Les Flyers avouent leurs superstitions
Philadelphie Flyers dimanche, 6 juin 2010. 15:43 dimanche, 2 mars 2025. 05:07
Les Flyers de Philadelphie n'ont pas le choix : ils devront gagner un match au United Center s'ils veulent remporter la coupe Stanley. Pour s'assurer de signer une victoire à Chicago, les joueurs ont décidé de ne pas s'asseoir au même endroit que lors du dernier match.
On est superstitieux ou on ne l'est pas.
"On n'a pas changé d'hôtel, ce qu'on fait d'habitude, mais on a changé de restaurant hier. Et comme vous voyez, on n'est pas assis au même endroit", a exposé Claude Giroux en souriant.
"Les gens disent souvent que les athlètes sont différents et superstitieux, mais je crois que nos entraîneurs son pire que nous, accuse Ian Laperrière. Ils décident comment ils arrangent la chambre. Des petites choses comme ça, j'imagine que ça doit aider le mental."
Une chose est certaine, les Flyers arrivent à Chicago avec beaucoup de confiance alors que chez les Hawks, on veut éviter de paniquer.
"C'est 2-2! On joue maintenant un 2-de-3 et nous avons l'avantage de la glace. Il n'y a pas de panique ici, nous avons appris beaucoup lors des quatre premiers matchs", assure Brian Campbell.
"Il n'y a pas de panique, répète Jonathan Toews. Nous savons que nous sommes encore dans une bonne position. C'est facile de dire ce qu'on aurait pu faire pour gagner un des deux matchs à Philadelphie, mais c'est la vie et nous allons travailler fort ce soir."
Ça fait aussi six matchs que Toews n'a pas marqué. Le capitaine des Hawks tente surtout de garder le moral.
"Si tu commences à prendre trop de responsabilités, tu vas jouer encore plus mal. Si je continue à travailler fort, je sais que les chances vont venir et que je vais marquer un gros but à un moment opportun. Je ne suis pas inquiet et je contribue autrement pour le moment."
*D'après un reportage de Renaud Lavoie.
On est superstitieux ou on ne l'est pas.
"On n'a pas changé d'hôtel, ce qu'on fait d'habitude, mais on a changé de restaurant hier. Et comme vous voyez, on n'est pas assis au même endroit", a exposé Claude Giroux en souriant.
"Les gens disent souvent que les athlètes sont différents et superstitieux, mais je crois que nos entraîneurs son pire que nous, accuse Ian Laperrière. Ils décident comment ils arrangent la chambre. Des petites choses comme ça, j'imagine que ça doit aider le mental."
Une chose est certaine, les Flyers arrivent à Chicago avec beaucoup de confiance alors que chez les Hawks, on veut éviter de paniquer.
"C'est 2-2! On joue maintenant un 2-de-3 et nous avons l'avantage de la glace. Il n'y a pas de panique ici, nous avons appris beaucoup lors des quatre premiers matchs", assure Brian Campbell.
"Il n'y a pas de panique, répète Jonathan Toews. Nous savons que nous sommes encore dans une bonne position. C'est facile de dire ce qu'on aurait pu faire pour gagner un des deux matchs à Philadelphie, mais c'est la vie et nous allons travailler fort ce soir."
Ça fait aussi six matchs que Toews n'a pas marqué. Le capitaine des Hawks tente surtout de garder le moral.
"Si tu commences à prendre trop de responsabilités, tu vas jouer encore plus mal. Si je continue à travailler fort, je sais que les chances vont venir et que je vais marquer un gros but à un moment opportun. Je ne suis pas inquiet et je contribue autrement pour le moment."
*D'après un reportage de Renaud Lavoie.