L'embauche de Wilson confirmée
Hockey lundi, 9 juin 2008. 19:34 dimanche, 15 déc. 2024. 13:30
TORONTO - De sa propre estimation, personne dans la LNH n'était plus heureux que Ron Wilson, mardi.
Après avoir été nommé entraîneur en chef des Maple Leafs de Toronto, Wilson a déclaré qu'il réalisait un rêve.
"Pour moi, il s'agit d'une journée incroyable, a déclaré l'homme de 53 ans, lors d'une conférence de presse au Centre Air Canada. Les deux dernières semaines ont été très emballantes."
Wilson a été congédié le mois dernier par les Sharks de San Jose, après le revers de l'équipe face aux Stars de Dallas lors du deuxième tour des séries éliminatoires. A Toronto, il remplacera Paul Maurice, limogé après que les Maple Leafs eurent raté le grand rendez-vous printanier pour une deuxième saison d'affilée sous son règne.
"Lorsque vous perdez votre emploi dans la ligue, vous vous demandez souvent si vous profiterez d'une nouvelle opportunité, a noté Wilson. Mais jamais je n'aurais cru, peu importe le moment de ma carrière, que j'aurais la chance de diriger une équipe comme les Maple Leafs de Toronto, dont l'histoire est si riche."
Wilson s'est rendu dans la Ville-Reine lundi pour signer son nom au bas d'un contrat d'une durée de quatre ans.
"À mes yeux, les Leafs représentent une formation en transition. Il faudra investir beaucoup de travail et porter attention aux détails", a souligné Wilson au sujet de l'équipe qui s'est classée au 12e rang dans l'Association de l'Est, en 2007-2008, et raté les séries éliminatoires par 11 points.
Cliff Fletcher, le directeur général par intérim des Maple Leafs, accompagnait Wilson lors de la conférence de presse. La formation torontoise est toujours à la recherche d'un directeur général permanent, mais Wilson est confiant de pouvoir bien s'entendre avec l'homme qui sera embauché à ce titre.
"Le but est de mettre les morceaux du casse-tête à la bonne place, a imagé Wilson. Il n'y a pas qu'une seule façon pour y arriver."
Wilson espère que les Maple Leafs deviendront des aspirants aux séries éliminatoires d'ici deux ans.
"À titre d'entraîneur, votre objectif est de faire en sorte que votre équipe puisse cogner à la porte, a mentionné Wilson. Et si nous pouvons cogner à la porte dans deux ans, je pense que nous aurons réalisé un bel exploit. Ensuite, il ne nous restera qu'à faire tomber la porte."
Wilson, qui a vu le jour a Windsor et qui a grandi à Fort Erie, en Ontario, a dirigé les Sharks, les Mighty Ducks d'Anaheim et les Capitals de Washington dans la LNH. Il affiche un dossier en carrière de 518-446-127. Il a également joué pendant sept saisons dans la LNH, dont trois avec les Maple Leafs de 1977 à 1979.
L'entrée en scène de Wilson laisse présager que Brian Burke acceptera le poste de directeur général des Maple Leafs, lorsque son contrat avec les Ducks viendra à échéance, l'été prochain. Burke et Wilson ont joué ensemble à Providence.
En attendant, Wilson aura l'occasion d'oeuvrer dans un marché où le hockey est roi et maître, ce qui n'était pas le cas à Anaheim, Washington et San Jose. Wilson se dit prêt à faire face à ce défi.
"J'ai dirigé trois équipes dans la Ligue nationale de hockey, et à chaque fois, nous avons du partir du bas de l'échelle et gravir les échelons. Je crois avoir fait mes preuves."
Après avoir été nommé entraîneur en chef des Maple Leafs de Toronto, Wilson a déclaré qu'il réalisait un rêve.
"Pour moi, il s'agit d'une journée incroyable, a déclaré l'homme de 53 ans, lors d'une conférence de presse au Centre Air Canada. Les deux dernières semaines ont été très emballantes."
Wilson a été congédié le mois dernier par les Sharks de San Jose, après le revers de l'équipe face aux Stars de Dallas lors du deuxième tour des séries éliminatoires. A Toronto, il remplacera Paul Maurice, limogé après que les Maple Leafs eurent raté le grand rendez-vous printanier pour une deuxième saison d'affilée sous son règne.
"Lorsque vous perdez votre emploi dans la ligue, vous vous demandez souvent si vous profiterez d'une nouvelle opportunité, a noté Wilson. Mais jamais je n'aurais cru, peu importe le moment de ma carrière, que j'aurais la chance de diriger une équipe comme les Maple Leafs de Toronto, dont l'histoire est si riche."
Wilson s'est rendu dans la Ville-Reine lundi pour signer son nom au bas d'un contrat d'une durée de quatre ans.
"À mes yeux, les Leafs représentent une formation en transition. Il faudra investir beaucoup de travail et porter attention aux détails", a souligné Wilson au sujet de l'équipe qui s'est classée au 12e rang dans l'Association de l'Est, en 2007-2008, et raté les séries éliminatoires par 11 points.
Cliff Fletcher, le directeur général par intérim des Maple Leafs, accompagnait Wilson lors de la conférence de presse. La formation torontoise est toujours à la recherche d'un directeur général permanent, mais Wilson est confiant de pouvoir bien s'entendre avec l'homme qui sera embauché à ce titre.
"Le but est de mettre les morceaux du casse-tête à la bonne place, a imagé Wilson. Il n'y a pas qu'une seule façon pour y arriver."
Wilson espère que les Maple Leafs deviendront des aspirants aux séries éliminatoires d'ici deux ans.
"À titre d'entraîneur, votre objectif est de faire en sorte que votre équipe puisse cogner à la porte, a mentionné Wilson. Et si nous pouvons cogner à la porte dans deux ans, je pense que nous aurons réalisé un bel exploit. Ensuite, il ne nous restera qu'à faire tomber la porte."
Wilson, qui a vu le jour a Windsor et qui a grandi à Fort Erie, en Ontario, a dirigé les Sharks, les Mighty Ducks d'Anaheim et les Capitals de Washington dans la LNH. Il affiche un dossier en carrière de 518-446-127. Il a également joué pendant sept saisons dans la LNH, dont trois avec les Maple Leafs de 1977 à 1979.
L'entrée en scène de Wilson laisse présager que Brian Burke acceptera le poste de directeur général des Maple Leafs, lorsque son contrat avec les Ducks viendra à échéance, l'été prochain. Burke et Wilson ont joué ensemble à Providence.
En attendant, Wilson aura l'occasion d'oeuvrer dans un marché où le hockey est roi et maître, ce qui n'était pas le cas à Anaheim, Washington et San Jose. Wilson se dit prêt à faire face à ce défi.
"J'ai dirigé trois équipes dans la Ligue nationale de hockey, et à chaque fois, nous avons du partir du bas de l'échelle et gravir les échelons. Je crois avoir fait mes preuves."