Depuis plusieurs matchs, le Canadien de Montréal semble faire preuve de beaucoup plus de discipline, écopant de peu de pénalités.

En effet, la troupe de Michel Therrien, qui avait évolué 78 fois en désavantage numérique lors de ses 19 premiers matchs, une moyenne élevée de 4,11 par rencontre, n’a été victime que de 11 infériorités numériques lors de ses sept dernières rencontres disputées depuis le 18 novembre dernier, une moyenne de seulement 1,57 par partie.

Lors de cette séquence, le Tricolore a connu un match parfait à ce chapitre, ne concédant aucun avantage aux Blues de St Louis dans un gain de 4-1, le 20 novembre, et il a évolué en désavantage une seule fois dans trois autres rencontres, soit deux fois dans deux rencontres et une fois en quatre occasions, lors du revers de 2-1 face aux Sabres de Buffalo au First Niagara Center vendredi dernier.

Soulignons que cette discipline a débuté tout de suite après que le Canadien eut concédé six avantages numériques aux Red Wings de Detroit, dans un gain de 4-1, le 16 novembre dernier, au Joe Louis Arena.

Le Canadien, faute d’avoir du succès en avantage numérique (efficacité de 14,29 %, au 24e rang), fait belle figure en désavantage numérique, affichant une efficacité de 84,27 %, au 8e rang du circuit.

Malgré cette belle discipline, le Tricolore affiche un dossier ordinaire de 3-3-1 lors de ses sept dernières rencontres.

Les Sénateurs d’Ottawa ont perdu leur rythme depuis près d’un mois

Après un excellent début de saison, les Sénateurs d’Ottawa éprouvent des difficultés à remporter des victoires depuis près d’un mois.

En effet, la troupe dirigée par Paul MacLean, qui affichait un superbe rendement de 7-3-3 pour 17 points après ses 13 premiers matchs, n’a pu faire mieux qu’un piètre dossier de 3-6-1 lors de ses 10 dernières rencontres disputées depuis le 9 novembre dernier.

C’est la défense qui a été beaucoup moins efficace lors de cette dégringolade, car après avoir concédé seulement 29 buts lors des 13 premières rencontres, une moyenne de 2,23 buts par match, elle a été victime de 34 buts lors des 10 dernières parties, une haute moyenne de
3,40 par rencontre.

L’attaque a été quasi-identique, car elle a marqué 26 buts lors des 10 derniers matchs, une moyenne de 2,60 par rencontre comparativement à une moyenne de 2,69 (35 buts) lors des 13 premiers matchs.

Les Sénateurs tenteront de retrouver le chemin du succès en visitant ce soir, les puissants Islanders de New York, au Nassau Coliseum, une équipe qui a une fiche de 11-1-1 lors des 13 derniers matchs.

Ils n’auront pas la tâche facile lors de leurs six prochains matchs, car ils vont affronter les Islanders de New York en deux occasions et par la suite, les Penguins de Pittsburgh, les Canucks de Vancouver, les Kings de Los Angeles et les Bruins de Boston.

Mike Cammalleri produit avec les Devils du New Jersey

Si plusieurs anciens joueurs du Canadien de Montréal éprouvent des difficultés, ce n’est pas le cas de Mike Cammalleri, des Devils du New Jersey.

En effet, l’ex-joueur des Kings de Los Angeles, du Canadien de Montréal et des Flames de Calgary, présente un dossier de 10-4-14 avec un différentiel de plus trois en 18 rencontres et malgré le fait qu’il ait raté six des 24 rencontres, il est au sommet des buteurs de la formation, quatre de plus que Adam Henrique et cinq de plus que Tuomo Ruutu.

On ne peut pas en dire autant de Michael Ryder, dont le rendement de
4-8-12 avec un différentiel de plus un en 24 rencontres, étant toujours à la recherche de son premier but en avantage numérique cette saison.

Malgré le brio de Cammalleri, la troupe de Peter DeBoer est dans une séquence difficile, car affichant un dossier de 6-3-2 après ses 11 premiers matchs, elle n’a pu faire mieux qu’une fiche de 3-8-2 lors de ses 13 dernières rencontres disputées depuis le 4 novembre dernier.

Les Devils, qui ont un dossier de 0-2-2 lors de leurs quatre derniers matchs, tenteront de retrouver le chemin de la victoire en visitant rien de moins que les puissants Penguins de Pittsburgh, au Consol Energy Center.

Les Sharks de San Jose ont vraiment le numéro des Flyers de Philadelphie

On peut dire que les choses ont changé pour les Sharks de San Jose lorsqu’ils affrontent les Flyers de Philadelphie, car c’est vraiment une volte-face peu ordinaire qu’ils connaissent depuis plusieurs saisons.

La formation de Todd McLellan, qui n’avait pu faire mieux qu’un rendement de 3-13-2 (0) lors des 18 premiers matchs contre cette équipe, affiche un superbe dossier quasi parfait de 12-1-2 (0), dont trois gains en bris d’égalité, lors des 15 derniers affrontements.

Cela fait un rendement de 15-14-4 (0) en 33 matchs réguliers contre l’équipe de Craig Berube, incluant un dossier de 7-8-2 (0) en 17 matchs à domicile et de 8-6-2 (0) lors des 16 rencontres disputées à Philadelphie, un endroit où les Sharks sont invaincus lors des sept derniers matchs, ayant un rendement de 6-0-1 (0), ayant subi leur dernier revers (4-3), le 21 décembre 2000.

Ce duel est le premier de la présente saison et le deuxième affrontement entre ces deux formations aura lieu à une date aussi tardive que le 28 mars 2015, au Wells Fargo Center.

Les Sharks disputent le 4e match d’une série de cinq de suite à domicile, eux qui sont 1-1-2 lors des quatre premières rencontres, alors que les Flyers disputent le 2e match d’une série de cinq de suite à l’étranger, ayant subi un revers de 5-2, face aux Rangers de New York, samedi, au Madison Square Garden, lors de la première rencontre.

Après ce match, les Flyers vont visiter les Ducks d’Anaheim mercredi, les Kings de Los Angeles samedi et termineront avec une visite chez les Blue Jackets de Columbus, mardi prochain.

Ça va très mal pour les Flyers de Philadelphie

En parlant des Flyers, on constate qu’ils sont irréguliers et qu’actuellement ils sont dans une période difficile.

En effet, la troupe de Craig Berube, qui affichait un dossier de 0-2-2 après ses quatre premiers matchs pour rebondir avec une fiche de 7-3-0 lors de ses 10 matchs suivants, n’a pu faire mieux qu’un rendement de
1-7-1 lors de ses neuf dernières rencontres disputées depuis le 14 novembre dernier.

Son seul gain lors de cette période a été celui du 22 novembre, 4-2, face aux faibles Blue Jackets de Columbus, au Wells Fargo Center.

Pis, les Flyers sont 0-3-1 lors de leurs quatre derniers matchs, n’ayant marqué que quatre buts, contre 14 pour leurs adversaires, ayant été blanchis deux fois dans cette séquence.

À l’étranger, c’est catastrophique, car après avoir présenté une fiche de 2-2-0 lors de leurs quatre premiers matchs, ils sont 0-6-1 lors de leurs sept dernières parties disputées sur les patinoires adverses et leur dernier gain remonte au 22 octobre, 5-3, face aux puissants Penguins de Pittsburgh, au Consol Energy Center.

En effet, la troupe de Michel Therrien, qui avait évolué 78 fois en désavantage numérique lors de ses 19 premiers matchs, une moyenne élevée de 4,11 par rencontre, n’a été victime que de 11 infériorités numériques lors de ses sept dernières rencontres disputées depuis le
18 novembre dernier, une moyenne de seulement 1,57 par partie.

Lors de cette séquence, le Tricolore a connu un match parfait à ce chapitre, ne concédant aucun avantage dans un gain de 4-1, face aux Blues de St Louis, le 20 novembre et il a évolué en désavantage une seule fois dans trois autres rencontres, deux fois dans deux rencontres et une fois en quatre occasions, lors du revers de 2-1, face aux Sabres de Buffalo, au First Niagara Center vendredi dernier.

Soulignons que cette discipline a débuté tout de suite après que le Canadien eut concédé six avantages numériques dans un gain de 4-1, le
16 novembre dernier, face aux Red Wings de Detroit, au Joe Louis Arena.

Le Canadien, faute d’avoir du succès en avantage numérique (efficacité de 14,29 %, au 24e rang), fait belle figure en désavantage numérique, affichant une efficacité de 84,27 %, au 8e rang du circuit.

Malgré cette belle discipline, le Tricolore affiche un dossier ordinaire de 3-3-1 lors de ses sept dernières rencontres.