Le petit pivot d'Alexandre Burrows
Vancouver Canucks lundi, 13 juin 2011. 17:18 jeudi, 12 déc. 2024. 13:51
Alain Vigneault a bien l'intention de marquer l'histoire des Canucks de Vancouver. Mais sans un but d'Alexandre Burrows survenu le 3 février 2009, le scénario actuel aurait pu être très différent.
À cette époque, les Canucks subissaient les contrecoups d'une série noire de huit défaites et le poste de Vigneault était en danger.
«C'était un match ici, à Vancouver. La marque était égale en fin de troisième période. J'ai marqué un but en désavantage numérique à l'aide d'un lancer du revers. Je ne sais pas ce qui serait arrivé si nous avions perdu ce match-là, mais je me rappelle qu'il y avait plusieurs rumeurs de congédiement dans les médias», s'est souvenu Burrows.
«C'était un but très important. On venait de perdre plusieurs matchs de suite. Après ce gain, on a eu une bonne séquence de victoires», a raconté le défenseur Kevin Bieksa.
Il s'agit donc d'un match qui a changé l'histoire chez les Canucks. Ils ont terminé la saison 2008-2009 avec 22 victoires et neuf revers, dont deux en prolongation.
Plus encore, depuis ce but victorieux de Burrows, la troupe d'Alain Vigneault a remporté 125 matchs, en a perdu 54, dont 16 en prolongation.
L'attaquant québécois reconnaît que son but a contribué à influencer le cours des choses, à l'instar de la belle chimie qui existe entre Vigneault et le directeur général des Canucks, Mike Gillis.
«C'était un petit pivot. On avait un nouveau directeur général avec Mike Gillis. Alain et lui voient l'équipe du même oeil. C'est pour ça qu'ils font un bon duo», a souligné Burrows.
La pression a été très forte sur Alain Vigneault. Aujourd'hui, elle est différente. Comme il l'avait mentionné à Montréal en début de saison, il se devait de gagner pour espérer être l'entraîneur des Canucks la saison prochaine.
Le voici maintenant à une seule victoire de la coupe Stanley.
*D'après un reportage de Renaud Lavoie.
À cette époque, les Canucks subissaient les contrecoups d'une série noire de huit défaites et le poste de Vigneault était en danger.
«C'était un match ici, à Vancouver. La marque était égale en fin de troisième période. J'ai marqué un but en désavantage numérique à l'aide d'un lancer du revers. Je ne sais pas ce qui serait arrivé si nous avions perdu ce match-là, mais je me rappelle qu'il y avait plusieurs rumeurs de congédiement dans les médias», s'est souvenu Burrows.
«C'était un but très important. On venait de perdre plusieurs matchs de suite. Après ce gain, on a eu une bonne séquence de victoires», a raconté le défenseur Kevin Bieksa.
Il s'agit donc d'un match qui a changé l'histoire chez les Canucks. Ils ont terminé la saison 2008-2009 avec 22 victoires et neuf revers, dont deux en prolongation.
Plus encore, depuis ce but victorieux de Burrows, la troupe d'Alain Vigneault a remporté 125 matchs, en a perdu 54, dont 16 en prolongation.
L'attaquant québécois reconnaît que son but a contribué à influencer le cours des choses, à l'instar de la belle chimie qui existe entre Vigneault et le directeur général des Canucks, Mike Gillis.
«C'était un petit pivot. On avait un nouveau directeur général avec Mike Gillis. Alain et lui voient l'équipe du même oeil. C'est pour ça qu'ils font un bon duo», a souligné Burrows.
La pression a été très forte sur Alain Vigneault. Aujourd'hui, elle est différente. Comme il l'avait mentionné à Montréal en début de saison, il se devait de gagner pour espérer être l'entraîneur des Canucks la saison prochaine.
Le voici maintenant à une seule victoire de la coupe Stanley.
*D'après un reportage de Renaud Lavoie.