Le Canadien doit marquer le premier but pour gagner régulièrement

Il a remporté plus de 75% de ses victoires en marquant le premier filet

Avec l’attaque ordinaire qu’il possède, le Canadien de Montréal doit presque marquer le premier but d’une rencontre pour espérer triompher et les statistiques le prouvent hors de tout doute.

En effet, la formation dirigée par Michel Therrien, dont le dossier est de 25–15-5 en 45 matchs, ce qui est dans l’ensemble excellent, a connu beaucoup plus de succès lorsqu’elle est parvenue à inscrire le premier but d’une rencontre, car elle a remporté 76,00% de ses victoires (19 sur 25) dans ces circonstances.

Le Tricolore affiche un rendement de 19–2-2 dans les 23 matchs où il a réussi le premier but, une moyenne de réussite de ,870, comparativement à un pitoyable rendement de 6–13-3, une moyenne de ,341 dans les 22 rencontres où il a concédé le premier filet à ses adversaires.

Pis, lors des 14 derniers matchs disputés depuis le 10 décembre, le CH, qui est 6–6-2 lors de cette période, a concédé le premier but à ses adversaires neuf fois et il a eu un rendement de 2–6-1 et un dossier de 4–0-1 dans les cinq rencontres où il a réussi à inscrire cet important premier filet.

Le Canadien a réussi à marquer le premier but dans 23 de ses 45 matchs et au Centre Bell, il a une superbe fiche de 10–1-0 dans les 11 matchs où il a réussi le premier but et de 3–6-3 dans les 12 rencontres où le contraire s’est produit.

À l’étranger, c’est un peu la même chose, car le CH est 9–1-2 dans les 12 matchs où il a réussi le premier but et de 3–7-0 dans les 10 rencontres où ses adversaires ont réalisé cet exploit.

Il faut souligner que le Canadien a un dossier passablement équilibré, car il a un rendement de 13–7-3 (moyenne de ,630) dans ses 23 matchs à domicile et de 12–8-4 (,636) dans 22 rencontres disputées à l’étranger.

Ce fut la même chose lors de la saison 2012-2013

La fiche du Canadien est un peu semblable à celle de l’an dernier, car en 48 matchs, il avait réussi le premier but en 29 occasions (60,42%) et il avait présenté un dossier de 21–5-3 (moyenne de ,776) dans ces circonstances, alors qu’il avait eu un rendement de 8–9-2 (moyenne de ,474) dans les 19 rencontres où le contraire s’était produit.

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John Tavares, des Islanders de New York est explosif depuis six matchs

Le superbe attaquant n’est pas un cadeau pour ses adversaires depuis Noël !

Après avoir été ordinaire durant une période d’environ un mois, un peu dire que l’attaquant John Tavares, des Islanders de New York semble se payer des cadeaux offensifs répétitifs depuis Noël.

En effet, auteur du 29 novembre au 23 décembre, d’un dossier ordinaire de 2–8-10 avec un différentiel de moins quatre en 13 rencontres, il a littéralement explosé depuis environ deux semaines, affichant un rendement extraordinaire de 7–8-15 avec un différentiel de plus huit lors de ses six dernières rencontres disputées depuis le 29 décembre, lui qui avait raté le match du 28 décembre, face aux Devils du New Jersey.

En ajoutant sa fiche du 23 décembre, il a récolté au moins un point dans chacun de ses sept derniers matchs, affichant un rendement de 7–9-16 avec un différentiel de plus neuf lors des sept parties et son équipe a eu un rendement de 6–1-0 lors des sept rencontres où il a été en uniforme.

Il a connu trois excellents matchs lors de cette séquence, récoltant quatre points (2–2-4), lors du gain de 5–3, face aux Bruins de Boston, au TD Garden, le 31 décembre, un sommet personnel de cinq points (3–2-5) lors du gain de 7–3, face aux Stars de Dallas, au Nassau Coliseum, lundi soir et aussi trois points (0–3-3), dans la victoire de 5–2, contre les Maple Leafs de Toronto, au Centre Air Canada, lors du dernier match de l’équipe, mercredi soir.

John Tavares, qui fut le premier choix des Islanders de New York et aussi le premier choix au repêchage universel de 2009, a eu 23 ans le 20 septembre dernier et se dirige vers la meilleure saison de sa carrière, lui qui affiche un rendement global de 20–34-54 avec un différentiel de plus deux en 44 rencontres et en maintenant le même rythme, il terminerait la présente campagne avec une fiche de 37–63-100, ce qui effacerait ses trois marques personnelles qui ont été réalisées en 2011–2012, alors qu’il avait eu un rendement de 31–50-81 en 82 rencontres.

Il a une fiche à vie de 132–171-303 avec un piètre différentiel de moins 37 en 335 rencontres.

En parlant des Islanders de New York, il vaut mieux éviter de visiter le banc des punitions contre eux actuellement, car ils sont tout simplement meurtriers sur le jeu de puissance, eux ont réussi pas moins de neuf buts lors de leurs 19 derniers avantages numériques, dans leurs cinq dernières rencontres, une moyenne de réussite de près de 50,00% (47,47%).

Cette moyenne d’efficacité est plus de trois fois plus élevée que celle de leurs 40 premiers matchs (15,08%), alors qu’ils avaient réussi seulement 19 buts lors de leurs 126 premiers avantages numériques.

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Dominants contre l’Avalanche, quelle volte-face pour les Islanders de New York !

Après 10 défaites de suite, l’équipe a retrouvé le chemin du succès

Après avoir connu un passage à vie affreux, les Islanders de New York semblent avoir retrouvé un peu de leur lustre lors des récentes semaines.

En effet, la formation dirigée par Jack Capuano, qui avait connu du 19 novembre au 9 décembre, une misérable séquence de 0–8-2 en 10 matchs, a rebondi avec un bon dossier de 8–4-2 lors de ses 14 dernières rencontres disputées depuis le 10 décembre.

À l’étranger, ce fut pareil, une séquence de 0-10-0 et une volte-face depuis un mois ...

On peut dire que les séquences de 10 défaites ont été nombreuses pour les Islanders, car ce fut la même situation à l’étranger, car après avoir présenté un pitoyable dossier de 0–10-0 lors des 10 rencontres disputées du 5 novembre au 9 décembre, ils ont un excellent dossier de 6–1-0 lors de leurs sept dernières parties sur les patinoires adverses, depuis le 10 décembre.

L’équipe qui semblait s’éloigner des séries éliminatoires, se retrouve avec un retard important, mais pas insurmontable de huit points sur l’équipe qui occupe la 8e position de l’Association de l’Est.

Les Islanders forment l’une des meilleures équipes depuis deux semaines, affichant un dossier de 5–1-0 lors de leurs six dernières rencontres.

Soulignons que les Islanders qui disputent ce soir, face à l’Avalanche du Colorado, au Pepsi Center, le 2e match d’une série de six de suite à l’étranger et l’équipe a une fiche parfaite de 5–0-0 lors de ses cinq dernières parties à l’extérieur, ayant gagné contre les Rangers de New York (5–3), les Red Wings de Detroit (3–0), le Wild du Minnesota (5–4), les Bruins de Boston (5–3) et les Maple Leafs de Toronto (5–3), lors de leur match de mardi soir.

Suite à cette rencontre face à l’Avalanche du Colorado, les Islanders visiteront les Stars de Dallas, dimanche, les Panthers de la Floride, mardi, le Lightning de Tampa Bay, jeudi et les Flyers de Philadelphie, samedi, le 18 janvier.

S’ils veulent revenir dans la lutte pour une place dans les éliminatoires, les Islanders doivent continuer à triompher sans arrêt, car lorsque ce voyage sera terminé, ils auront une difficile séquence contre plusieurs bonnes équipes, dont les Flyers de Philadelphie, les Penguins de Pittsburgh, les Blues de St. Louis, les Bruins de Boston et pas moins de trois matchs contre les Rangers de New York, en 11 jours, les 21, 29 et 31 janvier.

Suite à cette série de trois matchs contre leurs cousins de New York, il est difficile de croire que la série annuelle de cinq matchs entre les Islanders et les Rangers sera terminée, alors que nous ne serons même pas à la pause des Jeux Olympiques !

Une autre séquence de 10 matchs : les Islanders ont eu beaucoup de succès contre l’Avalanche depuis 2001

Pour continuer dans la même lignée des séries de 10 matchs pour les Islanders, le match de ce soir est le premier entre les deux équipes depuis le 10 novembre 2011 et soulignons que les Islanders semblent avoir le numéro de l’Avalanche, car ils ont un excellent dossier de 7–0-1 (2) (sept gains, une nulle et deux revers en bris d’égalité) lors des 10 derniers affrontements (dont 2–0-1 (2) en cinq matchs à Denver) et leur dernier revers en temps régulier remonte aussi loin qu’au 16 novembre 2001, 1–0 au Pepsi Center de Denver, alors que le gardien Patrick Roy avait réussi 31 arrêts, pour vaincre Chris Osgood.

En ce 10 janvier 2014, Patrick Roy est encore avec l’Avalanche, mais il est le gardien, derrière le banc de l’équipe …

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