Les Blackhawks en avant, mais lucides
Hockey lundi, 17 mai 2010. 20:05 jeudi, 12 déc. 2024. 04:39
SAN JOSE, Calif. - Si une équipe sait à quel point une avance de 1-0 dans une série ne signifie absolument rien, c'est bien les Blackhawks de Chicago.
La formation de l'entraîneur-chef Joel Quenneville a dû se battre pour revenir dans une série après s'être inclinée dans le premier match lors des deux premières rondes en 2010. Les Blackhawks ne sont donc pas habitués de mener si tôt dans une série, surtout en finale de l'Association Ouest face aux Sharks de San Jose.
"Je crois que c'est une nouvelle situation pour nous, a reconnu l'attaquant Patrick Sharp lundi. Je ne pense pas que ça change quelque chose. Même si nous menons 1-0 dans la série, je ne crois pas que ça sera plus facile. Si ç'a un impact, c'est que ça rendra notre série plus difficile. C'est une belle opportunité pour nous d'enlever les honneurs des deux premiers matchs dans leur aréna, et c'est ce que nous tenterons de faire."
Les Blackhawks, en fait, ont perdu le premier match de quatre séries consécutives en date de la saison dernière avant de soutirer l'avantage de la patinoire aux Sharks en l'emportant 2-1 au HP Pavilion de San Jose dimanche. Ils sont venus de l'arrière pour remporter trois de ces séries, s'inclinant seulement devant les Red Wings de Detroit en finale d'association la saison dernière.
Les Blackhawks auront moins de pression lors du deuxième affrontement de la série face aux Sharks puisqu'ils ont déjà remporter un match à San Jose, mais Quenneville souhaite voir le même niveau d'intensité démontré par ses troupiers que lors des deuxièmes matchs des deux séries précédentes.
"Je pense que nous devons réagir comme si nous n'étions pas satisfaits de notre performance, comme si nous n'avions encore rien accompli et devions remporter absolument cette rencontre", a ajouté Quenneville.
Les joueurs des Blackhawks ne semblaient guère satisfaits lorsqu'ils ont été rencontrés dans leur vestiaire, lundi, et ceux des Sharks ne donnaient pas l'impression d'être en état de panique.
Les deux formations s'attendent encore à une longue série et savent que le premier match aurait pu aller d'un côté comme de l'autre.
La formation de l'entraîneur-chef Joel Quenneville a dû se battre pour revenir dans une série après s'être inclinée dans le premier match lors des deux premières rondes en 2010. Les Blackhawks ne sont donc pas habitués de mener si tôt dans une série, surtout en finale de l'Association Ouest face aux Sharks de San Jose.
"Je crois que c'est une nouvelle situation pour nous, a reconnu l'attaquant Patrick Sharp lundi. Je ne pense pas que ça change quelque chose. Même si nous menons 1-0 dans la série, je ne crois pas que ça sera plus facile. Si ç'a un impact, c'est que ça rendra notre série plus difficile. C'est une belle opportunité pour nous d'enlever les honneurs des deux premiers matchs dans leur aréna, et c'est ce que nous tenterons de faire."
Les Blackhawks, en fait, ont perdu le premier match de quatre séries consécutives en date de la saison dernière avant de soutirer l'avantage de la patinoire aux Sharks en l'emportant 2-1 au HP Pavilion de San Jose dimanche. Ils sont venus de l'arrière pour remporter trois de ces séries, s'inclinant seulement devant les Red Wings de Detroit en finale d'association la saison dernière.
Les Blackhawks auront moins de pression lors du deuxième affrontement de la série face aux Sharks puisqu'ils ont déjà remporter un match à San Jose, mais Quenneville souhaite voir le même niveau d'intensité démontré par ses troupiers que lors des deuxièmes matchs des deux séries précédentes.
"Je pense que nous devons réagir comme si nous n'étions pas satisfaits de notre performance, comme si nous n'avions encore rien accompli et devions remporter absolument cette rencontre", a ajouté Quenneville.
Les joueurs des Blackhawks ne semblaient guère satisfaits lorsqu'ils ont été rencontrés dans leur vestiaire, lundi, et ceux des Sharks ne donnaient pas l'impression d'être en état de panique.
Les deux formations s'attendent encore à une longue série et savent que le premier match aurait pu aller d'un côté comme de l'autre.