L'histoire se répète pour les Sharks
San Jose Sharks vendredi, 24 avr. 2009. 20:55 jeudi, 12 déc. 2024. 09:46
SAN JOSE, Californie - Patrick Marleau a déclaré aux médias qu'il n'était pas là pour parler du passé, vendredi, même si les Sharks de San Jose, qui tirent de l'arrière 3-1 contre les Ducks d'Anaheim, semblent - à nouveau - être sur le point de s'écrouler en séries alors qu'on les voyait faire un bon bout de chemin.
Le capitaine des Sharks a marqué un des six buts en quatre matchs de son club, qui n'est plus qu'à une défaite de se faire éliminer après que la formation de la Californie eut connu la meilleure saison de leur histoire.
Avec une autre défaite dans le cinquième match, même leur entraîneur recrue Todd McLellan sait que les Sharks donneraient un argument choc à leurs détracteurs, qui les associent aux Sénateurs d'Ottawa du début des années 2000 comme l'équipe s'écroulant le plus rapidement sous la pression des séries.
Marleau, dont le grand calme peut parfois être interprété comme de l'indifférence, insiste pour dire que les Sharks ne peuvent que continuer à travailler fort et regarder devant.
"Vous apprenez de tout cela et allez de l'avant, a-t-il expliqué en haussant les épaules. On ne peut pas s'apitoyer sur notre sort ou quelque chose du genre. En tant qu'équipe, nous n'avons pas joué notre meilleur hockey et tout le monde doit en donner plus."
Mais après avoir vu la façon dont ont joué les Ducks au cours des quatre premiers matchs, il est difficile d'imaginer que les Sharks ne deviendront pas la huitième formation depuis 1994 à avoir remporté le championnat de leur association à se faire montrer la sortie en première ronde.
Anaheim a marqué plus de buts, a appliqué plus de mises en échec et a travaillé davantage que les récipiendaires du trophée du Président, qui ont été éliminés par une équipe moins bien classée qu'eux au cours de trois des quatre derniers tournois printaniers.
"On doit se débarrasser de cette réputation, a déclaré McLellan. Présentement, certains remettent en question notre caractère. C'est à nous de donner raison à ceux qui se posent ces questions ou de leur prouver qu'ils ont tort."
En attendant, les Sharks sont sur le point de devenir la quatrième formation championne du trophée du Président à être éliminée au premier tour depuis 1986, année où il a été attribué pour la première fois.
Le capitaine des Sharks a marqué un des six buts en quatre matchs de son club, qui n'est plus qu'à une défaite de se faire éliminer après que la formation de la Californie eut connu la meilleure saison de leur histoire.
Avec une autre défaite dans le cinquième match, même leur entraîneur recrue Todd McLellan sait que les Sharks donneraient un argument choc à leurs détracteurs, qui les associent aux Sénateurs d'Ottawa du début des années 2000 comme l'équipe s'écroulant le plus rapidement sous la pression des séries.
Marleau, dont le grand calme peut parfois être interprété comme de l'indifférence, insiste pour dire que les Sharks ne peuvent que continuer à travailler fort et regarder devant.
"Vous apprenez de tout cela et allez de l'avant, a-t-il expliqué en haussant les épaules. On ne peut pas s'apitoyer sur notre sort ou quelque chose du genre. En tant qu'équipe, nous n'avons pas joué notre meilleur hockey et tout le monde doit en donner plus."
Mais après avoir vu la façon dont ont joué les Ducks au cours des quatre premiers matchs, il est difficile d'imaginer que les Sharks ne deviendront pas la huitième formation depuis 1994 à avoir remporté le championnat de leur association à se faire montrer la sortie en première ronde.
Anaheim a marqué plus de buts, a appliqué plus de mises en échec et a travaillé davantage que les récipiendaires du trophée du Président, qui ont été éliminés par une équipe moins bien classée qu'eux au cours de trois des quatre derniers tournois printaniers.
"On doit se débarrasser de cette réputation, a déclaré McLellan. Présentement, certains remettent en question notre caractère. C'est à nous de donner raison à ceux qui se posent ces questions ou de leur prouver qu'ils ont tort."
En attendant, les Sharks sont sur le point de devenir la quatrième formation championne du trophée du Président à être éliminée au premier tour depuis 1986, année où il a été attribué pour la première fois.