Le retour des Broad Street Bullies?
Philadelphie Flyers jeudi, 8 nov. 2007. 21:16 mercredi, 11 déc. 2024. 22:44
Les Broad Street Bullies sont-ils de retour à Philadelphie?
En ce début de saison, les Flyers occupent le deuxième rang au niveau des minutes de pénalité derrière les Ducks d'Anaheim. Toutefois, ce sont les gestes de violence des joueurs des Flyers qui ont jusqu'ici retenu l'attention.
Intensité, violence et suspensions ont marqué le début de la saison des Flyers. Steve Downie, Jesse Boulerice et Randy Jones ont tour à tour été suspendus pour des gestes d'une violence extrême. Résultat : 47 matchs de suspension et l'image d'une équipe vicieuse.
"On n'est pas des gars malins, assure le gardien Martin Biron. On joue fort, on patine et on frappe. C'est ça qu'on veut faire, mais de là à dire qu'on joue cochon, il y a une différence. C'était trois incidents isolés et très différents les uns des autres."
"On ne veut jamais voir des joueurs se blesser, mais c'est vrai qu'on se fait un devoir de préconiser un style de jeu robuste", de dire l'attaquant R.J. Umberger.
"Nous donnons tout ce que nous avons à chaque match. C'est malheureux que ces incidents soient arrivés, mais il n'y a rien qu'on puisse changer aujourd'hui", croit Jeff Carter.
Les Broad Street Bullies, ce surnom qui a été attribué aux robustes équipes de Philadelphie dans les années 1970, a refait surface, mais les joueurs de l'édition actuelle sont loin de se considérer comme des brutes.
"Nous ne nous voyons pas comme des goons, affirme Umberger. Nous nous voyons comme des travailleurs acharnés. Nous n'avons pas le choix de travailler fort. Nous ne l'avons pas fait l'an passé et regardez ce qui est arrivé."
"Les Ducks d'Anaheim ont gagné la Coupe avec une équipe physique ayant le plus grand nombre de bagarres la saison dernière, fait remarquer Biron. C'est une équipe qui frappe et qui est costaude. Les autres équipes regardent ça et se disent qu'elles devraient aller dans cette direction."
Le jeu robuste fait partie du style des Flyers et ils n'ont pas l'intention de changer leur façon de faire.
"Nous ne pouvons pas laisser ces événements changer notre façon de jouer", prétend le robuste Ben Eager.
Qu'ils le veuillent ou non, les Flyers ont terni l'image de la Ligue nationale avec ces gestes de violence. Des gestes qui nous font oublier que la troupe de John Stevens regorge de joueurs talentueux.
En ce début de saison, les Flyers occupent le deuxième rang au niveau des minutes de pénalité derrière les Ducks d'Anaheim. Toutefois, ce sont les gestes de violence des joueurs des Flyers qui ont jusqu'ici retenu l'attention.
Intensité, violence et suspensions ont marqué le début de la saison des Flyers. Steve Downie, Jesse Boulerice et Randy Jones ont tour à tour été suspendus pour des gestes d'une violence extrême. Résultat : 47 matchs de suspension et l'image d'une équipe vicieuse.
"On n'est pas des gars malins, assure le gardien Martin Biron. On joue fort, on patine et on frappe. C'est ça qu'on veut faire, mais de là à dire qu'on joue cochon, il y a une différence. C'était trois incidents isolés et très différents les uns des autres."
"On ne veut jamais voir des joueurs se blesser, mais c'est vrai qu'on se fait un devoir de préconiser un style de jeu robuste", de dire l'attaquant R.J. Umberger.
"Nous donnons tout ce que nous avons à chaque match. C'est malheureux que ces incidents soient arrivés, mais il n'y a rien qu'on puisse changer aujourd'hui", croit Jeff Carter.
Les Broad Street Bullies, ce surnom qui a été attribué aux robustes équipes de Philadelphie dans les années 1970, a refait surface, mais les joueurs de l'édition actuelle sont loin de se considérer comme des brutes.
"Nous ne nous voyons pas comme des goons, affirme Umberger. Nous nous voyons comme des travailleurs acharnés. Nous n'avons pas le choix de travailler fort. Nous ne l'avons pas fait l'an passé et regardez ce qui est arrivé."
"Les Ducks d'Anaheim ont gagné la Coupe avec une équipe physique ayant le plus grand nombre de bagarres la saison dernière, fait remarquer Biron. C'est une équipe qui frappe et qui est costaude. Les autres équipes regardent ça et se disent qu'elles devraient aller dans cette direction."
Le jeu robuste fait partie du style des Flyers et ils n'ont pas l'intention de changer leur façon de faire.
"Nous ne pouvons pas laisser ces événements changer notre façon de jouer", prétend le robuste Ben Eager.
Qu'ils le veuillent ou non, les Flyers ont terni l'image de la Ligue nationale avec ces gestes de violence. Des gestes qui nous font oublier que la troupe de John Stevens regorge de joueurs talentueux.