Latendresse blessé, Chara sur le déclin, un duel Penguins-Bruins et les Sharks sont les meneurs...
$content.firstChildCategorie mercredi, 9 juil. 2014. 21:28 lundi, 25 nov. 2013. 21:47Guillaume Latendresse est encore blessé avec les Lions de Zurich en Suisse
Une autre commotion cérébrale pour l’ex-joueur du Canadien de Montréal
Blessé plus souvent qu’à son tour depuis quelques saisons, l’attaquant Guillaume Latendresse, qui connaît des débuts modestes avec les Lions de Zurich, dans la Ligue de Suisse, est encore sur la liste des joueurs blessés !
En effet, l’ex-joueur du Canadien de Montréal, du Wild du Minnesota et des Sénateurs d’Ottawa, qui n’a pu convaincre les dirigeants des Coyotes de Phoenix, de lui faire signer un contrat lors du camp d’entraînement, présente un dossier de 3–3-6 avec un différentiel de moins un et 20 minutes de punition lors de ses 12 premiers matchs avec les Lions de Zurich, lui qui a raté 14 des 26 rencontres de l’équipe.
On sait qu’en raison de plusieurs blessures et de commotions cérébrales, Latendresse, qui aura 27 ans le 24 mai prochain, avait été sur la liste des blessés souvent et longtemps, n’ayant disputé que 54 matchs sur une possibilité de 212 lors des trois dernières saisons, 11 sur 82 en 2010–2011, 16 sur 82 en 2011–2012 et 27 sur 48 en 2012–2013.
Lors de son passage dans la LNH, il a eu un rendement global de 87–60-147 en 341 rencontres, dont un dossier de 6–4-10 en 27 matchs l’an dernier.
Suite à la transaction, qui l’avait envoyé au Wild du Minnesota, en retour de Benoit Pouliot, le 23 novembre 2009, Latendresse, qui avait un dossier de 2–1-3 en 23 matchs avec le Canadien avant cette transaction, avait explosé avec le Wild, affichant un dossier de 25–12-37 en 55 matchs et il semblait enfin sur la bonne voie de répondre aux attentes, mais les blessures l’ont vraiment ralenti.
Le défenseur Marc-André Bergeron va bien avec cette formation de la Suisse
Soulignons que le défenseur Marc-André Bergeron, qui a roulé sa bosse un peu partout dans la LNH, ayant évolué pour sept équipes différentes, dont le Canadien de Montréal en 2009–2010, va bien avec cette formation, lui dont le rendement est de 4–12-16 avec un excellent différentiel de plus 10, en 26 rencontres.
En passant, les Lions de Zurich ont une fiche de 14–0-6–6 pour 48 points en 26 matchs (14 gains en temps régulier, aucun gain en bris d’égalité, six défaites en temps régulier et sis revers en bris d’égalité), à égalité avec Davos (48 points, mais en 25 matchs), au 2e rang du classement général, seulement quatre points derrière Fribourg, qui a récolté 52 points, en 25 matchs.
Dans cette ligue, on accorde trois points pour un gain en temps régulier, deux points pour un gain en prolongation et un point pour un revers en bris d’égalité.
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À l’aube de ses 37 ans, Zdeno Chara, des Bruins de Boston, semble avoir perdu de son lustre
Il a un différentiel de moins six lors de ses 33 derniers matchs réguliers
Même s’il ne faut pas pousser le bouton de panique, le rendement du défenseur Zdeno Chara, des Bruins de Boston est un peu inquiétant depuis la fin de la dernière saison.
En effet, le grand arrière-garde de 6’09’’, qui commence à se faire vieux (il aura 37 ans le 18 mars prochain), semble plus vulnérable que par le passé, car son rendement n’est pas très reluisant, lui qui affiche un dossier de 4–4-8 (ses quatre buts ayant été en avantage numérique) avec un différentiel négatif de moins deux lors de ses 23 premiers matchs de la saison, seul défenseur des Bruins à afficher une fiche négative à ce chapitre.
Pis, en ajoutant son rendement de la fin de la dernière saison, c’est un peu inquiétant, car c’est un dossier de 5–6-11 avec un différentiel négatif de moins six qu’il présente lors de ses 33 derniers matchs réguliers, lui qui après avoir eu une fiche de 6–10-16 avec un différentiel positif de plus 18, lors de ses 38 premiers matchs, avait terminé la saison avec un rendement de 1–2-3 (son but avait été en avantage numérique) avec une fiche négative de moins quatre lors de ses 10 dernières rencontres régulières, du 10 au 28 avril 2013.
C’est donc dire que ses cinq derniers buts ont été réussis pendant l’avantage numérique, lui dont le dernier filet à forces égales remonte aussi loin que le 14 mars 2013, dans un gain de 4–1, face aux Panthers de la Floride, au TD Garden, une disette de 46 matchs, les 23 derniers de 2012–2013 et les 23 premiers de l’actuelle campagne.
Soulignons qu’il avait également flanché lors des trois derniers matchs de la finale de la Coupe Stanley, car il avait terminé avec une fiche négative de moins six lors des trois rencontres remportées par les Blackhawks de Chicago, ces derniers lui infligeant un moins trois lors du 19 juin, un moins deux lors du match du 22 juin et un moins un, lors de la 6e partie, du 24 juin, un gain de 3–2 de la formation de Joel Quenneville.
Avant cette dégringolade, il affichait un dossier de plus 13 lors de ses 19 premiers matchs éliminatoires et les Bruins, qui menaient 2–1 après les trois premiers matchs de la grande finale, s’étaient inclinés en six matchs (2–4).
En 2010–2011, Chara avait présenté un différentiel de plus 33 (le plus élevé de la LNH) en 81 matchs et aussi un plus 33, lors de ses 79 matchs de la saison 2011–2012, lui qui en carrière affiche un rendement de plus 161 en 1078 rencontres.
Son temps d’utilisation qui était de 24:56 lors de ses 48 matchs de la saison 2012–2013, est passé à 25:14 lors de ses 23 premiers matchs cette saison.
Chara, qui avait remporté le Trophé James Norris (défenseur par excellence) lors de la saison 2008–2009 et qui a été nommé six fois sur les équipes d’étoiles (dont deux fois sur la première), se semble pas se diriger vers ces honneurs cette saison.
Il a un beau défi à relever, car il sera confronté aux puissants Penguins de Pittsburgh, une équipe qui a vaincu les Bruins 3–2, lors du match du 30 octobre dernier, au CONSOL Energy Center.
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Duel entre les Penguins de Pittsburgh et les Bruins de Boston ...
Les Penguins gagnent en saison régulière et les Bruins en éliminatoires !
Depuis le début de l’an dernier, on a l’impression que les duels entre les Penguins de Pittsburgh et les Bruins de Boston vont à l’avantage d’une équipe en saison régulière et à l’autre, dans les séries de fin de saison !
En effet, lors des huit derniers matchs entre les deux formations, les Penguins ont un un dossier parfait de 4–0-0 dans les quatre matchs réguliers (dont 1–0-0 cette saison), alors que les Bruins ont été 4–0-0 lors des quatre matchs éliminatoires, disputés lors de la finale de l’Association de l’Est, au printemps dernier.
En ajoutant la fin de la saison 2011–2012, alors que les Penguins avaient gagné les trois derniers affrontements réguliers, c’est une fiche de 7–0-0 qu’ils affichent lors des sept derniers matchs en saison régulière, face aux Bruins, le dernier gain de ces derniers remontant au 5 décembre 2011, 3–1, au CONSOL Energy Center.
Soulignons que la formation de Claude Julien avait humilié celle de Dan Bylsma, en la balayant en quatre matchs (4–0) lors de la finale de l’Association de l’Est, au début du mois de juin dernier, la limitant à seulement deux maigres buts dans les quatre parties !
C’est là que nous avions constaté que les résultats de la saison régulière ne voulaient plus rien dire lorsque débutaient les éliminatoires.
Cette saison, il y a encore trois matchs entre les deux équipes et suite au match de ce soir, le 3e et dernier duel aura lieu à une date aussi hâtive que le 7 décembre, encore au TD Garden et soulignons que ce match sera seulement le 29e des Bruins et qu’il faudra attendre les prochaines éliminatoires pour avoir la possibilité de revoir ces deux formations s’affronter.
Les Bruins ont une fiche de 6–0-2 dans leurs huit matchs disputés à domicile, alors que les Penguins ont un rendement de 1–4-0 lors de leurs cinq dernières rencontres à l’étranger.
LES QUATRE MATCHS RÉGULIERS ENTRE LES BRUINS ET LES PENGUINS EN 2011-2012
5 décembre 2011-Boston 3 à Pittsburgh 1 (dernier gain des Bruins en saison régulière)
4 février 2012-Pittsburgh 2 à Boston 1
11 mars 2012-Boston 2 à Pittsburgh 5
3 avril 2012-Pittsburgh 5 à Boston 3
LES TROIS MATCHS RÉGULIERS ENTRE LES BRUINS ET LES PENGUINS EN 2012-2013
12 mars 2013-Boston 2 à Pittsburgh 3
17 mars 2013-Boston 1 à Pittsburgh 2
20 avril 2013-Pittsburgh 3 à Boston 2
LES TROIS MATCHS RÉGULIERS ENTRE LES BRUINS ET LES PENGUINS EN 2013-2014
30 octobre 2013-Boston 2 à Pittsburgh 3
25 novembre 2013-Pittsburgh à Boston (19h)
7 décmbre 2013-Pittsburgh à Boston (19h)
LES QUATRE RENCONTRES ÉLIMINATOIRES ENTRE LES DEUX ÉQUIPES EN 2012-2013
1 juin 2013-Boston 3 à Pittsburgh 0
3 juin 2013-Boston 6 à Pittsburgh 1
5 juin 2013-Pittsburgh 1 à Boston 2 (pro.) (35 :19)
7 juin 2013-Pittsburgh 0 à Boston 1
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Les Sharks de San Jose ont eu le plus d’avantages numériques et le moins de désavantages !
Ils ont un différentiel de plus 35 sur ces deux chapitres
Actuellement, les Sharks de San Jose sont l’équipe qui présente le meilleur différentiel de la LNH pour les statistiques sur les avantages numériques et les désavantages numériques.
En effet, la formation dirigée par Todd McLellan, dont la fiche est de 15–3-5 en 23 matchs, présente un différentiel de plus 35, ayant obtenu 97 avantages numériques et ayant été victime de 62 désavantages numériques, deux sommets dans la LNH cette saison.
Les Capitals de Washington ont reçu 94 avantages numériques en 24 rencontres, alors que le Canadien de Montréal a bénéficié de 92 supériorités en 24 matchs.
Les Blackhawks de Chicago ont évolué 69 fois en désavantage numérique en 24 matchs, alors que cinq formations ont été dans ces circonstances en 70 occasions.
Soulignons que les Sharks ont eu un rendement ordinaire de 101,85 sur 200,00, ayant obtenu une efficacité de 19,59% sur leur jeu de puissance, marquant 19 buts en 97 avantages, alors que leur unité défensive a eu un rendement de 82,26%, concédant 11 buts en 62 infériorités numériques.
Les Sénateurs d’Ottawa ont le pire différentiel à ce chapitre
Dans l’autre extrême, ce sont les Sénateurs d’Ottawa, qui ont le pire différentiel sur ces deux chapitres, étant à moins 27, ayant obtenu 80 avantages numériques contre 107 infériorités numériques, au dernier rang du circuit.
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