Les comparaisons Crosby-Ovechkin, Reilly Smith domine les Bruins et les Sabres 0-11 dans les matchs ouverts
$content.firstChildCategorie mercredi, 9 juil. 2014. 21:38 mercredi, 15 janv. 2014. 20:21Les comparaisons entre Sidney Crosby et Alex Ovechkin
Des fiches semblables pour les deux super-vedettes, mais …
Depuis leur entrée dans la LNH, on peut dire que les attaquants Sidney Crosby, des Penguins de Pittsburgh et Alex Ovechkin, des Capitals de Washington font la pluie et le beau temps et produisent les résultats souhaités en attaque, eux qui ont débuté dans la Ligue nationale de hockey en 2005–2006.
Alex Ovechkin, qui fut le premier choix au repêchage universel de 2004, mais qui n’avait pas joué avant la saison 2005–2006, car il y avait eu un conflit de travail lors de la saison 2004–2005, affiche un dossier de 404–378-782 avec un différentiel de plus 68, un total de 440 minutes de punition, 139 buts en avantage numérique, 63 buts victorieux (dont 14 en prolongation), en plus d’avoir réussi un impressionnant total de 3290 tirs au but, en 645 rencontres régulières.
Dans le cas de Sidney Crosby, qui fut le premier choix à l’encan universel de 2005, il présente un rendement de 263–469-732 avec un différentiel de plus 118, un total de 445 minutes de punition, 76 buts en avantage numérique, 33 buts victorieux (dont six en prolongation) et un total de 1748 tirs au but en 517 matchs réguliers, lui qui a raté beaucoup de matchs lors des dernières saisons.
Même s’il totalise 38 points de plus que son opposant, Ovechkin affiche une moyenne de 1,21 point par match comparativement à 1,42 pour Crosby, mais le numéro huit des Capitals a eu le dessus avec un total de 404 buts, contre 263 pour le numéro 87 des Penguins, qui a par contre récolté 91 assistances de plus.
Il faut aussi souligner qu’Ovechkin adore effectuer des tirs, lui qui en a réussi 3290 contre seulement 1748 pour Crosby, ce qui est presque le double en faveur du numéro 8 des Capitals.
Au chapitre des honneurs individuels, voici un petit résumé :
Première équipe d’étoiles : Alex Ovechkin (5 fois), Sidney Crosby (2 fois)
Deuxième équipe d’étoiles : Alex Ovechkin (2 fois), Sidney Crosby (1 fois)
Trophée Calder (recrue par excellence), Alex Ovechkin (2005–2006), Sidney Crosby (jamais)
Trophée Art Ross (champion-compteur) : Alex Ovechkin (1 fois), Sidney Crosby (1 fois)
Trophée Maurice-Richard (champion-buteur) : Alex Ovechkin (3 fois), Sidney Crosby (1 fois)
Trophée Hart (joueur par excellence) : Alex Ovechkin (3 fois), Sidney Crosby (1 fois)
Trophée Mark Messier (joueur avec le meilleur leadership) : Alex Ovechkin (jamais), Sidney Crosby (1 fois)
Trophée Ted Lindsay : Alex Ovechkin (3 fois), Sidney Crosby (2 fois)
Crosby a eu le dessus dans les séries éliminatoires et a gagné la Coupe Stanley
C’est surtout dans les séries éliminatoires que le joueur des Penguins a vraiment eu le meilleur sur son adversaire des Capitals, car il présente un dossier de 40–65-105 en 82 matchs, alors qu’Ovechkin a un rendement de 31–30-61 en 58 matchs.
Le plus important est le fait que Crosby a remporté la Coupe Stanley (en 2008–2009), en plus d’avoir participé à la finale de 2007–2008, alors qu’Ovechkin, qui est un joueur beaucoup plus individualiste n’a jamais réussi à mener son équipe plus loin que la deuxième ronde des séries de fin de saison.
Nous avons en mémoire l’effondrement total des Capitals de Washington lors de la saison 2009–2010, alors qu’après avoir facilement remporté le Trophée des Présidents (championnat du calendrier régulier), ils s’étaient lamentablement écroulés dans la première ronde des séries, perdant dans la limite de sept rencontres, face au Canadien de Montréal.
Lors de la ronde suivante, Crosby et les Penguins de Pittsburgh, qui étaient les champions-défendants de la Coupe Stanley, se faisaient jouer le même tour, également en sept matchs, face au Tricolore.
Les deux super-vedettes ont un dossier de 0–1 dans leur unique confrontation face au Canadien de Montréal, alors qu’ils étaient dans des formations de loin supérieures à celle qui était dirigée par Jacques Martin lors de cette saison-là.
Les Penguins ont gagné le premier duel de la présente saison
Soulignons que le match de ce soir est le deuxième de la série de quatre entre les deux équipes cette saison, les Penguins ayant facilement remporté le premier duel, 4–0, au Verizon Center, le 20 novembre dernier, alors que Crosby avait récolté deux points (1–1-2) avec cinq lancers, pendant qu’Ovechkin était blanchi, n’effectuant que deux tirs au but.
Les Penguins avaient surclassé les Capitals 40–18 au chapitre des tirs au but et le gardien Marc-André Fleury avait réalisé un blanchissage, l’emportant sur Braden Holtby.
Suite au match de ce soir, il restera deux matchs et ils auront lieu lors d’un programme aller-retour, le 10 mars, à Washington et le lendemain, à Pittsburgh.
LES QUATRE MATCHS ENTRE LES PENGUINS ET LES CAPITALS CETTE SAISON
20 novembre 2013-Pittsburgh 4 à Washington 0
15 janvier 2014-Washington à Pittsburgh (20h)
10 mars 2014-Pittsburgh à Washington (19h)
11 mars 2014-Washington à Pittsburgh (19h30)
LA FICHE DES DEUX JOUEURS DANS LA LNH
(SAISON RÉGULIÈRE)
JOUEURS--------PJ--B-----A----PTS-(P/M)-PUN-BAN-BDN-BV-BTS-TIRS
Alex Ovechkin — 645 — 404–378 — 782-(P 68) — 440–139 — — — 4 — — 63 — 14–3290
Sidney Crosby — 517 — 263–469 — 732-(P 118) — 445 — 76 — — — 3 — — 33 — — 6–1748
(SÉRIES ÉLIMINATOIRES)
JOUEURS--------PJ--B---A---PTS-(P/M)-PUN-BAN-BDN-BV-BTS-TIRS
Alex Ovechkin — 58 — 31 — 30 — 61 — (P 9) — — 30 — — 9 — — — 0 — — 5 — — 0–275
Sidney Crosby — 82 — 40 — 65 — 105(P 16) — — 53 — 11 — — — 0 — — 5 — — 0–271
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Une surprise : Reilly Smith domine les Bruins de Boston pour les buts marqués !
Avec 15 buts, il devance les Iginla, Lucic, Marchand et Bergeron
Le sport est plein de belles surprises et on peut dire que le jeune Reilly Smith, des Bruins de Boston se retrouve dans cette catégorie.
En effet, le jeune joueur qui fut obtenu dans la méga-transaction impliquant Tyler Seguin, le 4 juillet dernier, affiche un dossier de 15–17-32 avec un différentiel de plus sept en 46 matchs et fait à souligner, il est au premier rang des buteurs de son équipe, devant Jarome Iginla (13), Milan Lucic (12), Brad Marchand (11), Patrice Bergeron (11), le défenseur Torey Krug (10), David Krejci (9) et le défenseur Zdeno Chara (9).
Qui aurait parié sur une telle possibilité en cette saison 2013–2014 ?
Il en arrache un peu actuellement, car près avoir connu une superbe séquence, du 10 au 27 décembre, durant laquelle il a présenté un excellent dossier de 8–2-10 en huit matchs, il n’a pu faire mieux qu’un rendement de 1–2-3 lors de ses huit derniers matchs disputés depuis le 28 décembre dernier, dont aucun point (0–0-0) lors des trois matchs du récent voyage de l’équipe dans le sud-ouest américain, lui qui a récolté une mention d’assistance, dans le revers de 4–3, face aux Maple Leafs de Toronto, au TD Garden, mardi soir.
Smith, qui fut le 3e choix des Stars de Dallas, le 69e au total du repêchage de 2009, aura 23 ans le 1er avril prochain et avait présenté un dossier de 3–6-9 avec un différentiel égal lors de ses 37 matchs disputés l’an dernier.
Natif de Toronto, il n’a jamais évolué dans la Ligue junior de l’ontario, préférant aller jouer aux Etats-Unis et son passage à l’Université de Miami a été excellent, car lors de sa dernière saison à cet endroit, il avait présenté un dossier de 30–18-48 en 39 matchs, ayant été nommé sur la première équipe d’étoiles de la NCAA.
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Les Sabres de Buffalo ne gagnent jamais par un écart important
Dans les matchs décidés par trois buts ou plus, ils ont une fiche de 0-11
Avec la saison misérable qu’ils connaissent et leur attaque anémique, il n’est pas surprenant de constater que les Sabres de Buffalo soient incapables de triompher avec un écart de plus de deux buts.
La formation dirigée par Ted Nolan affiche un rendement de 13–27-5 en 45 rencontres, ne marquant que 80 buts, a un dossier de 9–14 dans ses 23 matchs décidés par un but, de 4–7 dans les 11 rencontres décidés par deux buts et un piètre rendement de 0–11 dans ses 11 rencontres qui ont pris fin par un écart de trois buts ou plus, 0–10 par un écart de trois filets et 0–1 par un écart de quatre buts.
Le dernier gain des Sabres par un écart de trois buts ou plus remonte au 2 avrl dernier, 4–1, face aux puissants Penguins de Pittsburgh, au CONSOL Energy Center, eux qui ont terminé la saison avec trois revers par un écart de trois filets ou plus.
Pis, à domicile, ils ont une fiche de 0–5 cette saison et qui ont été 0–3 en trois occasions du genre l’an dernier, eux dont le dernier gain à ce chapitre au First Niagara Center remonte au 20 janvier 2013, le tout premier match de la campagne, 5–2, face aux Flyers de Phialdelphie.
Déjà la fin d’une série intra-division dans l’Association de l’Est …
Soulignons qu’en ce mercredi, 15 janvier 2014, les Sabres de Buffalo affronteront les Maple Leafs de Toronto, au Centre Air Canada et ce match sera le 5e et dernier entre les deux équipes cette saison, marquant la fin d’une série intra-division lors de la présente campagne et ce qui est encore plus frappant est que c’est une série de cinq rencontres et non pas quatre comme c’est le cas pour six des huit séries entre les équipes d’une même section.
Surprenant de constater que les Sabres, malgré leur piètre rendement global, ont une fiche de 2–1-1 dans les quatre rencontres disputées contre la formation de Randy Carlyle, cette saison, ayant gagné les deux matchs au First Niagara Center, 3–1, le 15 novembre et 3–2, en prolongation, le 29 novembre, perdant les deux duels au Centre Air Canada, 4–2, le 16 novembre et 4–3, en tirs de barrage, le 27 décembre.
Lors des matchs de mardi soir, les Sabres ont perdu un match crève-coeur, 4–3, face aux Flyers de Philadelphie, à domicile, concédant le but victorieux à Vincent Lecavalier, à 19:45 de la troisième période, alors que les Maple Leafs ont gagné 4–3, face aux puissants Bruins de Boston, au TD Garden, dans une rencontre où ils ont été surclassés 41–26 au chapitre des tirs au but.
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