors des 11 rencontres, le rendement des 22 équipes a été de seulement cinq buts en 88 avantages, une très faible efficacité de 5,68%, mais ce fut vraiment atroce pour les 11 équipes locales, qui ont présenté un rendement d’un seul but en 47 avantages numériques, une moyenne d’efficacité de 2,13 %, ce qui est très près d’une soirée blanche à ce chapitre !
Soulignons que lors des 47 avantages numériques, les équipes locales ont bénéficié de pas moins de 85 :04 minutes de jeu en supériorité numérique.
Pis, ce seul but en supériorité numérique des équipes locales, a été marqué par le jeune défenseur Alec Martinez (son 2e de la saison et le 3e de sa carrière), des Kings de Los Angeles, dans un gain de 5 à 1, face au Wild du Minnesota, lors d’une pénalité majeure imposée à Warren Peters, qui a été puni pour cinq minutes pour un geste dangereux près de la bande.
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