Les Oilers ne sont plus à vendre
Hockey mardi, 7 août 2007. 14:21 mercredi, 11 déc. 2024. 21:52
EDMONTON - Les Oilers d'Edmonton ne sont pas à vendre. Un point c'est tout!
C'est le message sans équivoque lancé mardi par Cal Nichols, président du groupe d'investisseurs qui détient et exploite la concession de la LNH.
Nichols a précisé que le groupe d'investisseurs d'Edmonton avait rejeté la dernière offre du magnat local Daryl Katz pour acheter l'équipe. Il a ajouté qu'ils avaient également adopté une résolution selon laquelle l'équipe n'est pas à vendre.
"Ce n'est pas une question d'argent. C'est avant tout pour Edmonton", a affirmé Nichols en conférence de presse.
Nichols a avancé qu'on doit maintenant tourner la page et aller de l'avant. Il a précisé qu'il redoute des "dommages indirects", laissant entendre qu'il y avait eu des dissensions parmi les copropriétaires sur l'opportunité de vendre.
Nichols a révélé que la dernière offre brute de Katz était de 185 millions $ US. Mais une fois pris en compte les ajustements du capital et les répercussions fiscales, le prix chutait à 136 millions $. Et, a-t-il ajouté, en considérant les autres éléments du passif, le montant pouvait même être inférieur à 125 millions $.
Katz possède le Groupe Katz, un géant pharmaceutique multimilliardaire, qui comprend la chaîne de magasins Rexall.
Il a déposé trois offres depuis le printemps pour acquérir 100 pour cent des 7492 actions en circulation. La première offre s'élevait à 145 millions $ et la deuxième était de 150 millions $. Il a besoin de l'assentiment des propriétaires détenant les deux tiers des actions pour en arriver à ses fins.
C'est le message sans équivoque lancé mardi par Cal Nichols, président du groupe d'investisseurs qui détient et exploite la concession de la LNH.
Nichols a précisé que le groupe d'investisseurs d'Edmonton avait rejeté la dernière offre du magnat local Daryl Katz pour acheter l'équipe. Il a ajouté qu'ils avaient également adopté une résolution selon laquelle l'équipe n'est pas à vendre.
"Ce n'est pas une question d'argent. C'est avant tout pour Edmonton", a affirmé Nichols en conférence de presse.
Nichols a avancé qu'on doit maintenant tourner la page et aller de l'avant. Il a précisé qu'il redoute des "dommages indirects", laissant entendre qu'il y avait eu des dissensions parmi les copropriétaires sur l'opportunité de vendre.
Nichols a révélé que la dernière offre brute de Katz était de 185 millions $ US. Mais une fois pris en compte les ajustements du capital et les répercussions fiscales, le prix chutait à 136 millions $. Et, a-t-il ajouté, en considérant les autres éléments du passif, le montant pouvait même être inférieur à 125 millions $.
Katz possède le Groupe Katz, un géant pharmaceutique multimilliardaire, qui comprend la chaîne de magasins Rexall.
Il a déposé trois offres depuis le printemps pour acquérir 100 pour cent des 7492 actions en circulation. La première offre s'élevait à 145 millions $ et la deuxième était de 150 millions $. Il a besoin de l'assentiment des propriétaires détenant les deux tiers des actions pour en arriver à ses fins.