Le Canadien de Montréal est vraiment roi contre les Kings de Los Angeles

Le Tricolore a une moyenne de victoires-défaites de ,726 à vie contre cette équipe

Le Canadien de Montréal a toujours du beaucoup de succès contre les Kings de Los Angeles depuis l’entrée de ces derniers dans la LNH en 1967–1968.



En effet, en 135 matchs réguliers, le CH présente un dossier de 88–27-20 (0) pour 196 points, une moyenne d’efficacité de ,726, ce qui est vraiment irrésistible.

Le Tricolore a eu un rendement de 40–19-9 (0) pour 89 points en 68 matchs (moyenne de ,654, ce qui est excellent pour un rendement à l’étranger), sur la patinoire des Kings et un extraordinaire dossier de 48–8-11 (0) pour 107 points en 67 matchs à Montréal, une moyenne de réussite de ,799, ne perdant que huit fois en 46 années.

Encore plus, lors des 13 derniers matchs disputés à Montréal, le Canadien a un rendement de 12–1-0 et son seul revers remonte au 11 décembre 1999, 4–2 dans un match où les Kings avaient pris une avance de 3–0 après deux périodes et après avoir vu le CH marquer deux buts rapides au début de la troisième période (Jim Cummins à 1:34 et Sergei Zholtok à 2:50), avaient tenu le coup avant de voir Brad Chartrand réussir son 2e filet du match, à 18:45 de ce dernier vingt.

Le gardien Jamie Storr avait été crédité de la victoire, lui qui avait reçu 27 tirs, dont un lancer de punition, face à Martin Rucinsky.

Pour le Canadien, les deux gardiens avaient été utilisés, Jeff Hackett, le perdant, avait concédé trois buts sur 14 tirs et José Théodore avait alloué un but sur neuf lancers, ce dernier prenant la relève après le 3e but des Kings, celui de Brad Chartrand (son 1er du match), à 8:49 de la 2e période.

Cette victoire dans le calendrier régulier, est la seule des Kings sur la patinoire du Canadien en 23 ans, car auparavant le précédent gain (4–2) remontait au 24 novembre 1990.

Le duel de ce mardi opposera deux équipes qui vont bien, les Kings ayant un dossier de 3–0-0 lors de leurs trois derniers matchs et de 8–1-3 lors de leurs 12 derniers, alors que le Canadien est 5–0-0 lors de ses cinq dernières parties et 9–0-1 lors de ses 10 dernières.

Soulignons que les Kings ont une fiche de 5–0-2 lors de leurs sept derniers matchs à l’étranger, ayant perdu pour la dernière fois en temps régulier le 29 octobre, 3–1, contre les Coyotes de Phoenix.

LES 15 DERNIERS MATCHS DES KINGS DE LOS ANGELES À MONTRÉAL

24 novembre 1990-Los Angeles 4 à Montréal 2

10 mars 1991-Los Angeles 4 à Montréal 4 (pro.)

14 mars 1992-Los Angeles 2 à Montréal 5

3 février 1993-Los Angeles 2 à Montréal 7

27 novembre 1993-Los Angeles 0 à Montréal 4

23 octobre 1995-Los Angeles 3 à Montréal 6

9 octobre 1996-Los Angeles 3 à Montréal 6

3 décembre 1997-Los Angeles 0 à Montréal 2

30 novembre 1998-Los Angeles 1 à Montréal 3

11 décembre 1999-Los Angeles 4 à Montréal 2 (dernier revers)

22 décembre 2001-Los Angeles 1 à Montréal 2

9 novembre 2002-Los Angeles 1 à Montréal 3

3 décembre 2005-Los Angeles 2 à Montréal 3

31 janvier 2009-Los Angeles 3 à Montréal 4

24 novembre 2010-Los Angeles 1 à Montréal 4

10 décembre 2013-Los Angeles à Montréal (19h30)

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Le jeu de puissance des Kings de Los Angeles est totalement impuissant !

Aucun but en 60:57 minutes et il est 0 en 33 lors des neuf derniers matchs de l’équipe

Après avoir connu une bonne séquence, le jeu de puissance des Kings de Los Angeles est vraiment en panne sèche depuis trois semaines.



En effet, la formation dirigée par Darryl Sutter, dont le jeu de puissance avait présenté un rendement de 26,47%, marquant neuf buts en 34 avantages numériques, du 29 octobre au 19 novembre, en arrache plus que jamais à ce chapitre, affichant un pitoyable rendement d’aucun but lors de ses 33 derniers avantages numériques, lors des neuf dernières rencontres.

Aucun but en avantage numérique durant les 60:57 dernières minutes …

Son dernier filet dans ces circonstances remonte au 19 novembre dernier, dans un gain de 5–2, face au Lightning de Tampa Bay, au STAPLES Center, alors que Matt Frattin avait fait mouche, durant une punition à Alex Killorn, du Lightning, à 15:11 de la première période.

Les Kings avaient eu trois autres avantages numériques par la suite, mais n’avaient pas capitalisé, même durant une double mineure à l’attaquant Pierre-Cédric Labrie, du Lightning, qui avait reçu quatre minutes pour avoir porté son bâtôn trop élevé, à 3:50 de la deuxième période.

Cela fait donc un beau rendement d’aucun but lors des 60:57 dernières minutes de jeu en avantage numérique pour les champions de la Coupe Stanley de 2011–2012.

Leur rendement global pour la présente saison est de 17 buts en 112 avantages numériques, une efficacité de 15,18%, au 23e rang du circuit.

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Le Lightning de Tampa Bay en arrache en l’absence de Steven Stamkos

L’équipe marque moins et est 5-5-2 dans les 12 matchs disputés depuis sa blessure

Nul doute, une équipe comme le Lightning de Tampa Bay ne peut pas se permettre de perdre un joueur comme Steven Stamkos sans ressentir les effets négatifs d’une longue absence.



En effet, la formation dirigée par Jon Cooper, qui affichait en date du 11 novembre, un dossier de 12–5-0 (24 points), lors de ses 17 premier matchs, au sommet de l’Association de l’Est, n’a pu faire mieux qu’un rendement de 5–5-2 lors des 12 matchs qui ont eu lieu depuis que l’attaquant Steven Stamkos a été blessé sérieusement à la jambe droite (fracture du tibia), en entrant en contact avec le poteau des buts, en deuxième période (à 12:49), dans un revers de 3–0, le 11 novembre dernier, face aux Bruins de Boston, au TD Garden.

L’attaque a marqué une moyenne d’un but par match de moins !

Pis, l’attaque de l’équipe, qui avait réussi un total de 54 buts lors des 17 matchs avec Stamkos, une moyenne de 3,17 filets par rencontre, a dégringolé d’un but par match, ne pouvant faire mieux qu’un total de 26 buts lors des 12 rencontres, une moyenne de 2,17 par rencontre.

Au moment d’être blessé, Stamkos affichait un dossier de 14–9-23 en 17 matchs et se retrouvait au sommet des pointeurs de la LNH, à égalité avec Sidney Crosby, des Penguins de Pittsburgh, dont la fiche était de 8–15-23 en 17 rencontres.

La défense a tenu le coup, faisant même mieux qu’avant cette blessure, car après avoir concédé 42 buts lors de 17 premiers matchs, une moyenne de 2,47 par rencontre, les gardiens n’ont alloué que 28 buts, une moyenne de 2,33, lors des 12 dernières rencontres.

Le jeu de puissance, qui affichait un rendement de 18,46% (12 buts en 65 avantages numériques), lors des 17 matchs disputés avec Steven Stamkos, a subi une forte baisse, car il n’a pu faire mieux qu’une moyenne de 11,11%, ne marquant que quatre buts en 36 avantages numériques, lors des 12 parties depuis cette blessure.

Le Lightning, dont la fiche est de 1–2-1 lors de ses quatre derniers matchs, ne marquant que quatre buts, visite les Capitals de Washington, au Verizon Center, en ce mardi, 10 décembre et soulignons que depuis son gain de 2–1, en tirs de barrage, face au Canadien, au Centre Bell, le 12 novembre, l’équipe a une fiche de 0–4-1 lors de ses cinq derniers matchs à l’étranger, ne marquant que six buts.

Aucun but lors des 137:15 dernières minutes de jeu à l’étranger

Pis, le Lightning a été blanchi dans ses 137:15 dernières minutes de jeu sur les patinoires adverses, son dernier but remontant au 22 novembre, dans un revers de 5–1, face aux Sharks de San Jose, au SAP Center, alors que la recrue Tyler Johnson avait marqué à 7:39 de la troisième période, alors que les Sharks menaient 5–0.

Par la suite, l‘équipe a été lessivée 1–0, en prolongation, face aux Ducks d’Anaheim, au Honda Center, le 22 novembre et également 1–0, en temps régulier, face aux Blue Jackets de Columbus, au Nationwide Arena, le 3 décembre.

Que fera la bande de Martin St-Louis (qui est 5–6-11 avec un différentiel de moins cinq en 12 matchs en cette absence), face à celle d’Alex Ovechkin dans ce match de mardi soir ?

LA FICHE DU LIGHTNING DE TAMPA BAY EN L’ABSENCE DE STEVEN STAMKOS

(12 parties, 5 gains, 5 défaites, 2 revers en bris d’égalité, 26 bp, 28 bc, 12 pts)

12 novembre 2013-Tampa Bay 2 à Montréal 1 (fus.)

14 novembre 2013-Anaheim 1 à Tampa Bay 5

16 novembre 2013-Tampa Bay 3 à Phoenix 6

19 novembre 2013-Tampa Bay 2 à Los Angeles 5

21 novembre 2013-Tampa Bay 1 à San Jose 5

22 novembre 2013-Tampa Bay 0 à Anaheim 1 (pro.)

25 novembre 2013-Rangers de NY 0 à Tampa Bay 5

27 novembre 2013-Philadelphie 2 à Tampa Bay 4

29 novembre 2013-Pittsburgh 3 à Tampa Bay 0

3 décembre 2013-Tampa Bay 0 à Columbus 1

5 décembre 2013-Ottawa 1 à Tampa Bay 3

7 décembre 2013-Winnipeg 2 à Tampa Bay 1 (pro.)

10 décembre 2013-Tampa Bay à Washington (19h)

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Le gardien Ben Scrivens a été superbe en l’absence de Jonathan Quick

Il a concédé deux buts ou moins dans chacun de ses 10 départs

Chez les Kings de Los Angeles, tout semblait noir lorsque le gardien Jonathan Quick a été blessé lors du match du 12 novembre dernier, face aux Sabres de Buffalo, mais un certain Ben Scrivens est sorti de sa coquille pour offrir des performances irrésistibles !



En effet, depuis cette blessure, l’ex-gardien des Maple Leafs de Toronto, qui fut obtenu dans la transaction impliquant le gardien Jonathan Bernier, le 23 juin dernier, présente un dossier de 6–1-3 avec une superbe moyenne de 1,47, deux blanchissages et une efficacité de ,947, ayant concédé 15 buts sur 283 tirs, en 610:41 minutes, dont deux buts ou moins dans chacun de ses 10 départs.

L’attaque des Kings a été très silencieuse lors des 10 rencontres, ne marquant que 21 buts lors de cette séquence.

On sait que Scrivens était venu relever Quick, vers la toute fin de la rencontre du 12 novembre (avec seulement 1:20 à écouler dans la période de prolongation), face aux Sabres de Buffalo, au First Niagara Center et il avait subi une défaite de 3–2, en tirs de barrage.

Il avait disputé 10 matchs de suite, avant de voir la recrue Martin Jones, obtenir un premier départ lors du match de mardi dernier, un gain de 3–2, en tirs de barrage, face aux Ducks d’Anaheim, au Honda Center.

Ce dernier a également disputé le dernier match de l’équipe, obtenant son premier blanchissage en carrière, un gain de 3–0, face aux Islanders de New York, samedi dernier, au STAPLES Center.

On sait que de remplacer Jonathan Quick n’est pas une sinécure, car ce dernier a été éblouissant lors des dernière saisons, étant nommé sur la 2e équipe d’étoiles, il y a deux ans et encore plus important, il fut le récipiendaire du Trophée Conn Smythe, remis au joueur par excellence des séries éliminatoires, lors de la conquête de la Coupe Stanley en 2011–2012.

Cette saison, il affichait un dossier de 10–5-0 avec une moyenne de 2,35, un blanchissage et une efficacité ordinaire de ,905 en 16 rencontres et sa blessure à l’aine, ne tiendra à l’écart du jeu pour encore quelques semaines.

Ben Scrivens, dont la fiche est de 7–2-4 avec une moyenne de 1,56 (la 2e meilleure de la LNH), trois blanchissages, un sommet dans le circuit et une efficacité de ,943 (au premier rang), en 15 matchs, affichait un rendement ordinaire de 11–14-2 avec une moyenne de 2,86, deux blanchissages et une efficacité de ,910, en 32 matchs, tous disputés dans l’uniforme des Maple Leafs de Toronto.

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