Les Penguins adorent le TD Garden, les Blackhawks vers un record et les Sabres ont rebondi avec Ron Rolston
$content.firstChildCategorie mercredi, 9 juil. 2014. 21:10 vendredi, 19 avr. 2013. 18:12Les Penguins ont du succès contre les Bruins au TD Garden
Ils ont une fiche parfaite de 5-0-0 lors des cinq derniers matchs dans le domicile de leurs rivaux
On dirait qu’il y a des endroits où certaines équipes semblent plus à l’aise que d’autres et c’est le cas des Penguins de Pittsburgh lorsqu’ils évoluent contre les Bruins de Boston, au TD Garden.
En effet, la formation dirigée par Dan Bylsma, dont la fiche globale est de 33–10-0 pour 66 points en 43 matchs, affrontera celle de Claude Julien (fiche de 26–11-5 pour 57 points en 42 matchs), au TD Garden, un endroit où elle disputera ce soir, son unique match cette saison et où elle présente un dossier parfait de 5–0-0 lors de ses cinq dernières visites.
Le dernier revers des Penguins dans le domicile des Bruins remonte au 10 novembre 2009, alors qu’ils s’étaient inclinés 3 à 0, sur un jeu blanc du gardien Tim Thomas, qui avait réalisé 27 arrêts.
Depuis ce revers, les Penguins ont remporté cinq matchs de suite (dont un en prolongation), surclassant leurs rivaux 16 à 8 au chapitre des buts marqués.
Les Penguins (2-0-0) pourraient s’assurer du championnat de l’Association de l’Est
Soulignons que ce match sera le 3e et dernier entre les deux équipes cette saison et les Penguins, qui pourraient, en triomphant, s’assurer du championnat de l’Association de l’Est, ont remporté les deux premiers duels de la présente saison, des gains de 3 à 2, le 12 février et de 2 à 1, le 17 février, deux rencontres qui furent disputées au CONSOL Energy Center et où les Penguins avaient triomphé après avoir surmonté des déficits après deux périodes.
Les Penguins réussiront-ils à remporter le championnat de l’Association de l’Est, sur le territoire des Bruins et du même coup, aider la cause du Canadien de Montréal, dans la lutte pour le premier rang de la section Nord-Est ?
LES CINQ DERNIERS MATCHS DES PENGUINS À BOSTON
10 novembre 2009-Pittsburgh 0 à Boston 3 (Tim Thomas, 27 arrêts) (dernier revers)
18 mars 2010-Pittsburgh 3 à Boston 0 (Marc-André Fleury, 17 arrêts)
15 janvier 2011-Pittsburgh 3 à Boston 2
5 mars 2011-Pittsburgh 3 à Boston 2 (prol.) (Dustin Jeffrrey, 1 :52)
4 février 2012-Pittsburgh 2 à Boston 1
3 avril 2012-Pittsburgh 5 à Boston 3
18 avril 2013-Pittsburgh à Boston (19h)
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Les Blackhawks de Chicago, un record pour un calendrier écourté de 48 parties ?
En 1994-1995, les Red Wings de Detroit avaient totalisé 70 points en 48 matchs
En cette saison 2012–2013, les Blackhawks de Chicago pouraient établir une nouvelle marque pour le plus de points dans un calendrier écourté de 48 rencontres.
En effet, la formation dirigée par Joel Quenneville, qui affiche un dossier de 33–5-4 pour 70 points en 42 matchs, a déjà égalé le record de la LNH à ce chapitre, car lors de la seule autre saison écourtée, en 1994–1995, les Red Wings de Detroit avaient également totalisé 70 points, présentant une fiche de 33 gains, 11 revers et quatre nulles en 48 rencontres.
Il faut souligner qu’aucun point n’était accordé pour des défaites en prolongation et que les tirs de barrage n’existaient pas, ayant débuté en 2005–2006.
Les Red Wings avaient devancé les Nordiques de Québec, qui avaient remporté le championnat de l’Association de l’Est, affichant un dossier de 30 gains, 13 revers et cinq nulles, totalisant 65 points en 48 rencontres et comble de malheur, cette saison fut la dernière de l’équipe dans la vieille capitale, elle qui est devenue l’Avalanche du Colorado, au terme des séries éliminatoires.
Soulignons que les Red Wings de Detroit n’avaient pas remporté la coupe Stanley, même s’ils avaient été dominants lors de leurs trois premières séries, car ils avaient éliminé respectivement les Stars de Dallas en cinq matchs (4–1), les Sharks de San Jose en quatre matchs (4–0) et les Blackhawks de Chicago en cinq matchs (4–1) avant de se faire balayer en quatre rencontres (4–0) contre les Devils du New Jersey, dirigés par Jacques Lemaire, en finale de la Coupe Stanley.
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Les Sabres de Buffalo ont beaucoup mieux fait depuis l’arrivée de Ron Rolston
Mais l’équipe va possiblement rater les éliminatoires pour la 2e fois de suite
Même s’ils ont connu plus de succès depuis le changement effectué au poste d’entraîneur-chef, les Sabres de Buffalo vont vraisemblablement être exclus des séries éliminatoires pour une deuxième fois d’affilée.
En effet, affichant en date du 20 février, un rendement de 6–10-1 pour seulement 13 points après ses 17 premiers matchs (une faible moyenne de ,382) sous la gouverne de Lindy Ruff, cette formation a rebondi avec un dossier de 13–9-5 pour 31 points lors des 27 matchs disputés (une moyenne de ,574) sous les ordres de Ron Rolston, ce dernier ayant débuté à ce poste, le 21 février dernier.
Malgré tout, les Sabres ont un rendement global de 19–19-6 pour 44 points en 44 matchs et à moins d’un mini-miracle, ils vont rater les éliminatoires pour la deuxième fois de suite et pour la quatrième fois lors des six dernières saisons, car à moins d’un revirement, ils ne réussiront pas à combler l’écart de quatre points qui existe sur les Rangers de New York et les Jets de Winnipeg, qui occupent (à égalité) la dernière position qui donne accès aux séries.
Avant ce changement, le différentiel de l’équipe était négatif (moins neuf) au chapitre des buts marqués-concédés (47–56) et c’est sensiblement la même chose actuellement, car c’est moins sept (67–73), mais il faut souligner que globalement ce fut supérieur sur la moyenne du différentiel global (de moins ,053 à moins ,026), car l’attaque a un peu régressé, passant d’une moyenne de 2,76 buts par match à une moyenne de 2,48, alors que la défense a beaucoup mieux fait, passant d’une moyenne de 3,29 buts concédés par match à une moyenne respectable de 2,74 filets par rencontre.
Soulignons que les Sabres, dont la moyenne de victoires-défaites de,574 présentée depuis l’arrivée de Rolston aurait été suffisante pour participer aux séries, car cela donnerait un total de 55 points sur un calendrier de 48 matchs, mais la piètre fiche des 17 premières rencontres aura été fatale à l’équipe.
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