Lemieux revit de beaux moments
Hockey mardi, 2 juin 2009. 17:35 dimanche, 15 déc. 2024. 07:53
Mario Lemieux et ses Penguins ont toujours en tête leur défaite subie en finale de la coupe Stanley en 2008 aux mains des Red Wings de Detroit.
Les jeunes joueurs des Penguins ont toutefois une année supplémentaire derrière la cravate, ce qui pourrait changer la donne cette année.
« L'an passé, je ne pense pas que l'équipe était prête à en affronter une expérimentée comme les Red Wings », indique Mario Lemieux. « Cette année, les gars veulent vraiment gagner. »
Si les Penguins veulent aspirer aux grands honneurs, ils devront toutefois compter sur le réveil de Sidney Crosby, qui n'a toujours pas de point depuis le début de la série finale, et le brio d'Evgeni Malkin.
Le duo Crosby-Malkin n'est pas sans rappeler celui de Lemieux et Jaromir Jagr, qui a permis aux Penguins de remporter deux coupes Stanley consécutives au début des années 1990.
« En voyant Sidney et Malkin, je revois Jagr et moi », avoue Lemieux. « Ça me fait revivre de beaux moments. »
Il est tout de même incroyable de voir les Penguins en finale de la coupe Stanley, une équipe qui se trouvait pourtant au 10e rang de l'Association de l'Est avec 25 matchs à faire à la saison régulière.
Les Penguins se sont toutefois réveillés avec le départ de Michel Therrien et l'embauche de Dan Bylsma. La formation de la Pennsylvanie a terminé la saison avec une fiche de 18-3-4, un véritable tour de force qui a permis aux Penguins de finir au quatrième rang de l'Association de l'Est.
« Bylsma a fait tout un travail », ajoute Lemieux. « Nous sommes devenus plus agressifs et intenses. »
Les Penguins ont toute une commande sur les bras afin de mettre la main sur le précieux trophée, celle de battre les Red Wings quatre fois lors des cinq prochains matchs.
Si elle peut accomplir l'exploit, la troupe de Bylsma deviendrait la troisième équipe de l'histoire à combler un déficit de 0-2 pour remporter la série finale de la coupe Stanley.
*D'après un reportage d'Alexandre Tourigny
Les jeunes joueurs des Penguins ont toutefois une année supplémentaire derrière la cravate, ce qui pourrait changer la donne cette année.
« L'an passé, je ne pense pas que l'équipe était prête à en affronter une expérimentée comme les Red Wings », indique Mario Lemieux. « Cette année, les gars veulent vraiment gagner. »
Si les Penguins veulent aspirer aux grands honneurs, ils devront toutefois compter sur le réveil de Sidney Crosby, qui n'a toujours pas de point depuis le début de la série finale, et le brio d'Evgeni Malkin.
Le duo Crosby-Malkin n'est pas sans rappeler celui de Lemieux et Jaromir Jagr, qui a permis aux Penguins de remporter deux coupes Stanley consécutives au début des années 1990.
« En voyant Sidney et Malkin, je revois Jagr et moi », avoue Lemieux. « Ça me fait revivre de beaux moments. »
Il est tout de même incroyable de voir les Penguins en finale de la coupe Stanley, une équipe qui se trouvait pourtant au 10e rang de l'Association de l'Est avec 25 matchs à faire à la saison régulière.
Les Penguins se sont toutefois réveillés avec le départ de Michel Therrien et l'embauche de Dan Bylsma. La formation de la Pennsylvanie a terminé la saison avec une fiche de 18-3-4, un véritable tour de force qui a permis aux Penguins de finir au quatrième rang de l'Association de l'Est.
« Bylsma a fait tout un travail », ajoute Lemieux. « Nous sommes devenus plus agressifs et intenses. »
Les Penguins ont toute une commande sur les bras afin de mettre la main sur le précieux trophée, celle de battre les Red Wings quatre fois lors des cinq prochains matchs.
Si elle peut accomplir l'exploit, la troupe de Bylsma deviendrait la troisième équipe de l'histoire à combler un déficit de 0-2 pour remporter la série finale de la coupe Stanley.
*D'après un reportage d'Alexandre Tourigny