Plusieurs joueurs luttent pour cet honneur remis au meilleur marqueur de buts

Nous sommes très loin de l’époque des Wayne Gretzky, Mario Lemieux et Brett Hull, alors que ces trois joueurs prenaient un plaisir fou à remporter le championnat des marqueurs de buts avec une facilité déconcertante.



En effet, en cette saison 2011–2012, il y le meneur Marian Gaborik, des Rangers de New York, qui totalise 21 buts, mais il y a pas moins de quatre autres joueurs qui sont à égalité avec 20 buts chacun, Phil Kessell, des Maple Leafs de Toronto, Jonathan Toews, des Blackhawks de Chicago, Steven Stamkos, du Lightning de Tampa Bay et James Neal, des Penguins de Pittsburgh.

Il faut souligner que Milan Michalek, des Sénateurs d’Ottawa, totalise 19 buts et que Patrick Sharp, des Blackhawks de Chicago, a marqué 18 fois, sans oublier Claude Giroux, des Flyers de Philadelphie, qui totalise 17 buts, lui qui a raté quatre matchs et Thomas Vanek, des Sabres de Buffalo, qui en totalise autant.

Ce classement plus que serré est loin de certaines statistiques des années antérieures, car le record pour la plus forte avance à ce chapitre est de 35 buts, alors que Brett Hull, des Blues de Saint Louis, avait réussi en 1990–1991, un total de 86 buts, devançant trois joueurs qui en avaient réussi 51, Cam Neely, des Bruins de Boston, Theoren Fleury, des Flames de Calgary et Steve Yzerman, des Red Wings de Detroit.

En 1983–1984, Wayne Gretzky, des Oilers d’Edmonton avait réussi 87 buts, 31 de plus que Michel Goulet, des Nordiques de Québec, alors qu’en 1981–1982, alors qu’il avait totalisé un record de 92 buts, Gretzky avait terminé avec une avance de 28 buts, sur Mike Bossy, des Islanders de New York.

Il faut aussi souligner qu’en 1970–1971, Phil Esposito, des Bruins de Boston, avait réussi 76 buts, 25 de plus que son coéquipier Johnny Bucyk.

Depuis qu’il a commencé à être attribué en 1999–2000, il y a eu plusieurs luttes endiablées, dont celle de 2003–2004, alors que trois joueurs avaient terminé à égalité avec 41 buts chacun, Rick Nash, des Blue Jackets de Columbus, Jarome Iginla, des Flames de Calgary et Ilya Kovalchuk, des Thrashers d’Atlanta.

Assisterons-nous à une situation aussi corsée en 2011–2012 ?

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Pas de hockey en Alberta pour longtemps: les Flames et les Oilers seront à l’étranger





On dirait que l’Alberta ne veut pas de hockey sur son territoire durant la période des fêtes !

En effet, après avoir vu les Flames de Calgary quitter pour un voyage de sept matchs, du 23 décembre au 6 janvier, les Oilers d’Edmonton feront de même, disputant sept matchs à l’extérieur, du lundi, 26 décembre au samedi, 7 janvier.

La formation dirigée par Tom Renney va visiter les Canucks de Vancouver, lundi, le Wild du Minnesota, jeudi, les Islanders de New York, samedi, les Blackhawks de Chicago, le 2 janvier, les Sabres de Buffalo, le 3 janvier, les Blues de Saint Louis, le 5 janvier et les Stars de Dallas, le 7 janvier.

Les Oilers reviendront devant leurs partisans le mercredi, 11 janvier, alors qu’ils seront les hôtes des Devils du New Jersey, la même équipe qui aura visité les Flames de Calgary, la veille, le 10 janvier.

C’est possiblement la plus longue période durant laquelle les deux équipes seront absentes de la province simultanément, car cela représente un total de 18 jours consécutifs sans hockey local, du 23 décembre au 9 janvier, les deux équipes ayant disputé leur dernier match à domicile, le 22 décembre et les Flames seront de retour au Pengrowth Saddledome, le 10 janvier, face aux Devils du New Jersey.

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Les Devils du New Jersey ont remporté plus de gains en bris d’égalité qu’en temps régulier !



C’est vraiment une fiche paradoxale que présentent les Devils du New Jersey en cette saison 2011–2012, car ils semblent plus à l’aise pour vaincre leurs adversaires lorsque leurs rencontres se rendent en bris d’égalité !

En effet, la formation dirigée par Peter DeBoer, dont le rendement global est de 19–14-1, a remporté plus de victoires en bris d’égalité (10), qu’en temps régulier (9), sa fiche étant de 10–1 dans les 11 matchs qui se sont rendus en prolongation ou en tirs de barrage, comparativement à un dossier de 9–14 dans les 23 rencontres décidées en temps régulier.

La fiche des Devils est de 2–0 dans leurs deux matchs qui ont pris fin en prolongation et de 8–1 dans les neuf rencontres qui ont nécessité des tirs de barrage, leur seul revers étant celui du 21 octobre, 4 à 3, face aux Sharks de San Jose, à domicile.

Soulignons que l’an dernier, les Devils avaient présenté une fiche de 38–39-5 en 82 matchs, 28–39 dans les 67 matchs qui ont pris fin en temps régulier et 10–5 dans les 15 rencontres qui ont nécessité de la prolongation ou des tirs de barrage.

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