Le Canadien et les Nordiques lors de la saison écourtée de 1994-1995 ...
$content.firstChildCategorie mercredi, 9 juil. 2014. 20:49 mardi, 8 janv. 2013. 03:59LE RENDEMENT DES ÉQUIPES LORS DES SAISONS 1993-1994 ET 1994-1995
Le Canadien de Montréal avait connu l’une des pires régressions
Les Rangers de New York avaient subi la pire baisse du circuit
En comparaison avec la saison 1993–1994, il y avait eu 13 formations qui ont progressé et 13 autres qui avaient régressé.
Les Rangers de New York, qui avaient remporté la coupe Stanley en 1993–1994, avaient connu la plus forte régression, passant d’une fiche de 52–24-8 (moyenne de ,667), la meilleure du circuit en 84 matchs en 1993–1994, à une fiche perdante de 22–23-3 (moyenne de ,490) lors des 48 matchs de la saison 1994–1995.
Les Stars de Dallas étaient passés d’une moyenne de ,577 à ,438 (moins ,139), les Islanders de New York, d’une moyenne de ,500 à ,365 (moins ,135), alors que le Canadien de Montréal, qui avait gagné la coupe Stanley en 1992–1993 et avait été éliminé en première ronde en 1993–1994, avait présenté une fiche de 41–29-14 pour une moyenne de ,571 en 84 matchs en 1993–1994 et n’avait pu faire mieux qu’une fiche de 18–23-7 (moyenne de ,448) en 48 matchs en 1994–1995, la quatrième plus forte détérioration (moins ,123) du circuit à ce chapitre.
Le Tricolore avait ainsi raté les éliminatoires pour la première fois depuis la saison 1969–1970.
Nous verrons ce que cette saison écourtée réservera au Canadien, qui a terminé au dernier rang de l’Association de l’Est et au 28e rang du circuit l’an dernier, ratant les éliminatoires.
Les Nordiques de Québec avaient connu la plus forte amélioration
Les Nordiques de Québec, qui en étaient à leur dernière saison dans la vielle capitale, avaient connu la plus forte amélioration des 26 formations, car après avoir été une forte déception en 1993–1994, ne pouvant faire mieux qu’un rendement de 34–42-8 (moyenne de ,452) en 84 matchs, ils avaient affiché un rendement de 30–13-5 (moyenne de ,677) en 48 matchs en 1994–1995, une amélioration de ,225, de loin la plus élevée, devant les Flyers de Philadelphie (plus ,149), qui étaient passés d’une moyenne de ,476 à ,625 et les Red Wings de Detroit (,134), qui avaient grimpé de ,595 à ,729, lors de la même période.
Le Canadien ne déménagera pas, mais les Nordiques pourraient-ils revenir ?
Pour continuer sur la présente saison écourtée, on sait que le Canadien de Montréal ne se retrouvera pas dans une autre ville en 2013–2014, mais pourrions-nous voir une équipe déménager à Québec lors des prochaines années ?
Il ne faut rien exclure, car contrairement à la situation qui prévalait en 1994–1995, les données ont beaucoup changé en 2013 et avec la valeur du dollar canadien et le plafond salarial, certaines équipes qui ont des marchés fragiles, pourraient être tentées de vendre leur entreprise et ainsi ouvrir la possibilité à d‘autres villes, dont Québec, Kansas City, Markham et Seattle que d‘accueillir ces formations.
L‘avenir nous donnera la réponse à cette question.
Voici les comparaisons sur la fiche des 26 équipes de la saison 1993–1994 et 1994–1995.
LES 13 ÉQUIPES QUI ONT PROGRESSÉ
Nordiques de Québec (plus ,225)
1993–1994 (84–34-42–8) (,452)
1994–1995 (48–30-13–5) (,677)
Flyers de Philadelphie (plus ,149)
1993–1994 (84–35-39–10) (,476)
1994–1995 (48–28-16–4) (,625)
Red Wings de Detroit (plus ,134)
1993–1994 (84–46-30–8) (,595)
1994–1995 (48–33-11–4) (,729)
Blues de St. Louis (plus ,093)
1993–1994 (84–40-33–11) (,542)
1994–1995 (48–28-15–5) (,635)
Whalers de Hartford (plus ,073)
1993–1994 (84–27-48–9) (,375)
1994–1995 (48–19-24–5) (,448)
Jets (1) de Winnipeg (plus ,067)
1993–1994 (84–24-51–9) (,339)
1994–1995 (48–16-25–7) (,406)
Blackhawks de Chicago (plus ,034)
1993–1994 (84–39-36–9) (,518)
1994–1995 (48–24-19–5) (,552)
Kings de Los Angeles (plus ,034)
1993–1994 (84–27-45–12) (,393)
1994–1995 (48–16-23–9) (,427)
Penguins de Pittsburgh (plus ,034)
1993–1994 (84–44-27–13) (,601)
1994–1995 (48–29-16–3) (,635)
Sénateurs d’Ottawa (plus ,020)
1993–1994 (84–14-61–9) (,220)
1994–1995 (48–9-34–5) (,240)
Capitals de Washington (plus ,018)
1993–1994 (84–39-35–10) (,524)
1994–1995 (48–22-18–8) (,542)
Bruins de Boston (plus ,017)
1993–1994 (84–42-19–13) (,577)
1994–1995 (48–27-18–3) (,594)
Oilers d’Edmonton (plus ,015)
1993–1994 (84–25-45–14) (,381)
1994–1995 (48–17-27–4) (,396)
LES 13 ÉQUIPES QUI ONT RÉGRESSÉ
Flames de Calgary (moins ,004)
1993–1994 (84–42-29–13) (,577)
1994–1995 (48–24-17–7) (,573)
Canucks de Vancouver (moins ,006)
1993–1994 (84–41-40–3) (,506)
1994–1995 (48–18-18–12) (,500)
Panthers de la Floride (moins ,015)
1993–1994 (84–33-34–17) (,494)
1994–1995 (48–20-22–6) (,479)
Sabres de Buffalo (moins ,034)
1993–1994 (84–43-32–9) (,565)
1994–1995 (48–22-19–7) (,531)
Mighty Ducks d’Anaheim (moins ,038)
1993–1994 (84–33-46–5) (,423)
1994–1995 (48–16-27–5) (,385)
Lightning de Tampa Bay (moins ,038)
1993–1994 (84–30-43–11) (,423)
1994–1995 (48–17-28–3) (,385)
Sharks de San Jose (moins ,050)
1993–1994 (84–33-35–16) (,488)
1994–1995 (48–19-25–4) (,438)
Maple Leafs de Toronto (moins ,062)
1993–1994 (84–43-29–12) (,583)
1994–1995 (48–21-19–8) (,521)
Devils du New Jersey (moins ,089)
1993–1994 (84–47-25–12) (,631)
1994–1995 (48–22-18–8) (,542)
Canadien de Montréal (moins ,123)
1993–1994 (84–41-29–14) (,571)
1994–1995 (48–18-23–7) (,448)
Islanders de New York (moins ,135)
1993–1994 (84–36-36–12) (,500)
1994–1995 (48–15-28–5) (,365)
Stars de Dallas (moins ,139)
1993–1994 (84–42-19–13) (,577)
1994–1995 (48–17-23–8) (,438)
Rangers de New York (moins ,177)
1993–1994 (84–52-24–8) (,667)
1994–1995 (48–22-23–3) (,490)
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