Les Bruins ont délaissé leurs partisans
Boston Bruins dimanche, 17 avr. 2011. 09:35 dimanche, 15 déc. 2024. 12:50
Au lendemain d'un deuxième revers encaissé à domicile par leurs favoris face au Canadien, il semble bien qu'un sentiment d'amertume se soit emparé des plus fervents partisans des Bruins de Boston.
«Avec dix minutes à écouler à la rencontre, un son de résignation s'est répandu sur les 17 565 partisans réunis au TD Garden. Ils n'avaient pas quitté physiquement l'amphithéâtre, ils l'avaient plutôt quitté émotionnellement. Les Bruins de Boston les avaient laissé tomber, encore une fois», écrit le réputé chroniqueur Bob Ryan dans l'édition dominicale du Boston Globe.
Ryan avance que la défaite de 3-1 subie samedi soir vient resserrer un peu plus la corde autour du cou de Claude Julien et qu'un changement derrière le banc devra être effectué advenant une paire de défaites contre le Tricolore.
Ryan ajoute aussi que l'eau est chaude pour Peter Chiarelli, car advenant une autre défaite en séries à l'an 5 de son mandat comme directeur général de l'organisation bostonaise, les plus fidèles partisans le tiendraient comme un des responsables du fait que les Bruins sont devenus une équipe aguicheuse incapable de répondre aux grandes attentes dont ils font l'objet lors du tournoi printanier.
«Il y a deux ans, les Bruins ont amassé 116 points en saison régulière avant de se faire montrer la porte lors du deuxième tour des séries. Et l'an dernier? Wow. Est-ce nécessaire de résumer cette série perdue face aux Flyers?», rappelle le chroniqueur, en précisant qu'une défaite face au Canadien viendrait affecter la base des partisans de l'équipe.
«La principale question posée au début des séries éliminatoires était de savoir si les Bruins valaient l'investissement pour le partisan moyen. Quand vous êtes la seule des quatre équipes professionnelles en ville à n'avoir pas tenu de parade au cours de la dernière décennie, vous devez faire quelque chose pour mériter votre place à la table», écrit Ryan.
Pour Ryan, l'occasion sera belle pour les Bruins de démontrer lors des deux prochains matchs au Centre Bell qu'ils ont les qualités requises pour gagner des championnats, soit du courage et du cran.
«Avec dix minutes à écouler à la rencontre, un son de résignation s'est répandu sur les 17 565 partisans réunis au TD Garden. Ils n'avaient pas quitté physiquement l'amphithéâtre, ils l'avaient plutôt quitté émotionnellement. Les Bruins de Boston les avaient laissé tomber, encore une fois», écrit le réputé chroniqueur Bob Ryan dans l'édition dominicale du Boston Globe.
Ryan avance que la défaite de 3-1 subie samedi soir vient resserrer un peu plus la corde autour du cou de Claude Julien et qu'un changement derrière le banc devra être effectué advenant une paire de défaites contre le Tricolore.
Ryan ajoute aussi que l'eau est chaude pour Peter Chiarelli, car advenant une autre défaite en séries à l'an 5 de son mandat comme directeur général de l'organisation bostonaise, les plus fidèles partisans le tiendraient comme un des responsables du fait que les Bruins sont devenus une équipe aguicheuse incapable de répondre aux grandes attentes dont ils font l'objet lors du tournoi printanier.
«Il y a deux ans, les Bruins ont amassé 116 points en saison régulière avant de se faire montrer la porte lors du deuxième tour des séries. Et l'an dernier? Wow. Est-ce nécessaire de résumer cette série perdue face aux Flyers?», rappelle le chroniqueur, en précisant qu'une défaite face au Canadien viendrait affecter la base des partisans de l'équipe.
«La principale question posée au début des séries éliminatoires était de savoir si les Bruins valaient l'investissement pour le partisan moyen. Quand vous êtes la seule des quatre équipes professionnelles en ville à n'avoir pas tenu de parade au cours de la dernière décennie, vous devez faire quelque chose pour mériter votre place à la table», écrit Ryan.
Pour Ryan, l'occasion sera belle pour les Bruins de démontrer lors des deux prochains matchs au Centre Bell qu'ils ont les qualités requises pour gagner des championnats, soit du courage et du cran.