Les Blue Jackets de Columbus vont terminer avec un dossier pitoyable

En cette saison 2011–2012, les Blue Jackets de Columbus font bande à part et se retrouvent au sein des pires organisations depuis le retour au jeu, après le conflit de la saison 2004–2005.



En effet, la formation dirigée par Todd Richards, dont le dossier est de 26–45-7 pour 59 points après 78 matchs, vont être l’une des pires équipes depuis la saison 2006–2007, alors que les Flyers de Philadelphie avaient totalisé seulement 56 points, avec un dossier de 22–48-12 en 82 matchs.

En 2005–2006, il y avait eu les Blues de Saint Louis, qui avaient présenté une fiche de 21–46-15 pour 57 points en 82 matchs, alors que les Penguins de Pittsburgh avaient totalisé 58 points, avec un rendement de 22–46-14 en 82 rencontres.

Soulignons que ces trois équipes qui ont été les seules à ne pas avoir récolté 60 points depuis 2005–2006, semblent bien avoir profité de cette période creuse, car elles sont devenues de puissantes formations qui luttent pour le Trophée des Présidents en cette saison 2011–2012.

Avec quatre matchs à disputer, les Blue Jackets recevront les Islanders de New York et visiteront les Blues de Saint Louis, les Coyotes de Phoenix et l’Avalanche du Colorado.

Avec les joueurs qu’ils possèdent actuellement, il est difficile d’imaginer une ascension du genre de celle des Flyers, des Blues ou des Penguins, pour les Blue Jackets de Columbus.

LES PIRES ÉQUIPES DEPUIS 2005-2006

SAISON-ÉQUIPE------PJ-V-D-P/F-BP-BC-PTS

2006–2007-Philadelphie-82–22-48–12-214–303-56

2005–2006-Saint Louis-82–21-46–15-197–292-57

2005–2006-Pittsburgh-82–22-46–14-244–316-58

2011–2012-Columbus-78–26-45–7-185–253-59

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Menacés de rater les éliminatoires, les Sharks de San Jose sont pitoyables contre leur section



Si les Sharks de San Jose sont menacés de rater les séries éliminatoires, c’est en raison de leur atroce dossier contre les formations de leur propre section.

En effet, la formation dirigée par Todd McLellan, dont le dossier actuel est de 39–29-10 pour 88 points en 78 matchs et qui se retrouve au 9e rang de l’Association de l’Ouest, n’a pu faire mieux qu’un rendement de 8–11-1 dans les 20 matchs (moyenne de ,425) disputés contre les formations de la section Pacifique, ayant été surclassée 54 à 49 au chapitre des buts marqués, comparativement à une fiche de 31–18-9 en 58 matchs (moyenne de ,612), contre les autres sections du circuit.

Pis, les Sharks, qui disputeront leurs quatre derniers matchs contre les équipes de leur section, les Stars de Dallas et les Kings de Los Angeles en deux occasions chacun, ont un dossier de 2–7-1 dans leurs 10 matchs disputés à l’étranger contre les quatre équipes de leur division, dont 0–5-1 lors de leurs six derniers matchs, leur dernier gain remontant au 4 janvier dernier, 3 à 1, à Anaheim.

Sur les patinoires de leurs adversaires, les Sharks sont 1–2-0 en trois matchs contre les Ducks d’Anaheim, 0–3-0 en trois matchs contre les Coyotes de Phoenix, 0–2-0 en deux matchs contre les Kings de Los Angeles et 1–0-1 en deux matchs face aux Stars de Dallas, leurs adversaires de ce soir, au HP Pavillon de San Jose.

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Brian Rolston, une résurrection avec les Bruins de Boston !



Après avoir donné l’impression d’être au bout du rouleau, le vétéran attaquant Brian Rolston, semble avoir retrouvé sa confiance depuis son arrivée avec les Bruins de Boston.

En effet, le grand attaquant de 39 ans, qui n’avait pu faire mieux qu’un rendement de 4–5-9 avec un différentiel de moins 12 lors de ses 49 premiers matchs de la saison avec les Islanders de New York, vient de rebondir avec une fiche de 3–10-13 avec un différentiel de plus sept en 17 matchs, depuis son arrivée avec la formation de Claude Julien, lui qui fut obtenu avec Mike Mottau, en retour de Yannick Riendeau et Marc Cantin, le 27 février dernier.

Encore plus, il vient de récolté au moins un point dans sept de ses huit derniers matchs, récoltant pas moins de 12 points (3–9-12) depuis le 15 mars.

Cette production n’est pas reliée à un temps de glace vraiment plus élevé, car il a été utilisé durant 14 :09 avec les Islanders comparativement à 14 :53 avec les Bruins, une hausse de seulement 44 secondes par rencontre.

Après avoir remporté la coupe Stanley, avec les Devils du New Jersey, lors de sa première saison en 1994–1995, Rolston a une chance de la remporter à nouveau cette année, lui qui en est peut-être à sa dernière saison dans le circuit.

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