L'étoile de Ribeiro brille à Dallas
Dallas Stars vendredi, 22 févr. 2008. 22:11 dimanche, 15 déc. 2024. 11:45
DALLAS - Mike Ribeiro a réalisé un rêve en jouant pour le Canadien, équipe de sa ville natale. Il a porté les couleurs du CH durant six saisons, en totalité ou en partie, mais le rêve n'a pas tout à fait pris la tournure souhaitée.
Depuis son échange aux Stars de Dallas, avant la saison 2006-07, on a assisté, loin des réflecteurs du Canada, à l'éclosion d'un nouveau Mike Ribeiro.
Comme Montréalais avec le Canadien, l'athlète de 28 ans a dû composer avec une grande pression et de nombreuses attentes, aussi bien sur la glace qu'en dehors de celle-ci. Et il n'aura pas réussi à faire partie d'une équipe championne à Montréal.
"Il y a beaucoup de pression quand vous êtes avec le Canadien depuis un certain temps, a mentionné Ribeiro. Et si vous avez grandi à Montréal, la pression est encore plus forte. À un certain point, il faut se concentrer sur sa carrière, et je pense que c'est finalement une bonne chose que je sois ici."
Ribeiro est maintenant un joueur étoile conservant jusqu'ici une moyenne de plus d'un point par match (67 points en 64 matches) pour les Stars, meneurs de la section Pacifique.
À Montréal, il contribuait une moyenne de 0,55 point par rencontre. Ses 67 points cette saison dépassent déjà sa récolte de la saison dernière, alors qu'il avait dominé les Stars avec 59 points.
"Nous avons d'excellents partisans ici, mais le hockey n'est pas autant suivi à chaque jour comme il l'est à Montréal, a dit le capitaine Brenden Morrow, qui évolue avec Ribeiro sur le premier trio. Le hockey est une religion au Canada."
Avec son brio offensif et une prolongation de contrat de cinq ans, pour 25 millions $ US, Ribeiro commence à devenir le nouveau visage des Stars. C'est un rôle que l'on associe encore largement à Mike Modano, le plus prolifique pointeur américain, et le seul joueur faisant déjà partie de l'équipe à l'époque des North Stars du Minnesota.
Ribeiro apporte finalement le genre de production que le Canadien espérait en le choisissant 45e au total, en 1998.
Ribeiro a fait ses débuts dans la LNH en 1999-00, obtenant un but et une passe en 19 matches. Il n'a pris part qu'à deux rencontres la saison suivante.
Sa meilleure saison avec le Tricolore a été 2003-04, avec 20 buts et 65 points; il a bénéficié de beaucoup de temps de glace, le capitaine Saku Koivu devant rater 79 matches en raison de problèmes de santé.
La production de Ribeiro a baissé à 16 buts et 51 points, en 2005-06, puis il a été échangé à Dallas la fin de semaine avant le début de la saison suivante.
L'entraîneur des Stars, Dave Tippett, attribue les succès de Ribeiro à son éthique de travail, qui était parfois remise en question à Montréal.
"Il a toujours eu le talent. Il s'est retrouvé dans un nouvel environnement, dans lequel il est confortable, et il met son énergie sur la patinoire, a dit Tippett. C'est une atmosphère où il y a moins de pression, et l'énergie qui est gagnée, vous la mettez dans les matches."
Le sentiment qu'il ne pouvait jamais en faire suffisamment aux yeux de certains à Montréal demeure tout de même frais à la mémoire de Ribeiro.
"Quand je suis retourné à la maison, l'an dernier, les gens disaient, hey, tu as connu une excellente saison. Si je jouais encore pour le Canadien, ils diraient probablement, oui, mais tu aurais pu faire encore mieux. Alors ce n'est jamais assez, mentionne Ribeiro. Mais j'ai apprécié mon temps à Montréal. C'a été une grande expérience de vie."
Depuis son échange aux Stars de Dallas, avant la saison 2006-07, on a assisté, loin des réflecteurs du Canada, à l'éclosion d'un nouveau Mike Ribeiro.
Comme Montréalais avec le Canadien, l'athlète de 28 ans a dû composer avec une grande pression et de nombreuses attentes, aussi bien sur la glace qu'en dehors de celle-ci. Et il n'aura pas réussi à faire partie d'une équipe championne à Montréal.
"Il y a beaucoup de pression quand vous êtes avec le Canadien depuis un certain temps, a mentionné Ribeiro. Et si vous avez grandi à Montréal, la pression est encore plus forte. À un certain point, il faut se concentrer sur sa carrière, et je pense que c'est finalement une bonne chose que je sois ici."
Ribeiro est maintenant un joueur étoile conservant jusqu'ici une moyenne de plus d'un point par match (67 points en 64 matches) pour les Stars, meneurs de la section Pacifique.
À Montréal, il contribuait une moyenne de 0,55 point par rencontre. Ses 67 points cette saison dépassent déjà sa récolte de la saison dernière, alors qu'il avait dominé les Stars avec 59 points.
"Nous avons d'excellents partisans ici, mais le hockey n'est pas autant suivi à chaque jour comme il l'est à Montréal, a dit le capitaine Brenden Morrow, qui évolue avec Ribeiro sur le premier trio. Le hockey est une religion au Canada."
Avec son brio offensif et une prolongation de contrat de cinq ans, pour 25 millions $ US, Ribeiro commence à devenir le nouveau visage des Stars. C'est un rôle que l'on associe encore largement à Mike Modano, le plus prolifique pointeur américain, et le seul joueur faisant déjà partie de l'équipe à l'époque des North Stars du Minnesota.
Ribeiro apporte finalement le genre de production que le Canadien espérait en le choisissant 45e au total, en 1998.
Ribeiro a fait ses débuts dans la LNH en 1999-00, obtenant un but et une passe en 19 matches. Il n'a pris part qu'à deux rencontres la saison suivante.
Sa meilleure saison avec le Tricolore a été 2003-04, avec 20 buts et 65 points; il a bénéficié de beaucoup de temps de glace, le capitaine Saku Koivu devant rater 79 matches en raison de problèmes de santé.
La production de Ribeiro a baissé à 16 buts et 51 points, en 2005-06, puis il a été échangé à Dallas la fin de semaine avant le début de la saison suivante.
L'entraîneur des Stars, Dave Tippett, attribue les succès de Ribeiro à son éthique de travail, qui était parfois remise en question à Montréal.
"Il a toujours eu le talent. Il s'est retrouvé dans un nouvel environnement, dans lequel il est confortable, et il met son énergie sur la patinoire, a dit Tippett. C'est une atmosphère où il y a moins de pression, et l'énergie qui est gagnée, vous la mettez dans les matches."
Le sentiment qu'il ne pouvait jamais en faire suffisamment aux yeux de certains à Montréal demeure tout de même frais à la mémoire de Ribeiro.
"Quand je suis retourné à la maison, l'an dernier, les gens disaient, hey, tu as connu une excellente saison. Si je jouais encore pour le Canadien, ils diraient probablement, oui, mais tu aurais pu faire encore mieux. Alors ce n'est jamais assez, mentionne Ribeiro. Mais j'ai apprécié mon temps à Montréal. C'a été une grande expérience de vie."