Les Bruins avaient été offensifs dans la finale de 2011 et Bryan Bickell sort de l'ombre en éliminatoires
$content.firstChildCategorie mercredi, 9 juil. 2014. 20:53 mardi, 18 juin 2013. 08:39Les Bruins avaient été explosifs dans la finale de 2010-2011
Ils avaient surclassé les Canucks de Vancouver 23-8 au chapitre des buts
Difficile à savoir si l’attaque des Bruins de Boston va faire des ravages comme lors de la finale de la saison 2010–2011, période durant laquelle, ils avaient été explosif lors de leurs quatre victoires, mais silencieux lors de leurs trois défaites.
En effet, la formation dirigée par Claude Julien avait défait celle d’Alain Vigneault en sept matchs, la surclassant 23–8 (plus 15) au chapitre des buts marqués-concédés, ce qui est vraiment exceptionnel.
Les Bruins avaient été limités à seulement deux buts lors de leurs trois défaites, mais avaient marqué un total de 21 buts lors de leurs quatre victoires !
Ils avaient subi deux défaites de 1–0 et une autre de 3–2 (en prolongation), mais avaient écrasés les Canucks 8–1, 5–2 et 4–0 en deux occasions, dont le match décisif, le 15 juin, au Rogers Arena de Vancouver.
Ce fut une finale vraiment particulière, car après avoir perdu les deux premiers matchs (1–0 et 3–2 en prolongation) sur la patinoire des Canucks, les Bruins avaient répondu par des massacres de 8 à 1 et 4 à 0, lors des deux matchs disputés au TD Garden, mais avaient encore perdu par un blanchissage de 1–0 lors du 5e matchs disputés à Vancouver pour ensuite se relever et triompher 5 à 2, à domicile et 4–0 lors du match décisif, à Vancouver.
Les Bruins avaient eu beaucoup de joueurs productifs dans cette finale …
Soulignons que l’attaque des Bruins avaient été bien divisée, car pas moins de huit joueurs avaient réussi deux buts ou plus lors de cette finale de 2010–2011, Brad Marchand en avait réussi cinq, Mark Recchi et Michael Ryder, trois chacun et David Krejci, Patrice Bergeron, Rich Peverley (2), Andrew Ference et Milan Lucic, deux chacun.
Chez les Canucks, seuls Maxim Lapierre et Alex Burrows avaient réussi deux buts dans cette finale contre les Bruins.
Dans les trois premiers matchs de la présente finale contre les Blackhawks, l‘attaque des Bruins n‘a réussi que sept buts, dont deux par l‘illustre Daniel Paille !
FINALE DE LA COUPE STANLEY DE 2010-2011
1 juin 2011-Boston 0 à Vancouver 1
4 juin 2011-Boston 2 à Vancouver 3 (prol.)
6 juin 2011-Vancouver 1 à Boston 8
8 juin 2011-Vancouver 0 à Boston 4
10 juin 2011-Boston 0 à Vancouver 1
13 juin 2011-Vancouver 2 à Boston 5
15 juin 2011-Boston 4 à Vancouver 0
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Bryan Bickell des Blackhawks a plus de buts (8) que Patrick Kane (6) et Jonahan Toews (1)
Le costaud est vraiment un héros méconnu des Blackahwks de Chicago
Dans la plupart des saisons, il y a un joueur qui sort de l’ombre dans les séries élimimatoires et cette saison, le gros attaquant Bryan Bickell, des Blackhawks de Chicago se retrouve dans cette catégorie.
En effet, auteur d’un rendement de 9–14-23 avec un différentiel de plus 12 lors des 48 matchs du calendrier régulier, le 3e choix de l’équipe, le 41e au total lors du repêchage de 2004, a des allures d’une super-vedette durant les présentes séries éliminatoires, lui dont le rendement est de 8–5-13 avec un différentiel de plus sept en 20 rencontres, oncluant deux buts victorieux, dont un en prolongation.
Son total de huit buts est le 2e plus élevé du circuit (à égalité avec d’autres joueurs), un seul de moins que son coéquipier Patrick Sharp et David Krejci, des Bruins de Boston et soulignons que ce total de huit buts est plus élevé que celui de Patrick Kane (6) et Jonathan Toews (1), qui n’ont marqué que sept buts dans les séries.
Bickell, qui a eu 27 ans le 9 mars dernier est un joueur costaud qui est capable de préconiser du jeu robuste tout en demeurant très discipliné, car depuis le début de sa carrière, il a un rendement de 40–50-90 avec un différentiel de plus 19 en 220 matchs réguliers, lui qui n’a reçu que 120 minutes de punition lors de cette période.
Après avoir présenté un dossier de 17–20-37 en 78 matchs lors de la saison 2010–2011, il avait régressé avec un rendement de 9–15-24 en 71 matchs en 2011–2012 pour terminer avec une fiche de 9–14-23 en 48 matchs cette saison.
Son nom n’est pas sur la Coupe Stanley de 2009-2010 …
Bickell a une autre bonne raison d’y aller de ses meilleurs efforts en attaque, car il tente de faire inscrire son nom sur la Coupe Stanley pour la première fois, car en 2009–2010, même si les Blackhawks avaient gagné cet honneur, il n’avait pas les statistiques minimales pour cela, ayant participé à 16 matchs réguliers et à seulement quatre matchs dans les éliminatoires, dont aucune rencontre dans la grande finale du circuit.
Le règlement stipule qu’un joueur doit avoir joué 41 matchs réguliers (dans un calendrier de 82 rencontres ou la moitié des rencontres comme cette année) ou avoir participé à au moins un match de la grande finale pour que son nom soit inscrit sur le Trophée.
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