Le propriétaire du Wild encore frustré
Hockey vendredi, 15 avr. 2011. 20:27 dimanche, 15 déc. 2024. 16:38
ST. PAUL, Minn. - Craig Leipold s'est affaissé dans son fauteuil et a secoué la tête en grimaçant. La frustration d'avoir raté les séries éliminatoires pour une troisième année d'affilée est encore bien palpable pour le propriétaire du Wild du Minnesota, même cinq jours plus tard.
Leipold a dit ressentir « beaucoup de déception » et qu'il tentait toujours « de se remettre » de la dégringolade du Wild, qui l'a fait chuter au 12e rang de l'Association Ouest. Du 10 mars au 7 avril, le Wild a compilé un dossier de 2-10-1.
Il a déclaré qu'il était presque gêné pour les partisans et qu'il poussera toute l'organisation à travailler plus tard cet été, afin que l'équipe progresse et que le département hockey bâtisse un club aspirant à remporter la coupe Stanley.
« Nous avons laissé tomber nos partisans et maintenant, nous devons trouver une façon de les rejoindre et de les ramener à nous, a dit le proprio. Nous devons les convaincre que nous sommes sérieux et nous espérons faire cela en leur communiquant ce que nous faisons avec nos jeunes espoirs, nos nouveaux joueurs et nos plans d'avenir. »
Des plans qui comprendront la sélection d'un nouvel entraîneur-chef : le directeur général Chuck Fletcher a congédié Todd Richards après deux saisons.
Leipold veut également accroître les revenus. Les récentes baisses des ventes, jumelées aux pertes financières encourues cette saison en raison de sa non participation aux séries, ont fait en sorte que le Wild a dû mettre à pied cinq personnes.
« Comme toute autre entreprise, nous avons dû ajuster notre charge de travail », a indiqué Leipold dans un long entretien accordé à The Associated Press. « Nous n'avons pas fait les séries. C'est pour ça que nous perdons de l'argent. Ce n'est pas une situation critique, mais nous devons gérer ce club comme une entreprise. Si ça veut dire que nous devons utiliser moins de gens qui travailleront plus fort pour faire fonctionner cette entreprise, alors c'est ce que nous ferons pendant cette période. »
Leipold a dit croire que la « marque » Wild et que l'appui des partisans est toujours très fort, même si l'équipe ne dispute plus tous ses matchs à guichets fermés. Depuis ses débuts en 2000, le Wild avait vendu tous ses billets pour 409 matchs consécutifs, une séquence qui a pris fin cette saison. Le Wild a tout de même fait salle comble lors de 25 de ses matchs de saison régulière en 2010-2011.
Leipold a dit ressentir « beaucoup de déception » et qu'il tentait toujours « de se remettre » de la dégringolade du Wild, qui l'a fait chuter au 12e rang de l'Association Ouest. Du 10 mars au 7 avril, le Wild a compilé un dossier de 2-10-1.
Il a déclaré qu'il était presque gêné pour les partisans et qu'il poussera toute l'organisation à travailler plus tard cet été, afin que l'équipe progresse et que le département hockey bâtisse un club aspirant à remporter la coupe Stanley.
« Nous avons laissé tomber nos partisans et maintenant, nous devons trouver une façon de les rejoindre et de les ramener à nous, a dit le proprio. Nous devons les convaincre que nous sommes sérieux et nous espérons faire cela en leur communiquant ce que nous faisons avec nos jeunes espoirs, nos nouveaux joueurs et nos plans d'avenir. »
Des plans qui comprendront la sélection d'un nouvel entraîneur-chef : le directeur général Chuck Fletcher a congédié Todd Richards après deux saisons.
Leipold veut également accroître les revenus. Les récentes baisses des ventes, jumelées aux pertes financières encourues cette saison en raison de sa non participation aux séries, ont fait en sorte que le Wild a dû mettre à pied cinq personnes.
« Comme toute autre entreprise, nous avons dû ajuster notre charge de travail », a indiqué Leipold dans un long entretien accordé à The Associated Press. « Nous n'avons pas fait les séries. C'est pour ça que nous perdons de l'argent. Ce n'est pas une situation critique, mais nous devons gérer ce club comme une entreprise. Si ça veut dire que nous devons utiliser moins de gens qui travailleront plus fort pour faire fonctionner cette entreprise, alors c'est ce que nous ferons pendant cette période. »
Leipold a dit croire que la « marque » Wild et que l'appui des partisans est toujours très fort, même si l'équipe ne dispute plus tous ses matchs à guichets fermés. Depuis ses débuts en 2000, le Wild avait vendu tous ses billets pour 409 matchs consécutifs, une séquence qui a pris fin cette saison. Le Wild a tout de même fait salle comble lors de 25 de ses matchs de saison régulière en 2010-2011.
